Visite (Pv Dulcea, Andrew et moi-même)-Terminé

-ne baissé par le regard devant moi je n'en vaut pas la peine?

répétat-il un peu méchaniquement sans trop comprendre, mais profitant du fait qu'elle est à nouveau la tête lever pour plonger son regard gris acier dans celui viollet de Dulcea. Le plateau d'eau était aller se poser plus loin sur le bureau et Andrew porta une main vers la joue de Dulcea pour la caressé et chasser ce qui commençait à embué son regard.

-C'est moi qui vous met dans cette état mademoiselle?

-Non.. Je ne voulais pas dire...

Je n'eu pas tout à fait le temps de finir ma phrase qu'il posa sa main sur ma joue et j'ouvris grands mes yeux, encore plus troublée. Comme ce mademoiselle sonnait bien. D'où lui venait cette soudaine tendresse... pas que cela me déplaise, au contraire. Je remarquai à quel point ses yeux étaient intenses et... et magnifique. Automatiquement, je m'apprchai un peu plus. À sa deuxième remarque, je détournai les yeux une fraction de seconde avant qu'un grand sourire s'illumine mes traits. Nos regards se retrouvèrent rapidement.

-Peut-être que... si.

Mes joues devinrent à nouveau très rose.

-je dois vous paraître très... étrange.

Sa paume était chaude comme le sable chauffer par le soleil près de la mer. Il passa doucement son pouce sur la joue délicate de Dulcea avant de retiré sa main une fois que celle-ci sourit. Il lui retourna un sourire également, mais le sien était toujours aussi fade et sans conviction.

-Le sourire vous va beaucoup mieux je trouve. Et pour être étrange il vous faudrait être dans un monde banal se qui est loin d'être votre cas...n'y le mien d'ailleurs. L'étrange est un synonime de toute vie qui n'est pas humaine mademoiselle. Si je vous rend triste veuillez m'excusé ce n'est point la mon but...mais ma nature profonde.

Ce fut à son tour de baisser les yeux pour les faire glisser sur le mur jusqu'a la fenêtre il soupira longuement.

Je fus un peu déçue quand il retira sa main et je battis des paupières et je retrouvai mon état normale, ou presque. Je recommençai à respirer normalement. Mais cela ne dura qu'une fraction de seconde.

Je ne sus pourquoi mais son soupire me fit l'effet d'un couteau en pleine poitrine et j'attrapai cette fois-ci sa main dans les miennes d'un seul coup et je fronçai les sourcils.

-Ne dites pas cela, s'il vous plait! Ce n'est pas vous qui me rends tristes, dis-je avec peut-être un peu trop de conviction dans la voix.

J'avais parler avec la voix du désespoire, beaucoup plus fort que je ne m'autorisais à parler d'habitude. Je ne levais jamais le ton... Jamais. Mais je le fixai pourtant intensemment sans aucune gêne. J'en avais assez de me cacher sous ce masque snob et classique. J'étais en colère, contre moi-même...

-Qui vous rend ainsi alors?

dit-il en retournant son regard vers elle doucment. Il le déposa sur sa main qu'avait reprise Dulcea et une surprise fut lisible dans son regard voi un lèger malaise. Il ne retira cependant pas sa main.

-Expliqué moi se qui vous tourmente peut-être?

-Je... Je.. Non... Je ne peux pas.

J'avais bien trop peur de lui confier. Je secouai la tête violement... Ou peut-être que si au fond... Non! Il risquerait de lui rapporter, de lui dire que je suis à ce point effrayée. J'ouvris les lèvres pour reprendre mon souffle difficilement, un léger spasme me traversa encore.

-Excusez-moi, dis-je en serrant légèrement plus ses doigts entre les miens. Je ne fais preuves d'aucun maintien.
J'aurais méritée une bonne giffle. Cette attitude n'était pas digne de la femme que j'étais. Je fermai les yeus et je me redressai lentement. Ma lèvre inférieur tremblota légèrement avant que je n'ouvre les yeux, ayant retrouvé une certaine confiance en soi. Je ne savais pas si c'était sa présence qui me faisait cette effet, mais j'aurais parié un grosse somme la dessus.

-Mais qui êtes vous vraiment, Andrew Micheal, dis-je en fronçant les sourcils.

Je me penchai légèrement vers lui.

-Vous réussisez là où tant on échouer...

-votre maintient est loin de m'intéresser mademoiselle. C'est vous plus vrai et plus naturel qui êtes la fleur de cette nuit. Et moi je ne suis qu'un vieille épitaffe oublié par tous et même pas la mort. Il n'y a que l'eau qui gruge mon marbre qui se souvent encore de moi mademoiselle.

dit-il doucement sans conviction. Bien que ces paroles avait quelque chose de passionné le ton n'y était...il n'y était jamais d'ailleurs.

-je vous pardonne si vous me dites se qui vous rend triste. Je supporte depuis longtemps mes propres maux, mais je ne saurais faire pareil des votres. Vous êtes unique finalement...une perle dans un océan d'encre. Vous me faites pensé à quelqu'un que j'ai perdu. Et je n'aurais jamais voulu qu'elle soit triste


il se tut un instant voulu rajouté quelque chose, mais ne le fit pas.

Je penchai la tête sur le côté.

-C'est d'une jeune femme... dont vous parler?
Je pris une courte pose avant de continuer.

-La vie ne semble pas avoir été clémente avec vous, Andrew... Je vais donc vous confiez mes angoisses...
Mon coeur se mit débattre dans ma potrine si bien que je crus qu'il put l'entendre.

-Ce mariage... me terrifie. Je sais qu'il ne m'aime pas réellement. Je sais que ce n'est que pas devoir.
Un sanglot se crispa dans ma gorge... Je ne voulais surtout pas craquer devant lui, mais j'en fus incapable.

-Il ne m'embrasse jamais, ne me prends pas dans ses bras... Tout es si froid, fis-je alors que mon regard se brouillaient à nouveau de larmes brulantes. Si l'occasion se présentait, il pourrait très bien...

Je secouai la tête et mes épaules furent secouer par des sanglots silencieux.

-... J'ai si peur...

-Oui c'est d'une femme dont je parlais.

Avec sa force sur humain, mais avec la plus grande délicatesse Andrew la tira vers lui et la pris entre ces bras pour la réconforté. S'il n'avait pas des muscles saillant Dulcea pouvait sentir toute de même une force tranquille au creux de ces bras. Comme si tout n'était qu'apparence et vénéfice il était loins d'être se qu'il pouvait paraître. Il passa une main douce dans son dos.

-Pourquoi vous mariez alors?

J'e me blotti contre lui sans me faire prier et je pleurer en silence. Je me recroquevillai sur moi-même. Toutes cette tristesse et cette peur que j'aivais trop lomgtemps garder pour moi ne fit qu'exploser littéralement.

-Parce que je n'ai pas le choix... Il me tuerait sans le moindre remord sinon, avouai-je entre deux reniflement.

Hésitante, j'enroulai un bras autour de son cou en me cramponnant un peu plus à lui.

-Vous ne le connaissez pas... Peut-être que pour vous, si grands soient vos pouvoirs, il ne représentés pas une menace, pour moi c!en ai tout autre.

Je tentai de reprendre mon calme encore mais rien en fit.

-Toute cette façade, tous ces artifices que je me donne ne sont qu'un masque... Une armure. En réalité je suis une trouillarde, faible et lâche qui tremble tous les soirs... Je n'ai pas d'amis dans ce manoir. Je suis seule.....

Andrew la bersa doucement pour la calmé comme s'il avait fait cela toute sa vie. Cette être mélancolique savais comment réconforté. Il offrit a Dulcea la chaleur de son corps, la sureté de ces bras et la douceur de son souffle. Un lèger ronronnement vient même bercé l'elfe comme celui des vague qui s'échoue sur la plage.

-Et si je vous protégeais de lui? Vous êtes une elfe de la nuit vous avez des pouvoir vous ne les avez jamais développez?

Demanda t'il doucement passant une main caline et amical sur la joue de Dulcea pour que osn regard rencontre uen nouvelle fois le sien.

-J'ai souvenir que votre peuple compte de puissant mystique.

Elle la serra un peu plus à la mention de la solitude. Il lui sursura avec grande tendresse à l'oreille

-sia itov wux re ti loaw

Cette langue a la fois fluide et brute semblait bien éloignée des langue commun et parler au traver le globe. Andrew embrasser ensuite le sommet du crâne de Dulcea. Murmurant une nouvelel fois dans cette étrange language.

-si tepoha ehtaha

Je me calmai finalement au bout d'un instant. Mes sanglots se firent moins fréquents et mon souffle se fit plus régulier. J'entourai finalement son torse de mes bras et je posai ma tête contre celui-ci herchant à entendre les battements de son cœur.

-J'aimerais beaucoup en effet... Ça me sécuriserait énormément.

Je soupirai.

... Je n'ai jamais utiliser ces pouvoirs.... Si j'en ai évidemmentMon père est mort avant de pouvoir me transmettre son savoir... Et ma mère quelques mois après.

Andrew me serra plus fort contre lui et je fermai les yeux et un léger sourire se dessina sur mes lèvres. Mais je ne compris pas ce qu'il me souffla à l'oreille mais pour une raison que j'ignore, cela m'apaisa complètement. Je laissai s'écouler quelques secondes avant de dire:

-Mais quel est cette langue... J'ai... J'ai comme l'impression de l'avoir déjà entendu...?

-Je suis navré pour vos parents ,mais je peux vous apprendre Dulcea si vous le voulez à usé de votre magie.

Quand elle posa son oreille sur son torse elle eut la surprise d'entendre un battement en 4 temps...Il avait avait deux coeur logé dans sa poitrine qui battait en alternance et produisait une mélodie rythmé. Andrew passa sa main sur les cheveux de blé de Dulcea avec gentillesse et affection. IL dit sur un ton plus bas encore.

-je peux même vous apprendre plus. Si vous croyez avoir déjà entendu ce dialecte. C'est que je ne me trompe pas.

Il eut pour la premire fois un franc sourire et ces yeux s'illuminèrent brièvement de sérénité. Cela fut bref, mais réel et présent.

-Je vous ai parlé dans la langue la plus ancienne du monde mademoiselle. Je vous ai parlé en draconien la langue des miens.

J'hochai la tête, soudain beaucoup plus joyeuse. Peut-être avais-je en effet un certain potentiel, mais je m'étais toujours dit que mon unique défense était ma persuation... Car honnêtement c'était tout ce que j'avais. Je me retournai complètement vers lui et un grand sourire s'étira sur mes lèvres.

-Vous pourriez? Vraiment, vous pourriez m'apprendre plus?, lui dis-je, face à face.

Mais soudain je réalisai ce qu'il venait de dire...

-Attendez. Vous avez bien dit du Draconien?

Mon sourire disparut aussi rapidement qu'il était apparut et je le regardai, sans comprendre.

-Mais comment est-ce possible?

Je détournai le regard pour mieux sonder mes souvenirs et mes traits se crispèrent d'incertitude. Cette langue avait quelque chose de familier... Le genre de dialecte qu'on attend dans un rêve oublier, qu'une petite fille au boucle blonde, perdue dans la forêt, entends au loin et la guide, que cette même enfant aux oreilles pointues, bien trop curieuse, a surprit la conversation des Anciens.

Andrew eut un rire un peu fade.

-doutez-vous de la vieille magie et des connaissances d'un être plusieurs fois millénaire?

L'homme passa un doigt pour replaçé une mèche de blé derrière l'oreille de Dulcea.

-Les notres on apprit au premier..humain à apprivoisé le feu. Nous connaissions tout de la magie jusqu'a son vrai nom.

Andrew baissa les yeux.

-mais c'est du passé...Reste que j'en connais assez pour vous apprendre comment usé de vos propres pouvoir mademoiselle.

Il passa doucement à nouveau sa main sur le dos de l'elfe.

-Il y a plusieurs explication.

Sa tendresse et sa gentillesse me faisait énormément de bien. Ce genre de chose dont j'avais si longtemps été privé me manquait terriblement et mon coeur s'embala.Alors qu'il replaçait une mèche derrière mon oreille pointue, je lui jetai un regard infiniment admiratif et reconnaissant.

.-J'imagine, dis-je lentement. Vous ne savez pas à quel point vous pourriez me rendre service.

Je me redressai lentement sur mes genoux et je posai mes mains sur ses épaules, l'observant durant quelques secondes.
J'avais tellement de question à lui poser, sur sa vie, ses pouvoirs et sur ce qu'il avait pu voir durant sa longue existence. Mais ce n'était ni le moment ni l'endroit je penses... Ça aurait pu gâcher l'instant...

-Peut-être êtes-vous... L'allié que j'attendais en fin de compte.

Ainsi sous cette armure dure et indifférente se cachait un être, homme ou nom, d'un grand raffinement et sagesse. Je réalisais soudainement à quel point j'étais privilégiée. Peu importe pourquoi il était là, j'en était rassurée et heureuse. Je remontai doucement à sa nuque pour passer mes fins doigts dans sa chevelure de jais.

Le regard d'Andrew lui était toujours plutôt froid et mélancolique, bien qu'il eut des gestes de grande tendresse se coeur semblait être incapable de vivre autre chose.

-Je ne commençerai pas se soir votre apprentisage, mais dès demain si vous le voulez je commencerai à vous apprendre. Les jours de pleine vous seront vos meilleurs allié.

Il regarda Dulcea se mettre sur ses genoux et hocha quand elle dit qu'il était peut-être l'allié qu'elle attendait. En fait Andrew l'espérait grandement, il posa son regard acier une nouvelle fois dans celui violet de Dulcea. Puis elle voulu faire glisser sa main sur sa nuque et dans ses cheveux et Andrew vient prendre sa main. Pour évité le contacte.

-Non s'il vous plait.

Dit-il sur un ton presque suppliant.

Je me figea de tous mes membres et je le regardai, plus immobile qu'une statue, les yeux aussi ronds que des billes. Je restai de langues secondes, les lèvres entrouvertes. Puis je battis des cils et je refermai mon poings sous sa poigne.

-Que... Quoi? Qui a-t-il?, bégayais-je.

Je réalisai soudain ma maladresse et je m'assieds craintivement sans retirer ma main. Javalai maladroitement ma salive en l'interrogeant du regard. Je baissai les yeux en l'enlevant, légèrement tremblante pour croiser mes mains contre mon abdomen. Voilà! J'avais tout gâcher! Tu ne peux vraiment pas t'en empêcher, n'est-ce pas?!? Et tout ça pour des beaux yeux!

-non... Bien sûr que non. Excuses mon étourderie.... C'était stupide de ma part, fis-je en souriant faussement.

Un affreux malaise s'emparera de moi à nouveau...Il vallait peut-être mieux pour moi de partir.

Andrew détourna un peu le regard et passa un poignet sur ces yeux.

-Vous me faites tellement penser à elle...Ce n'est pas votre faute. Pardonnez moi mademoiselle.

Son regard gris revient sur Dulcea et une larme perla sur la joue de l'home et glissa doucement pour rouler, puis mourir sur son lit.

-Ce n'est pas votre faute.

répéta-t-il tout en baissant légèrement le regard.

-Chez mon espèce quand l'on à une compagne...nous l'avons pour la vie....et les millénaires...C'est très complexe d'expliquer au autre race se genre de lien. Les humains on prit un exemple très dérivé il parle d'âme soeur....

Sa voix était tremblotante et incertaine entrecoupée par des sanglots ettoufer.

-Cette années je vais..fêter son 600ème anniversaire de décès.... Elle me manque tellement....

Et voilà encore que je lui faisait mal. Décidément, je ne faisait que ça ce soir. Incrédule, je me sentis à nouveau coupable... Mais je crus soudain comprendre tout son trouble, pourquoi agissait-il de la sorte. Encore une fois, je découvrais un Andrew secret... Un Andrew au cœur tendre... Chose que je n'aurais jamais pu m'imaginer...

Ce fut à mon tour cette fois de vouloir le réconforter... D'ordinaire, je préfèrais voir les autres soufrire autour de moi et ainsi me sentir à l'abri de ce genre de tristesse. Mais depuis sa rencontre j'avais l'impression de pouvoir sortir un peu plus de cette carapace. J'enroulai donc son cou de mes bras et je posai un bref et chaste baiser sur sa joue.

-J'aurais dû comprendre... Mais je ne supporte l'idée de vous voir dans cette état.

Je soupirai de tristesse.

-je ne connais peut-être pas la peine de perdre l'amour d'une vie, mais je sais encore ce que c'est que de se retrouver sans personne pour vous tenir la main quand on en a besoin... Nous ne sommes peut-être pas si différents, vous et moi, après tout...

Andrew se crispa un peu quand Dulcea passa ces bras autour de sa nuque. Celle fois il ne la repoussa pas, mais son visage dénotait un très fort malaise et un mal vibrant. Il semblait déchiré et une larme coula sur sa joue avant que l'elfe ne vienne l'embrasser sur la joue. Se contacte eut un effet plutôt inntendu l'homme tendu se détendit d'un seul coup. Son regard se reposa sur Dulcea,mais il n'était plus humain c'était deux grand yeux crocodilien a l'iris bleu argenté et à la pupille noir et éfilé au reflet de multiple couleur comme une flaque d'essence.

-Différent non...vous êtes pleut-être plus proche de moi que vous pourriez le penser.

Dit-il en l'entrainant une nouvelle fois vers lui. Il posa son menton sur le déçu de sa tête et respira longuement son parfum

Quand ses yeux s'ouvrir à nouveau, j'eus la surprise de découvrir son véritable regard et j'entrouvris les lèvres, admirative. Je n'avais jamais rien vu de tel. C'était inouï! Je doute que beaucoup d'elfe contemporain ait eu l'occasion de voir une telle chose. Je pris son visage entre mes mains, l'ombre d'un sourire sur le visage. Je le trouvai encore plus beau ainsi.

Puis, je me retrouvai à nouveau contre lui, et en entendant à nouveau la mystérieuse musique qu'offrait son coeur. Je ne dis rien et ne fis rien. Je profitai tout simplement de ce contacte, et de ce réconfort, mes mains croisées derrieres son dos. Après quelques instants, je me dégageai doucement en posant une main contre son torse.

-Il se fait tard. Je me demande s'il ne vaudrait pas mieux vous laissez dormir.

Je ramenai timidement mes cheveux sur mon épaule droite.

-... J'imagine que nous aurons une grosse journée demain. Je ne vous dérange pas plus longtemps, fis-je en souriant.

Il eut un nouveau sourire fade, mais un brin amusé.

-dormir est un chose bien surfaite. Cependant c'est plutôt vous qui en aurais besoin. En plus c'est ma venu qui vous a tenu éveillé aussi tard.

Il se leva doucement ramenant le plateau d'eau pour prendre le verre de lait et l'assiette de biscuit. Andrew le fit avec un mouvement de main fluide sans même regarder l'eau qui se formait comme si cela était la chose la plus naturelle du monde. Il tendit son assiette a Dulcea et son verre de lait.

-merci pour le biscuit il sont délicieux...passez une bonne nuit mademoiselle Dulcea.

Ajouta-t-il en lui baisant adroitement la main qui tenait le verre.

-nous nous revérrons demain soir.

-Ce n'est pas bien grave... Au contraire, votre venu ma rendu des plus heureuse, fis-je en me levant dans un froissement de soie.

Je le regardai s'excuter avec toujours autant d'adresse et j'eus un large sourire en attrapant l'assiette.

-Tout le plaisir fut pour moi.... Bonne nuit de même pour vous.Je fus légèrement surprise en le voyant poser ses lèvres sur ma main.

-Disons... Disson 7 heures à la bibliothèque d'accord?
Nous pourrions toujours trouver ensuite un lieu plus adéquoi... Je m'avançai vers la porte de sa chambre, mais je m'arrêtai juste devant. J'avisai soudain la bibliothèque en bordure de mur. J'attrapai au passage un petit livre sombre à l'écriture gothique. Je le regardai par dessus mon épaule et mon sourire devint malin. Il s'agissait du premier tome d'une trilogie que j'avais écrire, il y avait une 15 d'année. Ça relatait la révolte des elfes noirs sous la ville de New-York de 1962, vue des yeux de l'enfant que j'étais mais aussi des quelques souvenirs de ma mère. Je lui lançai.

-Essayez de ne pas vous endormir dessus, dis-je les yeux brillant de malice.

Puis, je tournai les talons en ricanant doucement. Je n'allai nulement me coucher.. En fait, je me dirigeai tout naturellement vers mon bureau. J'ouvris l'ordinateur et j'écris jusqu'au levé du jour.