Parce que je m'ennuyais (Andrew) - Terminer

Quelle heure était-il? Je regardai au bas de mon ordinateur. Aïe! 4 heure du matin! Et je n'avais toujours pas cesser d'écrire depuis l'heure du souper. Peu importe! Je n'irais pas me coucher et surtout pas maintenant. Je pris une grande inspiration et me remit au travail. Mes doigts pianotaient sur les touches de l'ordinateur comme des véritables tarentules. Les paragraphes s'alignaient un à un devant mes yeux fatiguées.

Depuis que l'inspiration m'avait frapper, depuis sa rencontre, je ne cessai d'écrir, retombant dans mes habitudes de jeunes auteur de l'époque. Seule dans mon bureau, une tasse de café à la vanille française à ma disposition, mes cheveux étaient retenu en une simple queue de cheval tout à fait irrégulière, un jean blanc ainsi qu'une blouse noire un peu délavée me servait d'ensemble. Je présentais un look très naturel, à peine maquillée. En bref, pas dans le style pour sortir de là.

L'excitation monta alors que j'entamais un nouveau chapitre. J'étais là à sourire bêtement, entre deux gorgée de café, plongée dans le noir, seul mon visage éclairé par l'écran de mon portable... Ça, c'était le côté de moi que je ne montrais pas. Personne ne voyait jamais cette Dulcea là...

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Andrew depuis un moment c'était placer dans le cadre de la porte sans faire même mine qu'il était présent. Son contrôle nturel des différente magie cete fois celle de l'omre l'avait aidé a se que Dulcea ne le remarque pas depuis qu'il c'était posté comme un gardien pour l'observé travaillé. Sa contemplation était total elle écrivait avec tellement de passion et de ferveur que cela arrachait un très rare sourire à l'homme mélancolique qu'était Andrew. IL était venu se posté au beau milieu de la nuit et depuis il n'avait pas quitter son poste. Ce fut quand il remarqua son étonnement face à l'écran qu'Andrew prit lui aussi connaissance de l'heure. Sans quitter le cadre de porte il dit d'une douce voix.

-Dans le genre raisonnable j'ai vu des elfes meilleurs que toi a se jeu la Dulcea. Il est 4 heure du matin du devrais aller dormir.

Il sortit un peu de l'ombre posant son regard bleu-gris sur la douce Dulcea. Il approcha ensuite lentement de son bureau pour s'arrêter devant celui-ci.

- Il n'est pas sage de se tué au travail ma chère.Faudrait-il que je te prenne de force dans mes bres pour aller te coucher dans un lit tel un enfant?

Au beau milieux de l'action, je pris une gorgée de café. Mais avant que j'eus avalai le liquide chaud, j'entendis une voix dans mon dos et je fis le saut. Je me retournai et vit Andrew par dessus mon épaule. Mon regard s'illumina en l'appercevant à peine dans l'obsurité.

-Andrew! Décidement, tu adores me faire peur, fis-je d'un ton faussement accusateur, c'est une vrai manie chez toi...
Je fis tourner un peu la chaise dans sa direction et j'étais heureuse de le voir. Sa remarque me fit sourire.

-Vraiment?... Non, tu n'oserais pas.

Je me rendis soudain compte que je n'étais pas présentable et je rougis d'indignation. Vraiment, Dulcea! Des jeans blancs!

-Tu ne m'attrapes pas a mon meilleurs moment...

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-j'aime la discrétion nuance, c'est toi qui est craintive

dit-il doucement ne se penchant un peu pour replacer une de ces soyeuse mèche blonde et ondulé derrière son oreille claire et pointue. Il frola de ces jointure le joue de Dulcea avant de récupèrer sa main.

-mais je te l'accorde c'est une manie après tant d'années à vivre dans les ombre on en devient une par habitude. Et si j'oserais.

que pour simple démonstration qui posa ces main sur les accoudoir de la chaisse qu'il leva légèrement du sol sans même donner l'impression que cela était difficile malgré que Dulcea y était assise. Il lui décrocha un tendre sourire de plus en plus fréquent et remplaçant plus souvent l'air mélancolique et triste qu'elle le lui avait connu au café et à son arriver dans le manoir. Quand elle fit une remarque sur sa tenu Andrew eut un rire chaleureux et sincère.

- Blanc couleur de pureté, Dulcea tu porterais du marron rehausé de jaune et de turquoise que cela t'irais bien. Ne t'en fais donc pas pour se genre de futilité. Et puis les dragons son daltonien

Dit-il sur le ton de la blague

Mon regard, plonger dans le sien s'attendrit quand il replaça mes cheveux. J'eus un petit sourire timide et je bâtis des paupières. J'adorais quand il faisait cela.

-La discrétion, je tenterai de m'en rappeler... Et puis, pour ce qui est d'oser, je ne...

Commençai-je alors qu'il posa ses mains sur les accoudoirs. J'entrouvris les lèvres de stupeur, quoi que fort amuser de tout cela. Un peu surprise, je posai mes mains sur les siennes en automatisme.

-Tu risques d'être obliger de le faire car je ne bougerai pas, fis-je avec un petit défit dans la voix, rien de sérieux. Et dis donc... Je suis presque habituer de te voir sourire, que se passe-t-il donc? Et pour ce qui s'agit du blanc, ce n'est pas ce que tu as dit de ma robe, au café...

Mon sourire s'agrandit et mon regard pétillait de malice et brillait de bonheure.

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-J'ai dis au café Blanc douce couleur de la biséance se retrouve vite dépravant quand de l'eau irrévérencieuse glisse et le rend transparent. Mais je ne vois ici aucune eau pouvant te mouillé au point que se jeans devient dépravent Dulcea. Et veux-tu vraiment m'obligé à te prendre la dernière fois tu as eut si peur de tomber je te rapelle que tu t'es accrocher à mon coup très très chère Dulcea.

dit-il sur un petit ton moqueur et taquin à l'elfe pendant que sans qu'elle ne regarde un petit serpent aqueux sans brisé l'ordinateur sauvegardais les fichier et le fermait la machine il ne lui restait que trois touche à appuyez et s'en était terminé. Le sourire d'andrew s'élargie un peu plus victorieux et triomphant.

-Tu n'aura de toute manière pas vraiment le choix.

Le serpent aqueux disparut pendant qu'il faisait pivoté la chaise de l'écrivaine pour lui présent l'ordinateur fermé. Il vient s'abaisser pour lui murmuré à l'oreille avec tendresse.

-ne t'en fais pas tout est sauvegardé. Et si je souris de plus en plus c'est qu'une personne ma redonner un gout sans pareil pour la vie.

il lui embrassa fugasement le bout de l'oreille avant de se redresser.

-alors tu vas te coucher par toi même ou dois-je te porté? Princesse des glaces.

-Oui bon, je te l'accordes... Mais quel mémoire tu as! Et par ailleurs, tu as bien le pouvoir de contrôler l'eau, non, demandais-je sur le même ton que lui et plissant les yeux, espiègle.

Quel joie de le voir sourire de la sorte! Ça m'enlevait un important poid de sur les épaules. Trop plonger dans son regard, le trouvant plus beau que jamais, je ne persus dans mon dos, que le bruit sec des touches.

-Mais...?!

Je me retrouvai en face de mon ordinateur, les yeux ronds. Je portai ma main à ma sourit.

-M-mais mon texte!

Au moins, il me rassura et je me detendis. Quand je sentis ses lèvres chaudes sur mon oreille, un puisant frisson me remonta tout au long de ma colone vertébrale et je me raidis. Puis, je me retournai vers lui, avec un sourire en coin.

-Ne me tentes pas, Andrew... Car tu sais déjà ce que je vais te répondre, si tu ne donnes le choix.

C'était évident, je penses. Je n'attendais que cela. Sincèrement et malgré le fait qu'il m'ait assuré qu'il le ferait, je n'en croyait pas Andrew capable. C'était la presqu'un défi que je lui lançais.

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-Je suis un dragon je suis la mémoire de se monde et de l'ancien ma belle. Et pour l'eau je ne ferais rien pour te mettre mal à l'aise voyons je ne suis pas de se genre d,homme la pervers et voyeur.

Puis sans attendre autre chose il la souleva en princesse dans ses bras.

-Bon tu ne me donne pas le choix alors, les elfes aussi on besoin de sommeil et tu ne fais pas exception si tu ne fais pas attention tu va finir par te ridé prématurément.

dit-il au ton de la blague ne quittant lentement, mais surement le bureau pour entrainé Dulcea dans le manoir sans n'avoir de difficultée à la porté.

-ALors je t'apportes ou comme cela? Tu as une chambr epour toi a part celle qui tu partage avec ton ''fiancé'' ?

-Je sais que tu n'es pas ce genre d'homme, Andrew. Tu es le meilleur d'entre tous.

À mon plus grand étonnement et bonheure, je me retrouvai dans ses bras. J'enroulai mes deux bras autour de son cou et j'appuyais mon front contre sa tempe. J'etais tellement heureuse dans ses bras, il n'y avait pas de mots pour le décrire. Je regrettai seulement, qu'il ne partage jamais avec moi ce que je développais en secret.

-Oui... Mon ancienne chambre...

Sa manière de dire le mot fiancer me fis sourire et je fermai les yeux, me blottissant doucement contre lui.

-J'ai fait secrètement transporter mes affaires las-bas. Elle se trouves tout près de la bibliothèque, au fond du dernier couloir...

Encore à l'epoque, je faisais bien ce que bon me semblait. Je n'étais jamais dérangée et a l'abri.

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-C'est innexacte en fait. Je ne peux pas être le meilleurs des hommes Dulcea, car je n'en suis même pas uns. Cela revient a dire à un chat qu'il est le meilleurs des chiens.

Dit Andrew pendant qu'il progressait dans le dédale qu'était le premier étage du manoir. Il se dirigait à pas peu presser vers le hall et le grand escalier qui menait au deuxième et au chambre ainsi qu'à la bibliothèque. Comme précédament il ne semblait pas du tout incomodé ne fut-il que quelque seconde par le poid de Dulcea. Celle-ci semblait pesé moins qu'une plume pour l'homme portant peu bâtie qu'était Andrew.

-secrètement Dulcea ne soit tout de même pas si naïve s'il à des majordomes et des gourvernantes ici et qu'ils sont encore en vie c'est qu'ils doivent lui rapporté à peu près tout se qui se passe au sein de sa demeure. Il doit être forcément au courant que tu as réinvestie ta chambre.

Sans qu'elle ne lui donne plus d'indication Andre-Michael se retrouva aisément et il déposa avec délicatesse Dulcea sur ses pieds une fois rendu devant la porte de son ancienne chambre. Il lui ouvrit la porte en bon gentlement.

-Mademoiselle

IL avait des aires de majordome anglais en plaçant son bras inutle a 90 degrés dans son dois tout en se courbant un peu le dos.

Mon regard s'assombrit à ses paroles.

-Ah! Bien sûr! Je n'y avais pas penser... Saperlipopette!

Je n'étais donc pas totalement sûr de pouvoir être en paix là-bas. Qu'est-ce que je pouvais être bête!

-Je dois tout revoir dans ce cas, dis-je alors que nous traversion le manoir.

Je regardais sans cesse aux alentours, un peu inquiète... Mais bon, à l'heure qu'il était, nous ne risquions pas de rencontrer grand âme qui vive. Seulement...À ma grande surprise, il trouva automatiquement ma chambre. Une fois de retour sur mes deux jambes je fis un pas en arrière, toute sourire. J'éclatai d'un rire franc et crystalin devant sa mimique.

-Merci, très cher., fis-je en entrant dignement, me donnant des airs de diva, chose qui n'était pas bien difficile.

Je promenai un instant mon regard sur la grande pièce, comme je l'avais lasser. Toujours aussi féminine, dans les teintes de pourpe et crème, ma chambre offrait un important contraste avec le reste du manoir. Il y règnait une ambiance beaucoup plus sereine et légère. Il y avait toujours les nombreux bouquets de fleurs qu'entrenetaient les quelques rares domestiques et de nombreux miroirs pour refléter le peu de lumière qu'il y avait et non, comme il pourrait y paraître, pour m'admirer. J'eus un petit sourire, me sentant un peu plus chez moi, avant de me retourner vers lui, dans le cadre de porte.

-Dois-tu... partir maintenant?

Maintenant que je savais que Syltoruz pouvait très bien savoir où j'étais, je ne voulais plus qu'il parte. Un peu hésitante, je pris sa main dans la mienne, un peu froide.

-Ne voudrais-tu pas discuter un peu? Je ne suis nullement fatiguée.

-je peux resté si tu le désires oui

dit lentement Andrew en entrant dans la pièce refermant la porte derrière lui délicatement n'émetant que le déclique de la poignée de la porte. Le regard de l'homme se posa sur la pièces en créant un cercle pour couvrir tout les murs. La décoration était intéressante, mais pas au gout d'andrew qui n'en toucha cependant pas mot. La couleur surtout n'était pas énormément de son genre et les bouquet de fleure en grand nombre lui piquait un peu le nez. Il éternua d'ailleurs légèrement avant de sortir un mouchoir blanc et brodé d'un K.

-de quoi voudrais-tu discuté belle et douce Dulcea?

Je le vis éternuer et je souris. C'était mignon de le voir comme ça... Il avait presque l'air humain. Je notai en effet le K sur son mouchoir.

-Il y a en effet un sujet en particulier que je voudrais aborder. Pourrais-tu t'asseoir pour commencer, s'il te plait...
J'avisai le petit sofa placé juste devant mon lit, mais je restai debout. Mon sourire disparut peu à peu. Je savais qu'il ne voudrait sûrement pas m'en parler, mais je ne pouvais plus attendre. Ma curiosité était bien trop grande.

-Je sais que tu vas me détester pour cela... Mais je dois savoir...
Je me pinçai les lèvres, devenant lentement et progressivement nerveuse.

-J'aimerais que tu me parle d'«elle». Tout cela est très confu... Je sais que c'est un sujet très difficil pour toi... mais...Dit-moi ce qui c'est passé, il y a 600 ans. Qui était-elle et quel rapport a-t-elle avec moi ?

Il s'assit et dès qu'elle la mentionna Andrew ne put retenir un profond et long soupire Un soupire qui laissait bien voir à quel point ce qu'elle lui demandait était pénible et dur pour l'homme devant elle. Il vient se passer une main sur la visage en prenant une grande respiration.

-J'aurais aimé que tu ne me demande pas se genre de conversation. Miirik Athear c'était son nom. C'était une des plus belle dragonne que je n'avais jamais vu. Ses écaille était argenté et reflétait le soleil comme la neige en des millier de petit diament. Ses yeux était d'un mauve qui se changerait au doux rose près de sa pupille. Sa voix chantait comme mille petit ruisseau de montagne en crue au printemps. la membrane de ses ailes laissait voir l'arc-en-ciel miroitant... Elle était la pureté incarné et la douceur même.

Il se tut un peu étouffant un sanglot semblant vouloir resté près des souvenir heureux qu'il lui restait de sa défunte compagne.

- Cela remonte à l'ancien époque avant que les homme ne batise l'empire romain et ne se fasse connaître vraiment. Je l'ai marié face au roi et au prêtre c'était le jour leplus heureux de ma vie. Notre vole se vole avait duré une éternité à lui seul... et les chants..les chants que nous avons partagé... elle aimait la beauté simplement et elle chantait Dulcea elle chantait même les ange du faut dieux n'aurait pu égalé son chant...

Et son regard devient sombre.

-Et ils sont venu les suivant du faux dieux l'inquisition il y a 600 les templier et ces hommes avide de notre savoir illustre. Nous ne leur avons rien offert, nous connaissions déjà l'avidité humaine... Ils nous on décimé....et ils sont venu jusqu'en ma demeur...bien sur nous ne prenions plus notre forme naturel...mais ils l'ont débusquer... Il n'ont eut besoin que d'une dague fais dans la griffe de mon fils qu'il avait tuer pour la lui planté en plein coeur...

Les larmes coulaient et il avait depuis un moment détourné le regar dpour regarder ses pieds.

-Je n'ai retrouver que son corps et sa robe blanche couverte de son propre sang nacré.... Je n'ai même pas pu la défendre face à eux... et ils me l'ont enlever.... ma perle, mon ange et mon âme.

Puis il releva son regard draconique et non humain sur Dulcea.

- Tu lui ressemble, tu lui ressemble tellement dans ton être et ta nature.

J'écoutai son histoire avant de venir m'assoire vers lui. Tout mon être se mit à trembler. Je conservai le silence le plus complet ne voulant pas l'interrompre. Ce qu'ils disait était affreusement triste et lui demandait énormement d'effort.

Plus il avançait dans son récit, plus je me mis à trembler... à trembler comme une feuille. Je portai ma main à ma bouche.

-Non...

Des grosses larmes me montèrent aux yeux, ma gorge se noua. Je tendis la main vers lui et j'effleurai doucement son front puis sa joue. Mes tremblements ne cessaient pas. Mes doigts s'arrêtèrent sur sa mâchoire et je penchai ma tête vers la sienne. J'appuyai mon front contre le sien, en pleurant en silence.

-Je.... Je connais cette histoire, dis-je d'une voix vacillante.

Sans qu'elle n'est le choix Andrew tira d'abord sa main puis son bras elle elle finalement vers lui. Il emprisonna Dulcea dans ses bras posant son visage humide dans son cou pendant que son dos rencontrait le torse de l'être surnaturel et puissant qu'il était. Il la serra sans lui faire du mal respirant simplement son odeur ses larme coulant sur la peau blanche de Dulcea roulant comme de fine goutellette de pluie.

- Dulcea les dragons croient en la réincarnation Gaia la mère des mère prend les esprits et les renvois. Elle le fait toujours et je n'avais plus espoir je n'en avais plus. Et te voilà sortit de nul par femme qui d'abord ma rejeter et qui me demande mon aide. Celle qui portait un masque pour voilé sa vrai beauté.

Il se tut un peu.

-Comment connais-tu cette histoire Dulcea? Est-ce un parallèle à ta propre vie?

Il la regarda doucement la tenant toujours contre lui retirant son visage de son cou pour placer sa joue au déçu de sa tête.

Je me retrouvai dos contre lui et je me mis à sangloter. Le corps traversai de spasme continuels, je frémis quand son visage rencontra ma peau. Je fermai les yeux. La sitation me paressait tellement irréel. Je refermai mes bras sur les siens en fermant les yeux. J'avais peine à respirer.

-Ce que tu viens de me raconter, cette histoire... je la vois en rêve, encore et encore, depuis que je suis toute petite... Je l'as connais parce que je les vécus des centaines de fois pendant 200 ans d'existance. Ces scènes obscures me hantes... Toute cette souffrance. Cette douleure..., pleurai-je. Je ne savais pas ce que ça voulais dire et j'avais peur... si peur. Personne ne pouvais me dire ce que c'était alors je me suis tus là-dessus... J'ai essayé d'enfouir tout ça en moi, de me cacher, d'être plus forte... Andrew, si tu savais... Et puis toi, tu arrives un matin, comme ça, dans ma vie et tu commences à creuser à même ma carapace...

Je cherchai mon souffle et resserrai mon étreinte sur lui.

-Où étais-tu...?

- J'étais perdu et sans lumière Dulcea. J'étais dans ma crevasse coucher en espérant que vienne les humains pour qu'ils viennent me prendre la vie. Mais il ne sont jamais venu j,ai dormit de longue années de très longue années que l'on peut compté en décénie. Je n'avais plus rien mon trésor aussi immensse était-il tout ces bien la était si vain et fade sans que tu ne sois la.

Il passa l'arrête de son nez sur la tête de Dulcea et vient caresser du revers de sa main gauche la joue de Dulcea avec une infinie délicatesse avant de remonté dans ces cheveux pour y glisser ses doigt noueux.

- Je suis la à présent et jamais je ne te laisserai. Plus jamais je ne t'abandonnerai. Je suis si désoler Miirik.

Lui dit-il a l'oreille dans un petit sanglot avant de lui embrasser un peu l'oreille puis le déçu de la tête.

Je penchai un peu la tête sur le côté en fermant les yeux.

-Kultul’Maakar,soufflai-je doucement.

Je me calmai doucement en reprenant finalement mon souffle. Je pris une grande inspiration, même si mes larmes continuaient de couler sur mes joues. J'ouvris les yeux, et je tournai mon visage vers lui.

-si... Si je cherches tes lèvres encore une fois, me repousseras-tu encore? Te transformeras-tu encore en dragon sous mes yeux pour t'envoler par la suite?

Je lui lançai un regard triste par dessus mon épaule.

il posa sa paume tiède sur la joue de Dulcea et au lieu qu'elle ne l'embrasse il l'embrassa. D'un tendre et doux baisé il posa ces lèvres chaude sur celle de l'elfe comme une délivrance. Il fit duré se contacte longuement à ne plus savoir quel heure il était. Puis il brisa le baisé pour posé ses yeux gris bleuté sur Dulcea.

- plus de transformation innatendu, plus de cachette et plus jamais je ne te repousserais ma tendre tendre moitié.

Dit Andrew calmement en lui offrant un vrai sourire.

- Mon coeur t'appartient comme il t'a toujours appartenue je suis tien Dulcea .

Je fermai les yeux et me retournai complètement vers lui. Je répondis immédiatement à son baiser avec un amour que je ne me croyais pas capable de donner, mes deux mains dans sa nuque. Je soupirai de bonheure contre ses levres. Depuis le soir ou j'étais entré dans sa chambre j'avais envie d'une telle chose.

-Non... Plus jamais,dis en posant un dernier baiser sur ses lèvres.

Je cessai de pleurai et je réussi aussi à lui sourire tristement en caressant sa joue.

-Mon cœur aussi t'appartiens, Andrew... Mais moi je ne t'appartiens pas.

Je portai mes deux mains à ma bouche et je me remis à trembler.

-C...c'est à lui que... Oh! Mon Dieu! Ce mariage approche à grands pas. Il reviendra bientôt et me traînera de ses mains sanguignorante jusque sur le champ de batail où nous nous unirons. Et après, il...

Je sautai au cou d'Andrew en pensant à ce qui venait au soir du mariage.

-oh! Non! Je ne veux pas!

- alors je t'enleverai à ses griffes. Je ne te laisserais pas choir dans les ombres ainsi ma toute belle je me l,interdit. Aucun homme ne te touchera plus sans que je ne le veuille plus personne ne pourra te faire du mal, car ils devront affronté kultul' Maakar le grand du nord.

Dit-il avec fermeter et vigeur la pressant sur lui sans lui faire de mal.

- Je ne laisserais pas le choix a Syltoruz. Il devra se trouver une autre femme s'il tient à sa vie.

Il passa à nouveauune mais dans les doux cheveux blond de Dulcea.

-Tu es la chose la plus précieuse que j'ai à présent.

Mes bras enroulés alentours de son cou, je le serrai un moment contre moi. Ses paroles avaient sur moi un effet des plus rassurants. Je me dégageai lentement de lui et j'essuyai mes yeux en reniflant un peu, chose qui n'avait vraiment rien de très chic. Encore une chance que je n'avais pas mit de mascara...

-Pardon...
Je baissai les yeux en passant mes deux mains dans mes cheveux et je retirai l'élastique pour libérer mes boucles. Ma couette était vraiment sur le bord de tombée, je secouai un peu mes cheveux alors que mes sanglots cessait doucement. Puis, je vins m'assoire sur lui lentement, et je lui frottai doucement les épaules.

-J'aimerais te croire, mon tendre Andrew... Mais comment t'y prendras-tu? Il n'écoute rien ni personne. Syltoruz n'a qu'un dieu: lui-même...

L'ombre d'un sourire étira mes comissures et je caressai sa joue. Il était si beau... Peu importe la forme qu'il prenait.

-Il écoutera se qu'il a toujours écouté Dulcea. Je lui proposerai une parcelle infime de mon pouvoir. Il y gagnera une puissante magie, c'est un homme avide il ne refusera pas tu n,es qu'un pion pour lui. IL ne tient à toi que comme un bien matériel tu es donc moneyable ma douce et moi j'ai les moyens de payer

Lui dit-il rassurant venant caresser son cou avec le bout de son nez commençant sur la bout de l'épaule et remontant jusqu'a sa joue pour y déposer un chaste baisé.

- Ne demande pas pardon tu sera toujours excusé en ma présence Dulcea.

Il glissa un bras sur ces épaules pour la ramener plus près de lui. Puis il se leva ne la tenant que d,un bras.

-Cependant à présent il te faut dormir ma belle. Tu veille depuis trop longtemps et tu va te fatigué.

Il la porta en princesse jusqu'a son lit ou il l'y déposa délicatement il s'abaissa pour pauser un genoux au sol se retrouve plus petit qu'elle.

-Et ne t'en fait pas.

Il lui pris la main et la serra tendrement.

-Se soir je ne quitterai pas cette pièces.

Je baissai les yeux en hochant la tête.

-Un bien matériel...

Je souris encore quand ses lèvres vinrent se poser sur ma joue.

-Déja?

Andrew me prit dans ses bras, mais je ne luttai pas. Il était vrai que j'étais morte de fatigue. Je m'entendais lentement et posai ma tête frissotée sur l'oreiller de plumes d'oie.

-Heu... Andrew?

Je ne voulais pas qu'il parte. Il prit ma main et ça me rassura un peu.

-Mais toi, tu n'es pas fatigué?