T'est qui (PV Lynkrist et Dulcea)- Terminé

Je courut après se jeune et je le rattrapai proche de la sortie du bar.
Je lui mit la main sur l'épaule, et sortit une seringue que j'appuyai sur son cou, sans l'enfoncer.

-Bonjour, j'aimerais savoir qui tu es pour te battre de cette façon. Là tu vas me dire mais pourquoi et là je vais te répondre que j'ai une seringue qui pourrait gentiment t'envoyer dans l'autre monde appuyé sur ton cou, donc économise ta salive et parle, vermine.

J'avais retiré mon masque et une froide détermination se lisait sur mon visage.

Lynriskt venait de combattre devant la porte d'un bar. Il n'avait jamais fait cela en public, mais sa avait plus la plupart du monde. Quand il partit, un homme le prit par derrière et lui mit une seringue au cou. Il le tenait fermement.

-Bonjour, j'aimerais savoir qui tu es pour te battre de cette façon. Là tu vas me dire mais pourquoi et là je vais te répondre que j'ai une seringue qui pourrait gentiment t'envoyer dans l'autre monde appuyé sur ton cou, donc économise ta salive et parle, vermine.

Le jeune lupus sourit. Il n'avait pas peur de mourir, et rien le retenait en vie pour le moment.

- Je suis Alex Lynriskt Storm, fils du légionnaire White Wolf Hylios Storm. Je pourais vous poser la même question, mais disons que je n'ai pas vraiment le gout avec votre...arme en main.

Il resta immobile.

- Je suis Alex Lynriskt Storm, fils du légionnaire White Wolf Hylios Storm. Je pourais vous poser la même question, mais disons que je n'ai pas vraiment le gout avec votre...arme en main.

Ce jeune homme est décidément plein d'audace.

-Vu que je me sens de bonne humeur, je vais te dire je suis qui, je m'appelle Pavel Léonidovitch Viatcheslav, mais ta réponse ne me satisfait pas, donc je vais te montrer un avant-gout de ce qui va t'arriver si je t'injecte mon poison.

Je la plantai dans son cou et j'injectai un peu du liquide dans ses veines. Immédiatement, du sang se mit à coulet de son nez et des ses oreilles.

-Maintenant, je suis sur que tu est mieux disposé à répondre à mes question. Pourquoi tu te bat aussi bien? Si tu réponds comme il faut je te donnerai de l'antidote.

-Vu que je me sens de bonne humeur, je vais te dire je suis qui, je m'appelle Pavel Léonidovitch Viatcheslav, mais ta réponse ne me satisfait pas, donc je vais te montrer un avant-gout de ce qui va t'arriver si je t'injecte mon poison.

Il planta la seringue dans le cou du jeune lupus. Peu de temps après, du sang coula de ses oreilles et de son nez. Il mit sa main pour regarder.

-Maintenant, je suis sur que tu est mieux disposé à répondre à mes question. Pourquoi tu te bat aussi bien? Si tu réponds comme il faut je te donnerai de l'antidote.

Lynriskt n'avait pas peur de mourir.

- Je combats comme je l'ai appris. Ce qui veut dire, seul.

Il ne bougea pas, mais il regarda vers le ciel comme s'il attendait la mort.

J'avais entrepris de retourner au manoir Myzz'Ryn, mais j'avais eu l'intuition que Syltoruz aurait peut-être besoin de mon aide. Je retournai donc au pas de course, malgré mes talons aiguilles, à la sortie du bar. Je vis soudain mon maître qui tenait fermement un adolescent sans défense, avec du sang au nez. Mais que diable fabriquait-il?

- Je combats comme je l'ai appris. Ce qui veut dire, seul.

Je fis un pas dans la lumière du lampadaire qui élairait faiblement la rue, les sourcils froncés. Le petit attendait la mort, j'était peut-être une elfe noire, mais j'étais contre le meurtre d'enfant.

-Monsieur, que faîtes-vous donc?

Je portai une robe bustier noire qui moulant ma longue silhouette, ainsi je contrastais vraiment avec le décor de ruelle.

- Je combats comme je l'ai appris. Ce qui veut dire, seul.

Tu me dis pas.

-Monsieur, que faîtes-vous donc?

-Oui, mais tu est trop jeune pour être aussi bon, ça cache quelque chose. Bon, vu que je me sens de bonne humeur, je ne te tuerai pas, voici l'antidote.

Je lui tendis une petite fiole que je sortis de mon manteau, ainsi qu'un mouchoir pour essuyer le sang.

-Mais j'aimerais savoir comment en étant aussi jeune, tu te bat aussi bien. Et pourquoi tu n'est pas surpris par mon apparence.

-Monsieur, que faîtes-vous donc?

Lynriskt baissa le regard vers la jeune femme devant eux. Elle était ravissante pour vrai. Mais il avait affaire a une autre personne pour le moment. Il garda le silence.

-Oui, mais tu est trop jeune pour être aussi bon, ça cache quelque chose. Bon, vu que je me sens de bonne humeur, je ne te tuerai pas, voici l'antidote.

Lynriskt prit l'antidote et l'approcha de sa bouche. Il regarda rapidement la jeune femme, puis but le liquide. Il essuya le sang.

-Mais j'aimerais savoir comment en étant aussi jeune, tu te bat aussi bien. Et pourquoi tu n'est pas surpris par mon apparence.

Il le regarda de haut en bas, puis la jeune femme.

- Je ne sais pas pourquoi je cacherais quelque chose. Je combats depuis mon enfance et c'est tout. J'ai appris seul.

Il tourna la tête vers la jeune femme.

- Votre petit copain pourrait être un peu moins...radical.

Il regarda le vampire de nouveau.

- Pourquoi aurais-je plus peur de votre visage que de votre poison? Vous n'êtes pas les êtres bizarres que je rencontre, vous saviez.

Syltoruz n'avait même pas daigné me repondre ou même se retourner vers moi. Après tout il avait l'air assez absorbé dans la discussion avec le jeune homme et je devais respecté cela. Il était mon mâitre après tout... Mais quand même. Je fis quelques pas vers eux, les mains sur les hanches.

-Votre petit copain pourrait être un peu moins...radical.

Mon copain?!? Je jetai un regard furtif vers le mignon jeune homme. C'est bien la première fois que l'on qualifiait ma relation avec mon supérieur ainsi. Mais je restai impassible et neutre. Oui certe, j'avais un petit faible pour lui, mais de là à dire...

Syltoruz était radical, pour ça je lui donnais raison.

-Pourquoi aurais-je plus peur de votre visage que de votre poison? Vous n'êtes pas les êtres bizarres que je rencontre, vous saviez

Je vins me loger derrière l'elfe noir.

-Qu'a fait ce gamin, Maître, pour que vous lui fassiez subir un traitement que vous garder pour vos pire ennemis? Est-il dangereux à ce point, lui demandais-je tout bas.

-Qu'a fait ce gamin, Maître, pour que vous lui fassiez subir un traitement que vous garder pour vos pire ennemis? Est-il dangereux à ce point.

Elle croyait vraiment que c'était méchant ce que je faisais la, elle n'avait encore rien vu.

-Et toi petit comment est-tu au courant de notre existence, tu es un vampire, un lycan ou un chasseur de monstre?

Ça ne pouvait pas être un vampire, il ne leur ressemblait pas.

-Et toi ma chère Dulcea, prend note que ceci n'est qu'un échauffement, je peux faire bien pire.

-Qu'a fait ce gamin, Maître, pour que vous lui fassiez subir un traitement que vous garder pour vos pire ennemis? Est-il dangereux à ce point.
Lynriskt rit un peu du commentaire de la jeune dame.

-Et toi petit comment est-tu au courant de notre existence, tu es un vampire, un lycan ou un chasseur de monstre?

Il le regarda.

-Et toi ma chère Dulcea, prend note que ceci n'est qu'un échauffement, je peux faire bien pire.

Il regarda le ciel en soupirant. Quand le...le...l'homme bizarre devant lui le regarda. Il prit la parole.

- Je ne sais pas ce que vous êtes.., Et je suis...

Il baissa les yeux en soupirant.

- Un robot...Voila, vous êtes content?

Il sourit légèrement.

-Et toi ma chère Dulcea, prend note que ceci n'est qu'un échauffement, je peux faire bien pire.

Un frisson me parcourut le dos et je reculai d'un pas. Je savais très bien qu'il ne plaisentait pas. J'espérai seulement qu'il ne me fasse jamais du mal à moi. Je respectait beaucoup mon supérieur et je souhettais un jour être comme lui, mais j'avoue que quelque fois, il me faisait peur. Il hantait mes rêves comme mes cauchemars.

- Un robot...Voila, vous êtes content?

Mais ce garçon est fou ou quoi?

-Tu joues avec le feu, gamin. Je te conseille de lui réponde si tu tiens à la vie, dis-je à son 'intention sans aucune agressivité et calmement.

Ça allait mal finir ça... Pour moi cet adolescent ne représentait aucunement une menace. Mais j'avais pourtant la certitude qu'il n'étais pas humain pensai-je en avisant la lueur sauvage au fond de ses prunelles.

- Un robot...Voila, vous êtes content?

Ce jeune homme était décidément plein d'audace et de stupidité.

-Non, je ne suis pas content du tout.

Je sortit un Luger de mon manteau et lui tirai dans le cou. Il tomba endormit et je retirai la fléchette de son cou.
Je sorti une seringue vide et lui prit du sang que je mit en sécurité dans une petite flasque.

-Je lui ait injecté un anesthésiant relié a un agent amnésique, ainsi il ne se rappellera plus de notre petite conversation. Et grâce a ce petit échantillon, je vais pouvoir savoir qui est ce jeune imbécile.

Je le traînais jusque dans une ruelle et le laissai choir là.

-Bon, maintenant on peut y aller

Je remis mon masque et je parti vers le manoir.