Visite (Pv Dulcea, Andrew et moi-même)-Terminé

-C'est une formule de politesse soviétique. Et vous avez raison Andrew, ma bibliothèque fantastique.
Il devait vraiment me prenait vraiment pour une idiote...

-Je sais ce qu'est un camarade, dis-je doucement en baissant les yeux. Merci...

Je trouvais seulement que c'était particulier que ce fourbe d'Andrew l'appelle ainsi après qu'il est tenter de le tuer... Mais qui suis-je ici pour donner mon opinion? Seulement l'épouse du maître... Et je me faisais donner des ordres par un invité étrange aux origines mystérieuses et qui n'était arrivé que depuis une heure ou deux. J'en avez assez de toujours me sentir mise de côté lorsqu'il était présent. Dans un café, ça allait... Chez moi, devant Syltoruz.... Non.

Mais j'eus soudain l'impression que je jouais un rôle dans une pièce que je ne connaissais pas du tout, que le seul moyen de m'en sortir était de me plier légèrement devant cette situation des plus étranges. Autant se montrer plus discrète et digne. Tant qu'à faire, autant être une hôtesse légèrement plus agréable. Je n'aurais qu'à garder une relation polie avec lui et l'éviter le plus possible.

Alors, pour commencer, autant le savoir en un lieu précis. Je me détendis légèrement.

-Les livres traitants de cet période se trouvent vers le fond de la bibliothèque, fis-je, une fois calmée. Je levai un regard neutre sur lui. Souhaitez-vous que je vous y conduise?

-Et vous camarade vous aimez quelque chose en particulier?

-J'aime bien Conan Doyle et les deux premiers romans de Tom Clancy, ils m'ont toujours fait rire.

Sa puissance m'attirait, mais j'avais peur de me brûler tel un papillon sur une lampe. Mais qu'est-ce que c'était que c'est métaphore débile, je devenait vraiment de plus en plus mou.

un sourire fade fendit le visage d'andrew. Celui-ci laissa tomber l,examen des premier titre et retourna son attention vers Syl.

- élémentaire mon cher watson

dit-il sur un ton de blague en hochant doucement de la tête.

-Octobre rouge et Jeux de guerre personnellement je préfères Sans aucun remord et Red Rabbit.

Puis son ces yeux se posèrent sur le fond de la bibliothèque au dire de Dulcea avant qu'il ne reviennent. Il opina doucement et avec intérêt. Andrew était visiblement un homme étrange qui n'était pas tout a fais connecté à la réalité visiblement.

Tiens... Je ne savais pas que Syltoruz aimait la lecture... On en apprend tous les jours dans cette maison. Je me retournai par la suite vers Andrew qui semblait interessé par ma proposition. Bon... Il y avait moyen de lui parler. J'hochai, à mon tour, la tête une seule fois, entendue. Le visage au neutre, je passai devant Syltoruz en reserrant les lacets de ma robe de chambre rose... Ce n'était pas là, ma tenue la plus présentable en effet. Tanpis. Il n'avait qu'à pas débarquer ici en pleine nuit.

-Veuillez me suivre, monsieur Michael, dis-je d'un seul ton.

Je me dirigeai d'un pas pressé, le dos droit vers le fond de la bibliothèque, ne regardant que très rarement s'il me suivit. Je traversai de nombreuses rangées et je soupirai de soulagement en arrivant finalement dans l'aile que je cherchais. Je m'arrêtai devant le mûr du fond couvert de livre au cuir bruni. Un grand sourire s'étira sur mes lèvres alors que j'en touchai deux ou trois du bout des doigts.

-Voilà. Voilà, fis-je les yeux brillants d'admiration.

Je me retournai vers lui et mon sourire s'effaça un peu, mais tout de même.

-Vous trouverez ici des livres typiques de la secondes moités du XIXe siècle... Plus vous remonterez ce couloir, plus vous avançerez dans les dates d'apparitions...
Je me retournai à nouveau et fis quelques pas.

-Nous avons du Paul Verlaine, François Villon,Gérard Labrunie, Aloysius Bertrand et heu...

J'avalai ma salive et prit une courte pause.

-...Et aussi du Charles Baudelaire...

-Bon et bien, je pense que je vais vous laisser seul, vous avez l'air de si bien vous entendre et si tu l'attauqe Dulcea, tu auras affaire à moi.

J’espérais vraiment qu'il ne se battent pas dans le manoir, parce que probablement que tout le monde mourrait si Andrew faisait appel à ses pouvoirs. n parlant de ses pouvoirs, je me demande comment je vais faire pour les voler...

Je sorti de la pièce en marchant sans bruit.

Andrew lui fit un sourire un peu plus franc, ces yeux gris acier pour un moment perdant leur lassitude habituel. Il parcourrue ensuite des doigts les titre avec une avidité non caché il finit par arrêter son doigt sur un receuille de Rimbaud. Il sortit le vieux livre à la reliure de cuir entamé par les années. L'homme le regarda comme un objet précieux.

-un original de la première parrution.

dit-il avec les yeux brillants comme ému en repossant son regard sur Dulcea.

-Merci

Dit-il sur un ton franc le livre toujours en main.

-Je crois que je vais rentré à ma chambre j'ai de la lecture pour le reste de la nuit.

Ajouta finalement Andrew en reprennant sa valise. Il commença à refaire le chemin contraire. Avant de quitter Dulcea il se retourna une nouvelle fois.

-Vos roman son t'il quelque part ici dans cette bibliothèque?

-Bon et bien, je pense que je vais vous laisser seul, vous avez l'air de si bien vous entendre et si tu l'attauqe Dulcea, tu auras affaire à moi.

J'ouvris grand les yeux et je tendis la main vers lui.

-a... ah? Non! Ne...

Je serrai le poing que je m'empresser de laisser le long de mon corps. Je soupirai avant de passer une main dans mes longs cheveux blonds. Le faisait-il par exprès? Puis, je me retournai vers Andrew et surprit son regard étonnement brillant. Incrédule, je battis des paupières.

-... Mais de rien, dis-je simplement.

Il avait l'air... sincère? J'en fus un peu troublée. Puis, il me laissa et repartit. Parfaitement immobile, complètement dépassée par les évènements, je le regardai s'éloigner avant qu'il ne se retourne vers moi à nouveau.

Un sourire illumina mes traits à la seule passion de ces romans.

-Et bien, seulement trois d'entre eux font partie de notre collection. Soit le premier, Le Monde d'En-Dessous et..., fis-je avec intérêt.

Mon enthousiaste s'interrompit un moment et j'haussai un sourcil, perplexe.

-...Ça vous intéresse vraiment?

-je lis tout et je ne vous ai jamais lut. Avant de réellement critiquer je dois lire.

Dit-il sur un ton franc redevenant doucement las et apathique. Lui qui s'était redresser en tenant le livre recommençait à se voûter doucement comme si un pois venait lui écraser le dos et les épaules. Sourire enfantin avait disparue lui aussi peu à peu pour qu'il retrouve un visage morne et terne...voir sans vie. C'est yeux pétillant était redevenu deux océans mélancoliques et gris.

-Je me suis peut-être tromper sur votre compte.

finit-il par lâcher franchement, mais sur un ton indifférent...

-Ah... Bien sûr, j'apprecierais que vous lisiez un de mes ouvrages, mais je me demande si vous aimeriez mon style.

Je remarquai soudain que toute cette joie enfantine avait quitter ses yeux. J'en fut surprise et un peu... Décue malgré moi. Je me pinçai les lèvres. C'était encore moi qui le mettais dans cette état ou est-ce que sa joie de vivre le quittait toujours aussi rapidement qu'elle lui apparaissait. Je penchai la tête sur le côté , cherchant à le décortiqué. Cet homme était vraiment difficile à fixer...

-Peut-être bien, fis-je doucement.

J'eus l'espace d'un instant l'ombre d'un sourire en coin.

-Est-ce... Est-ce que vous vous sentez bien? Il me semble qu'un peu plus tôt vous resplendissiez de bonheur et maintenant...

-Je ne suis pas un grand amateur des roman à l'eau de rose, mais je fais des effort pour me tenir informé. Je suis amateur de se qui est profond...et bien souvent cela passe par le drame.

dit-il doucement en regardant le livre qu'il avait entre les mains. Il releva son regard à la question de Dulcea la regardant, mais semblant ne pas vraiment l'avoir comprise.

-Pardon? je crois que je n'ai pas bien saisie se que vous m'avez demandée.

Il détailla longuement Dulcéa comme si c'était la première fois qu'il la voyait. Son regard était craintif et scrutateur bien différent de celui qu'il lui avait jetter au café durant l'orage. Andrew eut un mouvement étrange attirant le livre un peu plus près de lui proche de son coeur. Il cligna un peu des yeux puis ajouta en se retournant rapidement.

-Bonne nuit.

Et tenta de quitter presque précipitament vers sa chambre.

-Mais ce ne sont pas des romans à l'eau de rose que j'ai écrit mais bien des ouvrages traitant de..., commençai-je en souriant.

Je cessai de parler et je remarquai son regard étrange. Mais voyons... Qu'est-ce que j'avais dit encore? Je le regaidai incrédule. Soudain Andrew n'avait plus rien avoir avec le Andrew détestable du café. Étais-je si haïssable à la fin. J'ouvris la bouche pour répéter ma question quant il tourna les talons et me laissa en plan.

-Heum... Bonne nuit dans ce cas...?

Je restai un moment incrédule, les sourcils relevée. D'accord... Ça c'était très étrange. Je clignai des yeux en ramenant mes cheveux sur mes épaules.

Bon... Il n'y avait pas un verre de lait qui m'attendais à la cuisine, moi?

Il ne fit q'une ligne tracé droite vers sa chambre ouvrit la porte et la referma aussi rapidement. Quand elle repassa près du salon sous le seuille de la porte de sa chambre était visible une faible lueur comme celle d,une lampe de chevet. Se qui put cependant porter au oreille de Dulcea c'était des pleures. De profond sanglot entrecouper de renifflement incertain. Derrière la porte de sa chambre un homme pleurait cette nuit.

Je revins tranquillement à ma chambre avec du lait et des biscuits, plus sereine que tout à l'heure. Je passai devant la chambre de l'homme et je me figeai. Était-ce des pleurs que j'entendais la? Je m'approchai de la porte et je tendis l'oreille. Réalisant que cet homme qui avait été si froid avec moi pu être prit de tristesse je fus prit d'un étrange inconfort. J'avais l'horrible sentiment que c'était ma faute et je me pinçai la lèvre.

Une pars de moi me disait qu'il valait mieux le laisser seul et l'autre de voir si je pouvais lui être utile, savoir ce qui le mettait dans cet état... Et après tout, n'était-ce pas mon rôle d'hôtesse? Je soupirai avant de poser mon verre dans mon assiette et de cogner à sa porte.

-And... Monsieur Micheal est-ce que tout va bien?... C'est moi,Dulcea.

Je pris une courte pose et avalai de travers.

-J'ai des biscuits au chocolat si ça vous intéresse...!

Elle n'eut pour toute réponse qu'un silence. L'homme dès que Dulcea avait parlé c'était tut. Des bruit de pas dans la pièce se firent entendre dans la chambre avant que le bruit d'un déclique de porte ne se fasse entendre. La porte s'ouvrit légèrement sur la moitié du visage d'Andrew. Ses joues était boufit et rougit et le contour de ces yeux était rouge déjà. Il articula dans un hoquet.

-trè...très bien mademoiselle

Quand la porte s'ouvrit, j'écarquillai les yeux et j'haussai les sourcils. Je ne reconnus jamais cet homme froid que j'avais rencontré au café. Je retins mon souffle en détaillant son visage irrité et j'en eus un léger pincement au coeur.

-Andrew... Vous n'allez pas bien, je le vois seulement en vous regardant.
Je fronçai les sourcils. Non! Evidemment, je ne pouvais pas le laisser dans cette état. Je peux me montrer brusque et orgeuilleuse mais j'ai tout de même un coeur.

-Est-ce... Est-ce que je peux entrer?

Je baissai les yeux sur mon assiette de biscuit aux brisurs de chocolat. Puis je relevai mon regard sur lui et lui souriant tristement. De le voir ainsi me mit mal à l'aise et je me sentis horrible de lui avoir parler d'une telle façon.

-Je ne crois pas que mes lamentations vous intéresses vous avez mieux a faire et un fiancé qui vous attend je crois.

Dit Andrew se reprenant un peu, mais ouvrant légèrement plus la porte. Il portait des pantalons de pyjama carreauté bleu et vert et était torse nu. Ce n'était pas un homme excessivement musclé,mais il n'avait pas de gras en trop non plus. Aucun de ces muscle de saillait vraiment de sa silouhette et sa pilosité était très moindre bien qu'il ait des cheveux noir et bien fournit. IL passa une main sur son visage pour tenté de chasser les larmes qui continuait malgré lui de naître dans ces yeux.

Andrew ouvrit la porte, m'éclairant de la tête au pied et je clignai des yeux. Je remarquai soudain son état mais je revins rapidement à ses yeux, bien que mes joues aient prit une légère tinte rosée. J'espérais seulement qu'il ne le remarque pas.

-C'est lui qui a mieux à faire en ce moment... Et si vos ``lamentation`` comme vous dites, ne m'intéressait pas, je ne serais pas postée devant votre porte en peignoir au milieu de la nuit.

Dit de cette façon, j'étais tout à fait ridicule... Il ne pouvait donc pas tout simplement comprendre que je souhaitais l'aider? J'avais peut-être fait une facheuse première impression, mais Andrew pouvait metre cela de côté pendant un moment et me permettre de savoir ce qui le mettait dans cette état. Syltoruz ne m'attendait pas... Il ne m'attendait jamais...Je fis la moue et je fronçai légèrement les sourcils.

Ça va, ma vieille... Laisse lui une chance tout de même. N'oublie pas quand premier lieu, il te détestait et là tu essayes d'être agréable. Je soupirai doucement en détournant les yeux.

-Vous aimez le chocolat?

Je lui souris légèrement.

Andrew figea un peu à la première phrase de Dulcea avait de laisser voir..un très bref moment un peu d'amusement. Ce qu'elle vennait de dire semblait l,avoir pour un bref intant amusé. Peut-être parce que le ridicule de tue pas, mais soigne bien des maux. Il se déplaça légèrenement pour la laisser entré et alla s'assoir sur son lit prennant la boite de papier mouchoir déjà à moitié vide. Il prit un mouchoir s'essuya une nouvelle fois les yeux avant de se moucher un peu pour arrêter de renaclé.

-euh oui merci

répondit-il en regardant l'assiette et les biscuit sans trop savoir quoi faire. D'un mouvement agile il fit apparaitre de l'eau de ces doigt et comme un fouet il envoya les corde aqeuse contre la chaise du bureau la tirant d'un geste habille pour qu'elel attérise non loin de lui. IL fit signe a Dulcea qu'elel pouvait s'assoir si elle le désirait.

J'entrai dans la chambre et m'arrêtai à un mètre environs de son lit. Puis, ce qu'il fit sous mes yeux, je ne l'oublirai jamais. Je restai légèrement bouche bée pendant un instant.

-Wow. Vous... Comment avez vous...?
Non. Ça ne valait pas la peine de lui poser cette question. Je décidai tout simplement de prendre place devant lui et devint légèrement nerveuse... Chose qui n'arrivait jamais. Était-ce parce que cette situtation était très inabituel ou parce que je le craignais... Non, non... Je n'arrivais pas à le craindre.

-Je me demandes pour qui est-ce que c'est le plus étrange, dis-je en souriant et en lui tendant l'assette pour qu'il puisse prendre un des petits gâteaus.

Mes épaules s'affaissèrent légèrement et je soupirai. J'eus besoin de tout mon courage et de mettre de côté mon orgeuil pour prononcer ces paroles.

-Je penses que je vous dois des excuses. J'ai dit des choses horribles à votre compte sans vraiment vous connaître... alors que maintenant je me rends compte que je ne sais absolument rien de vous, Andrew...

je le regarder droit dans les yeux.

-Je regrette, dis-je franchement.

- maîtrise de l'eau

répondit tout naturellement Andrew a Dulcea comme si ce qu'il vennait de faire n'était absolument rien pour lui. Il semblait détacher de son acte.

-j'imagine que ces pour vous, moi j'en ai vu plusieurs des gens comme vous durant...il soupira le reste de sa phrase...longue existance.

Il tendit une main pour prendre un biscuit et vient le croquer légèrement en articulant un petit.

-Merci c'est gentil. Pour se que vous avez dis...ne vous faites pa de mauvais sang ce la m'a été bien égale. VOus étiez uen inconnu qu'est-ce que les mot d'un inconnue que je croyait humain pouvait avoir comme pouvoir sur moi. Vous étiez un autre poisson dans l'océan du temps qui passe et qui s'écoule. Une autre vaine parole lancer en l'air par une femme qui parlait trop pour ne vouloir rien dire.

il fit une petite pause.

-Mon attitude vous a déplus parce que j'étais indifférent de vous. Je sais que votre fiancé vous a dis se que j'étais. Comprennez que pour moi les jacassements des humains...

il se tut et de nouvelle larme emplire doucement ces yeux. Il se força tout de même à continuer.

-les jacassements des humains ne sont...il soupira une nouvelle fois la fin de sa phrase ...qu'une mélodie discordante sans fin.

il prit une grande inspiration pour se reprendre et pris une nouvelle boucher du petit gateau.

-Les pies ne réfléchissent pas toujours avant de parler, dis-je timidement.

J'eus un léger rire avant de remarquer ses larmes et je sus que faire. Je le regardai horriblement inquiète. Ma main se crispa sur le plat. Quelle affreuse sensation que de le voir ainsi. Ça me déchira le coeur et ma gorge se noua. Instinctivement, je tendis la main vers la sienne, mais à peine mes doigts avaient effleurés sa peau, j'eus un mouvement de recul. Je la retirai rapidement et je me tendis de tout mon corps. Je sus automatiquement que je n'aurais jamais dû faire cela. J'eus même peur qu'il ne se fache et me chasse à cou d'eau bouillante. D'un seul coup, je venais de perdre toute crédibilité, toute assurance. Maudite sentimentale!

Je m'empressai de baisser les yeux et je tins fortement l'assiette dans mes doigts.Ton émotivité te perdra Dulcea!


-Vous... Vous ne devriez pas faire confiance à mon fiancé.

Andrew eut un nouveau maigre sourire.

-Ne vous dépréssiez pas trop non plus. Les pies jacase beaucoup, mais elle sont très intelligente.

Il regarda la main de Dulcea s'approcher, sans mot il la regarda se poser sur la sienne et se retiré presque aussitôt. Une moue encore plus triste lui barra momentanément le visage.

-Est-ce que je vous fais peur?

Dit-il sur un ton de voix insécure.Un plateau d'eau passe doucement sous l'assiette que tennait fermemant Dulcea. Elle put sentir l'eau être aussi solide que du bois et Andrew n'attendait plus qu'elle lache l'assiette. Puis l'elfe lui fit une déclaration.

-Votre fiancé est un elfe noir qui à tenté de me tuer je sais que je ne dois pas lui faire confiance mademoiselle. Mais vous avez une si belle bibliothèque....Et quand bien-même qu'il voudrait encore ma mort....

Andrew soupira à nouveau.

- plusieurs millénaire de chasseur ne sont pas venu à bout de moi...alors ce ne sera pas votre fiancé qui le pourra je le craints.

Je levai les yeux vers lui et une mèche blonde tomba mollement devant mon visage tordue par mon trouble et ma tristesse. Je lâchai finalement l'assiette sur cette étrange table d'eau.

-Me faire peur?... Enfin, je...

Je clignais des yeux en serrant les points sur mes genous.

-Non, dis-je simplement.

Puis, en entendant Andrew me parler des plans de Syltoruz, je le regardai horrifiée et j'entrouvris les lèvres.

-Mais c'est horrible! Pourquoi restez vous alors, si vous savez pertinament qu'il veut votre mort? C'est absurde... Et puis s'il vous arrivait malheure par ma faute, je...

Oui? je quoi? Qu'est-ce que je ferais s'il lui arrivait malheure? Je n'étais qu'une faible femme sans autorité ni pouvoir qui jouait les grandes dames dans cette maison. la vérité était que je craignais Syltoruz plus que je ne le laissait paraître. Je savais qu'au moindre faut pas, à la moindre déception, il se débarasserait de moi sans aucun remord et cette pensée me traumatisait jour et nuit. Un affreux frisson d'horreur me traversa en entier quand je posai à nouveau mes yeux sur mes genous, mon dos vouté.

-qui à besoin de réconfort ici finalement?

Sur les genoux de Dulcea flottant dans l'air un petit serpent d'eau se créa il était ailé parail à celui que l'homme avait déjà créer avec le lait tomber plutôt sur le plancher. Le serpent aqueux et fragile se tortilla doucement pour s,approcher du visage de l'elfe et lui mondre sans mal le bout du nez. L'eau n'était pas froide au contraire elle était chaude comme un bon bain. Le serpent aqueux fit un tour de l'elfette.

- Vous ne semblez pas comprendre que votre fiancé... ne peut rien contre moi.

Il disait cela sur un ton tellement triste...comme si cela lui faisait mal que Syl ne puisse le tuer.

-Regardez moi s'il vous plaît. J'aimerais voir vos yeux. Ils...Ils sont magnifique je trouve. Depuis plusieur sciècle je n'en ai pas vu de pareille. Ne baissé pas le regard devant moi je n'en vos pas la peine.

Je sentis une étrange créature m'entourer doucement. Premièrement, je me crispai de plus belle en fermant les yeux alors qu'un frisson me parcouru. Puis, j'ouvris un oeil, puis un autre. Le petit serpent d'eau me mordit les bout du nez, j'eus un léger rire triste.

Sa voix... Elle était si triste et désespérée. Mon regard s'embua et ma groge se noua. Puis, j'entendis les plus belles paroles qu'on m'ai dites en 200 ans de vie. Je restai bouche bée et levant lentement mon visage vers le sien. J'avalai de travers... Mais où était donc l'Andrew du café. Le homme devant moi était un être d'exception et je ne savais pas si je l'envais bien entendu ou était-ce mon imagination.

-Qu'est-ce que vous avez dit, dis-je les yeux brillants.

Ma respiration s'accéléra légèrement. D'habitude j,avais une grande facilité à analyser les gens... Mais pas lui. Et ça me troublait affreusement. Je sondai son regard, et je trouvais seulement une profonde tristesse... Peut-être même... De la solitude.