Por Una Cabeza (Andrew)- terminé

Je m'étais réveillée de bonne humeur, le coeur léger ce matin là. J'avais mis une robe bleu royal qui trainait dans ma pendrie depuis belle lurette. Je l'avais rehaussé d'une large centure noire ainsi que des chaussures à talons hauts de la même couleur. Je n'avais pas croisée Andrew de la journée et je trouvai cela très mystérieux. Mais enfin, il restait un être solitaire je penses.

Je lui avais donnais rendez-vous à 7 heures à la bibliothèque, mais j'y étais arrivée près d'une heure à l'avance pour profiter un peu de la tranquilité des lieux. Un peu malgré moi, je m'étais dirigeai vers le fond, là où je l'avais amené la veille. Je me promenai lentement, les bras croisés dans mon dos., fredonnant l'air de Por Una Cabeza. Mon regard se posa soudain sur un livre qui sortait légèrement de l'étagère. Je fronçai les sourcils. Tiens...

Je tendis la main pour voir de quoi il s'agissait. Mes yeux rencontrèrent rapidement... Les Fleurs du mal. Je regardai à gauche, puis à droite m'assurant qu'il n'y avait bien personne. Je regardai à nouveau le livre en passant un doigt indécis sur mes lèvres... Tu es ridicule! J'espère au moins que tu le sais... Je ne l'avais jamais lu... Ah et puis zut!

Je l'ouvris et tournai les talons en me plongeant dans ma lecture, attentive.

Andrew avait passé la journée à son travail habituel. Il avait passé sa journée à la bibliothèque municipal à trié les retours, replacé les livres puis enregistré les nouveaux emprunt. Sa journée était aller doucement comme il en avait l'habitude. Cependant il avait demander à un coolègue de le remplaçer un peu plus tôt aujourd'hui. Il avait une rencontre bien importante en soiré et la manquer était loin d'ête une option.

Dès 5heure il était rentré au manoir et était entré dans sa chambre pour se changer. Son pull vert de laine rejoignit le lit,puis ces pantalons beige. Il pris de nouveua vêtement et une serviette qu'il passa à sa taille avant de se rendre à la salle de bain près de sa chambre pour se laver. L'eau coula doucement pendant près de 45 minute et Andrew usa un peu de ces pouvoir pour passer le temps. Suite à cela il passa un pantalon noir de velour cordé, une ceinture de cuir à la boucle argenté et vieillit. Une chemise de lin blanche avec un pardeçu gris foncé.

Il remit doucement de l'ordre dans ces cheveux avant de sortir de la sall de bain dans un nuage de vapeur. Sifflotant un air joyaux il regarda sa montre et sourit. Il avait encore du temps pour souper et c'est ce qu'il fit avant de se rendre discrétement à la bibliothèque. Doucement les lumières ossilèrent, avec la plus grande des discrétion Andrew approcha de Dulcea se mouvant dans les ombres des rayons. Il apparu au coin de l'oeil de l'elfe à la dernière minute avant qu'autour d'eux il ne fasse à présent que noir.

L'homme lui sursura doucement et tendrement àl'oreilles.

-Bonsoir.

Je ne sus je passai combien de temps fourré dans ce bouquin. Complètement absorbée, je décourvris un poète d'un rare talent... Seigneure! Comment avais-je pu dire une telle chose à son compte au café?!

Je tournai une nouvelle page alors que j'eus la nette impression que les lumières faiblirs. Tout d'abord, je me dis que c'était probablement dû à mon imagination fatiguée ou bien une courte panne de courant... Après tout, nous étions sous-terre. Je continai tout de même ma lecture en arrêtant au coin d'une allée. Puis, les lumières s'éteignirent et je me crispai et je serrai le livre contre mon coeur. Ma respiration s'accéléra jusqu'à ce que je n'entende ,tel un souffle de vent, ... un simple bonsoir. Un frisson parcoura mon dos en entier et je souris en reconaissant cette voix.

Je posai finalement mes yeux sur lui et je m'empressai de cacher le livre dans mon dos en affichant un encore plus grand sourire. J'étais certe très heureuse de le voir, mais pas avec du Baudelaire dans les mains. C'était trop ridicule. Ça! Tu n'avais qu'à y penser avant, ma veille!

-Ah! Andrew. Quelle joie de vous voir, fis-je tout bas, sachant très bien que o-u-i, nous étions dans une bibliothèque. Comment s'est déroulée votre journée?

Les lumières se ralumèrent doucement tout autour dans la pièce tandis qu'Andrew allait se placer doucement devant Dulcea pour prendre sa main et faire une révérance courtoise sortit tout droit des âges. Ses yeux était à nouveau humain à la différence d'hier ou elle avait laisser un Andrew au yeux de dragon. Il lui sourit aimablement sans plus son visage était redevenu un territoire froid et innexpressif au yeux ouvert sur un océan en tempête.

-Très bien mademoiselle et la votre? J'espère que vous avez pu bien dormir malgré l'heure oncongrue ou vous vous êtes couchée.

Dit-il tout bas et aimablement relachant doucement la main libre de Dulcea faisant glisser ces yeux d'acier vers le livre qu'elle tendait de cacher à l'homme en une fraction de seconde ces yeux devièrent draconique avant de redevenir humain en un clignement d'une double paupière.

-Baudelaire, je suis surpris je croyais que vous ne l'appréciez point mademoiselle Dulcea.

Je m'efroçai de sourire naturellement, tenant fermement le livre contre l'arrière de ma robe.

-Oh! Mais j'ai très bien dormie je vous remercie et ma journée fut d'un ennuie presque mortel, mais je vous épargnes les détailles, dis-je avec un léger humour.

En fait, je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit et je m'étais remis à écrire. Hier soir, j'avais été frappée par l'inspiration et je ne me rapellais pas la dernière fois où cela m'étais arrivée. Mais ça, il n'était pas oubligé de le savoir.

Je sentis soudain le poid du regard d'acier d'Andrew... Il avait vu le livre...

-Ah bon? J'ai dis ça, moi?

Je lâchai un petit rire nerveux, prise sur le fait avant de finalement le ramener dans mes mains. Je retrouvai un peu mon calme, et je replaçai une mèche rebelle dans mon chignon, les yeux posai sur le bouquin.

-Mais sérieusement... L'autre jour, j'ai dis cela sur le coup de la colère. En fait, je n'étais pas une amatrice de ce cher Charles Baudelaire. Cependant, j'avoue ne pas avoir pu résister lorsque je l'ai vu. Vous voyez, j'ai encore eu tort: il est excellant.
Je levai les yeux vers lui, avec un petit sourire en coin.

-Vous ne m'en voudrez pas, j'espères.

Andrew hocha simplement de la tête à la description que Dulcea fit de sa journée, ainsi que de sa nuit.

-Oui tout à fais vous aviez dit exactement ''que Charles Baudelaire était tout à fait passé de mode et ennuyeux.''

IL disait cela avec détahcement, mais semblait se forcé à vouloir mettre uen touche d'humour. Cela était cependant difficile du à sa nature profonde et l'impression qu'il était toujours las et triste. Andrew eutun sourpire avant d'ajouté.

-C'est dans l'ignorance que les plus grande erreur son faites mademoiselle Dulcea ce n'est pas plus grave ce n'était qu'un livre...pas une vie...Je crois pour ma part que j'ai quelque livre à lire signé de votre plume non? Voudriez-vous me les indiquer avant que nous ne quittions la bibliothèque pour commencer votre ensaignement.

Je me contentai de rire, un peu embarassée aussi consciente de l'effort que cette remarque un peu «comique» lui demandais énormement d'effort. Mais Andrew était ainsi je penses. Cependant, je me demandes ce que j'aurais donné pour revoir son véritable sourire qui n'avait malheureusement duré qu'une demi seconde, hier soir.

-Oui, bien sûr. Vous n'avez qu'à me suivre alors...

Je fus très flater qu'il veuille accordé à mes modestes ouvrages un peu de temps... Qu'il les aimes aurait été une autre histoire, mais au moins, il aurait prit la peine de s'y interessé un peu, pensai-je ene faisant un premier pas. Je m'arrêtai soudain et je lui fis à nouveau face.

-...Ah! Et s'il vous plait Andrew, commençai-je avec un petit sourire énigmatique, appelez moi Dulcea. Tout simplement.

Après les confiences que bien évidemment je n'avais faite à personne d'autre qu'à lui, je n'avais le coeur à me faire appeler mademoiselle. Je me remis alors en route vers le côté nord-est de la blibliothèque. Une fois avoir tourné dans la rangée que je cherchais, je dis:

-Et sinon, avez-vous revu cette si charmante petite serveuse du café?

-non une fois que vous avez quittez elle a reprit son quart de travail et je l'ai laissé continué sa jeune vie.

Répondit-il tout en suivant l,elfe de près. Il laissa ces yeux vagabonder sur les rayons et les tonnes de livre entasser et coincé sur les étagères de bois. Andrew sembla un brin pensif puis reprit.

-vous en avez écrit combien?

Demanda-t-il avant de se pencher un peu pour voir les titre que Dulcea chercherchait. Il regarda avec intrigue jusqu'a ce qu'elle lui sorte le premier de ces livres qu'il prit dès qu'elle le lui tendit pour l'observer et en lire le titre.

-vous avez combien d'années d'écriture ?

Je tentai de masquer mon petit sourire victorieux. S'il m'avait répondu qu'il s'était revu, j'aurais été un peu déçue.

-Ah bon?, déclairai-je en m'arrêtant devant l'étagère que je recherchais.

Je le regardai de biais avant de me saisir de deux petits livres au niveau de mes yeux après avoir passer quelques secondes à les cherchers.

-Elle avait portant l'air de vous trouvr tellement interessant, continuai-je sur grand sourire blagueur.

Je lui tendis deux receuils de nouvelles racontant les histoires et les contes que mon père aimait me réciter étant encore enfant.

-Je vous taquine Andrew, ne faites pas attention à mon mauvais sens de l'humour... Et sinon j'ai plus d'une quainzaine de livres différents à mon actif. Bien sûr, j'ai dû écrire sous différents noms, certains plus célèbres que d'autre. Puisqu'en 40 ans de métier, les gens aurait finit par voir que je ne vieillissais presque pas.

Je devais chaque fois changer de maisons, d'entourage et de look. Passant du blond, au brun. Du roux et encore au blond... Et j'ai fini par m'en lasser, c'était surtout pour cela que je vivais maintenant à Aras. Avant de rencontrer Syltoruz, je vivais encore sous le nom d'emprunt d'Amanda.

Je croisai finalement mes bras sur ma poitrine et je plongai mon regard dans le sien.

-Si je puis me permettre, je vous proposerai de sortir ou d'aller dans la salle d'arme. J'ignore quel dégat je pourrais causer...

L'homme pris avec délicatesse les deux petits recueilles et les glissa sans la poche de son pardessus bien à l'abrit. Andrew ne sembla pas faire vraiment attention ou cas de l'humour maladroit de Dulcea l'homme sentait bien qu'il y avait eut un brin de jalousie et de possessivité dans cette question. C'était très habituel chez les peuple plus ...imparfait et Andrew depuis longtemps ne s'en formalisait pas plus qu'il n'en fallait. Son propre peuple avait également ces défauts...

L'ancien eut un petit rire franc quan Dulcea dit qu'elle pourrait causé des dégâts. Cela le fit vraiment rire quelque rare seconde pour l'absurdité de la phrase. Elle avait un potentiel, mais Andrew doutait qu'elle ne soit un danger pour quelconque intégrité structurel d'un objet autour d'elle.

-Bien je vous suis Dulcea

Je fus tout à fait surprise et étonnement heureuse de l'entendre rire. J'eus un nouveau grand sourire. Wow! Andrew? Rire? Ça tenait du miracle!

Puis je devins légèrement pensive et je me tins le menton entre le pouce et l'indexe.

-Hmmm... Je me demande si le fait de sortir ne serais pas plus approprié .

J'hochai la tête et posant à nouveau mon regard sur lui.

-Nous pourrions bénéficiez du grand aire et de tranquilité. La nature est magnifique en cette saison et nous ne risquons pas d'être interrompu ...

Je me mis soudain et en route.

-De toute façon, Syltoruz à horreur qu'on touche à ses affaires..., lui dis-je par dessus mon épaule.

J'avalai soudain ma salive pour regarder devant moi. J'eus, l'espace d'un instant, un affreux inconfort suite à cette phrase tout à fait anodine. Je tentai de l'effacer en secouant légèrement la tête. Je guidai Andrew jusqu'à l'extérieur du manoir. À peine avais-je mis les pieds au dehors je me sentis terriblement bien. J'ignore ce qu'il y avait d'étrange avec moi, mais pour une elfe noire, j'adorais profiter du vent, de la nature et du soleil. Je fermai les yeux et je pris une grande respiration alors que les premierss rayons de rayons de lune automnales caressait mon visage.

-comme vous...

il se reprit spontanément.

-Comme tu le désire Dulcéa cela m'est plutôt égale nous somme la nuit et la lune est lever c'est tout se qu'ils nous faut pour commencer. Cependant il serait bon d'aller chercher nos manteau respectif je vous rejoint dans le hall nous quitterons pour le jardin qu'en dites-vou...qu'en dis-tu?

Il se reprit pour une 3ème fois avant de s'entendre d,un signe de tête avec Dulcea puis de se rediriger vers sa chambre pour prendre son vieille imperméable troué et tacher de son propre sang. Il le regarda en soupirant....son était était lamentable pourtant il l'aimait tellement....Il ne peut se réoudre et l'enfila sur ses épaules. Il pit son parapluie avant de prendre ces bottes et de se remettre en route pour le Hall.

L'homme attendit patiament assit dans les marche du manoir dans l'attente de Dulcea en tapotant u doigt une musique simple.

-Heu... Oui oui. J'en dis que j'aurais dû y penser avant, dis-je un peu nerveusement.

Je courus à toute vitesse vers ma chambre, le sourire fendue jusqu'aux oreilles. Il m'avait tutoyé! Je rêves ou quoi? Pourquoi cette soudaine familiarité à mon égard? Pourquoi en étais-je si emballée? J'ouvris d'un seul coup les portes de mon armoire. J'en sortis rapidement deux de mes manteaus préférés. Hmmm... Le rouge ou le blanc? Je les regardai un après l'autre sans pouvoir me décider. Rouge? Blanc? Mon regard s'arrêta sur le rouge et j'hochai la tête. Oui. Rouge!

Je nouai la ceinture à ma taille après avoir attaché les 4 boutons noirs. Quand j'enfilai mes longues bottes noirs au genous, mes pensées se tournèrent à nouveau vers ce qu'il avait dit. Je me demandai si à présent je devais à mon tour le tutoyer. J'en étais très heureuse mais tout à la fois troublée. Est-ce que ça voulais dire qu'il ne me considérait plus comme la femme froide et superficielle que j'étais? Un signe d'appréciation peut-être?

Au bout de quelques minutes, je revins au pas de course dans le hall et enroulant un long et large foulard autour de mon cou. Tout en descendant les marches à une vitesse aucunement appropriée à la hauteur de mes talons hauts, je le vis au bout de celui-ci.

-Oh! Non. Non. Non....

Lorsque j'arrivai derrière lui, je posai mes poings sur mes hanches.

-Andrew! Quel est cet accoutrement? Avez-vous... as-tu vu... L'état de votre manteau est tout simplement pitoyable.
Je ne savais plus trop si je devais le vouvoyez ou non. Autant attendre qu'il me le dise clairement. Je vins me postez devant lui en fronçant les sourcils.
-Levez-vous, je vous pris, fis-je en dénouant mon foulard.

J'enroulez ses épaules et une partie de son torse avec le bout de tissus aussis sombre que ses cheveux. J'évitai son regard en nouant le tout.
-Vous allez me faire le plaisir de ne pas attraper froid, je vous pris! Voilà! Hmmm... Ça vous donne un petit genre. C'est pas mal.
Je lissai le foulard sur ses épaules, aussi concentrée qu'une styliste. Ça me faisait un peu étrange de voir ce vêtement sur quelqu'un d'autre que moi. je portais tellement souvent cette écharpe qu'elle avait acquérit mon parfum.
-Si ça se trouves, vous allez lancez la prochaine mode masculine, continuai-je en le regardant avec un grand sourire, très fière de moi.

Il ne pourra pas dire que je ne prend pas bien soin de lui!

-hein?

Il se releva et tenta de comprendre un peu en vain. Dulcea agit tellement vite qu'andrew tenta de la suivre du regard baigaillant vainement jusqu'a ce qu'il arrive à placer un mot.

-mais j'aime cette imperméable....

dit-il sur un ton triste et abattue.

-il n'est pas convenable? Et je...je ne peux pas vraiment attraper froid...vous ne voulez pas garder votre écharppe?

Il regarda l'écharppe et respira malgré tout le parfum qui y était imprègné. Il ne dit rien cependant regardant de manière pantoise Dulcea.

-Bon! Voila qui est fait!

Je regardai le tout en joignant les mains devant mon visage. Le resultat etait tout a fait charmant.

-Vraiment, j'aime beaucoup! Tu as beaucoup de style, Andrew!

Oui. Bon! Je l'avais tutoyé... Mais c'etait plus fort que moi. J'aurais aimer qu'il me considere comme une bonne connaissance, quelqu'un sur qu'il pouvait compter. Tres fière, je le regarder de la tête au pied. Vraiment, il avait dû briser bien des coeurs sous cette apparence. Encore heureuse de n'en posseder aucun... Ou tout de même, encore intouché... Je le gratifiai d'un large sourire en riant.

-Allez! Ne perdons pas un instant de plus!

Je l'attrapai par le bras et je sortis en toute hâte.

Andrew n'eut pas vraiment le choix et se laissa entrainé par la Dulcéa sans rien ajouté la tête base le regard tout aussi bas. Il n'ajouta cependant rien pour ne pas brisé son enthousiasme. Il prit un morceau de l'écharppe entre ces doigt pour sentir le grain du tissu. Du cachemir ... le tissu noir était très doux...mais peu malsculin. Andrew n'en fit pas la remarque et suivit nonchelament Dulcea la ou elle voulait aller.

-je n'ai que le style que tu as voulu me donner Dulcea

dis finalement l'homme pendant qu'il marchait. Et c'était vrai ce n'était pas son style c'était celui que Dulcea avait voulu lui donner. Lui son vieux manteau il l'aimait comme il était sans ajout même s,il était troué et ne piteux état. Andrew pensa momentanément qu'il faudrait peut-ête changer après plus d,un siècle de bon et loyaux service de cette imperméable. Un retraire dans une malle... ne lui ferait peut-être pas de mal.... Andrew secoua la tête...une nouvelle chose qui finirait dans une malle...dans l'oublie...dans....

Andrew passa une main sur son visage pour tenter de cacher des larme qui naissait dans ces yeux et il réussit plutôt bien il ravala une boule dans sa gorge et continua en accélèrent un peu le pas qu'il avait ralentit.

J'arrivai bientôt dehors, avec Andrew qui traînait un peu trop le pas. Je passai donc de son bras à sa main et je marchai un peu devant lui. Tout ça était très excitant. J'étais très heureuse, quoiqu'un peu déçu qu'il ne partage pas tout à fait ma motivation.

-C'est tout près, dis-je sans même me retourner.

Je l'entraîné dans une grande clairière où trônait un majestueux chaîne s'élevant bien plus haut que les autres. Je m'arrêtai à quelques mètres de celui-ci et je levai lentement les yeux vers cet arbre impressionant, les lèvres entrouvertes et les yeux brillants. Ce lieux avait pour moi quelques chose de féerique.

Je me retournai soudain vers Andrew pour voir si ce lieux lui convenait... pour me rendre compte que ses yeux étaient tout humides.

-Oh! Non, fis-je en perdant d'un seul coup toute ma joie pour redenir très inquiète. C'est l'écharpe, n'est-ce pas?

Je fis un pas vers lui et passai verneusement une main dans mes cheveux que j'avais laissé un peu plus tôt, laissé tomber sur mon dos. Je sondai son regard, cherchant une explication. Qu'est-ce que j'avais fait encore?!?

Je tendis des mains légèrement tremblantes vers le noeud du foulard.

-Je peux te l'enlever, si ce n'est que ça, fis-je en attrapant celui-ci, commençant nerveusement à le défaire.

Andrew regarda la clairière avec un oeil attentif puis leva son regard vers le ciel. Le ciel était légèrement couvert et Andrew eut une petite moue en fixant la lune qui se faisait cacher par moment. Peu à peu le vent se leva et les nuages doucements quittèrent le ciel pour se dégager. Une fois les nuages dissipés le vent se calma aussi mystérieusement qu'il était arrivé.

Cependant que la météo changeait Andrew ne donna aucun signe d'impresison de froid ou autre. Il baissa son regard sur l'écharpe et arrêta le geste de Dulcea.

-non ce n'est pas l'écharpe laisse tombe se serais compliqué à expliqué et tu dois te te focusé sur autre chose ton entrainement est plus important.

J'eus un mouvement de recul et je fis une moue un peu surprise et bizarement déçue d'avoir été repoussé.

-Ah oui. L'entraînement. Bien sûr, fis-je glissant mes mains dans mes poches.

J'hochai la tête en me pinçant les lèvres.

-Par quoi... Voudrais-tu commencer?

J'eus soudain un léger frisson de froid et je frémis. Je me demandes si je n'aurais pas dû prendre le manteau blanc... lui au moins était doublé!

Andrew eut une moue encore plus triste après le regard unpeu torve que lui lança Dulcea après qu'il n'est pas voulu qu'elle lui retire l'écharppe. Il soupira profondéement avant de reprendre une bonne respiration et de se déplacer un peu pour regarder à nouveau l'astre lunaire.

-d'abord tu dois faire un avec Luna, l'esprit de la lune. C'est elle qui est ta mère, c'est donc d'elle en premier lieux que tu tireras tes pouvoir, même si à longtemps tu n'aura plus besoin de la voir pour jouer avec les ombres. Sache que Luna est plus jeune que Gaia l'esprit de la terre, mais qu'elle est plus ancienne que quiconque. Elle à sa volonté propre. Tu dois la ressentir en toi crois moi quand tu sentira le contacte tu ne me demandera même pas s'il c'est fait. C'est naturelle tu aura l'impression de comprendre enfin se que sont les océans.

Dit-il doucement tout en détaillant la lune sans regardé Dulcea.

- et tu dois avoir le potentiel d'entré en contacte avec Luna dès se soir j'en suis presque convaincu.

ajouta-t-il avec une conviction mélanger à un étrange regard a la fois désespèrer et brulant d'espoir.

J'écoutai avec attention et dévouement ses paroles.

-La... La L'une?

Je n'étais pas tout à fait sûr de comprendre ces dires, mais le regard qu'il me lança me convaincu que je devais absolument réussir. Une petite voix en moi me dit que je ne pouvais tout simplement pas le décevoir.

Je levai les yeux vers l'astre lunaire, les lèvres entrouvertes. Bon...

Je fermai les yeux et je retins mon soufle en me crispant. Je pris une lente et profonde inspiration. L'una est ma mère... Je dois ressentir le contacte. Au bout d'une minute, j'ouvris un œil.

-Je n'ai rien ressentit... C'est normal, tu crois, demandai-je déçue,

-en moins d,une minute oui pour une elfe qui n'a jamais fais le premier contacte. Bon on va y allez d,une autre manière

Andrew défit son vieille imperméable et le mis sur le sol il s'assit sur une des extrémité et fit signe a Dulcea de s'assoir sur l'autre. IL croisa les jambe en indien.

-assied toi comme moi et donne moi tes mains.

Il prit délicatement les mains offerte et les serra avec tendresse dans les siennes.

-recommence et ferme les yeux prend une grande respiration. Cherche au profond de toi a chaque inspiration essait d'aller plus loin et de creuser au fond de ton être et de ton âme. Luna ta mère y est toujours vous êtes tous lier à elle par ce meu fragment. C'est comme un fil d'ariane une fois rendu au début tu peux remonté pour trouver le contacte avec ta mère.

Sans que Dulcea le voit dès qu'elle commença a respiré lentement et profondément Andrew fit tournoyer un peu d,eau autour de ces main et de ces avant bras. Se qui ut pour effet de peu à peu la détendre doucement pour l'amener presque vers le demi sommeil.

Je lui tendis les mains une fois assisse, les jambes repliée sur le côté. J'haussai un sourcil, incrédul, bien que mes yeux soit fermé alors qu'il m'expliquait ce que j'avais à faire. Je soupirai. Je tentai tant bien que mal de m'extérioriser de toute cette peur et ce stresse qui m'habitaient depuis quelques temps alors que j'essayais de trouver mon fort intérieur, trouver cet étrange lien que j'aurais dû avoir avec la lune. Je me détendis et mes épaules s'affaissèrent. Ma respiration était la seule chose que j'entendais ainsi que le vent dans mes boucles blondes. Au bout de quelques minutes je fronçai les sourcils et je me crispai. J'ouvris rapidement les yeux et battis des paupières à grande vitesse. Je ne m'en rendis pas compte, mais l'espace d'un instant mes yeux avaient été traversés par une subtile explosion d'un bleu Kelvin pour finalement disparaître quand je secouai la tête.

-Je n'y arrive pas, Andrew... Peut-être que je ne l'ai pas tout simplement.
Je lâchai ses mains pour les posai au sol quand je mis mon genou à terre.

-J'ai froid et je vois bien que je vous fais perdre votre temps.
Je me levai, en colère contre moi-même et affreusement déçue. Je balaiyai d'un geste tous mes espoirs de pouvoir être une véritable elfe de la lune.

-Ça ne sert à...
Quelque chose d'affreusement étrange se produit soudain et j'écarquillai les yeux en faisant volte-face. Ma main était comme qui dirait rester prise, bien droite devant le grand arbre et pris subitement une couleur pâle et glaciale avant de s'illuminer comme une étoile. Soudain, tout droit sortit de nul part, un puissant jet de glace fut projeter contre le chêne sous mon regard ébahit.
-Mais qu'est ce que...?
Je tins fortement mon poignet pour tenter d'arrêter le tout pendant ce temps le tronc à 5 mètres de moi commença à se recouvrir de givre. Une affreuse panique s'empara de moi, de ma main à mon coude, il était impossible de bouger mon bras. La glace recouvrit lentement telle une maladie infetueuse tout le corps de l'arbre. Je lâchai un cri d'horreur en esseyant de reculer mais en vain. Je voulais que cela cesse! Mais ma peur ne fis qu'empirer les choses. Des racines, aux hautes branches jusqu'à chaque feuille fut recouverte d'un épaisse couche gelée sous des craquements inquiétants. Il va me tombber dessus, me dis-je. Quand soudain, tout s'arrêta et je fus relâchai. Je fis un pas en arrière, cherchant un appui. Je tentai de trouver Andrew du regard, mais mes jambes devinrent molle. Je me sentis défaillir et ce fut le noir complet dans mon esprit.

-tu abandonne trop vite

repliqua Andrew quand Dulcea se leva. L'homme soupira légèrement comment pouvait-on avoir l'éternité devant soit et être aussi impatiant. Il se secoua légèrement la tête et se releva pour aller rechercher Dulcea quand celle-ci projeta de la glace sur le pauvre chêne. Les yeux d'Andrew s'écarquillèrent comme deux grosse bille. IL resta figé et pantois...de la glace...elle ne maîtrisait rien c'était évident...mais de la glace....les elfe jouait plutôt avec les ombres généralement....Andrew avança vers elle et fut derrière juste au moment ou elle perdit connaissance. Il l'attrapa sans grande difficulté puis retourna vers son imperméable pour la déposer déçu.

Je perdis connaissance et je m'affaissai contre lui.

Je tiquai en poussant un imperceptible gémissement. J'ignore combien de temps est-ce que je suis rester dans cet état, mais je fus plonger dans un profond sommeil peuplé d'affreux souvenirs de la révolution souteraine.

Les gens qui criaient et qui s'enfouillaient dans les rues. Les coups de feu et les bombes. Je me revis moi, petite adolescente, entrer en panique dans la chambre de mon père et de trouver son coprs inanimé et glacial sur le sol. Un homme qui avait été un héro, baignait dans son propre sang. J'avais crier en reculant. Ma mère, était arrivée derrière moi avec un officier qui lui était rester fidèle. ''On ne peut pas rester là, mesdames!`` avait-il dit alors qu'Elenaya me prit dans ses bras et m'empêcher de voir la scène en pleurant.

Le reste s'était passer tellement vite, on nous avait fait passer, elle et moi à travers différentes ruelles en évitant les endroits où ça grouillaient davantage. Je me rapelle de la voir courire devant moi, avec sa longue robe violette, ses cheveux bouclés bruns qui voulaient à un mètre de moi, ``Plus vite, Dulcea!`` Je faisais ce que je pouvais. J'avais souvent trébuché, j'avais peurer et des larmes aveuglaient ma vision. L'officier qui nous ouvrait la marche avait été abatu sous nos yeux. Ma mère avait dû m'empêcher de crier, sa main devant ma bouche pour ne pas que notre position soit dévoilé.

Cétait affreux....