Je veux savoir...(PV Chehon et Dulcea) - Terminé.

J'avais convoqué le nouveau et il devait être là dans environ 5 minutes, j'espérais qu'il ne serait pas tout le temps en retard comme Mya. Mais pourquoi je pensais encore à elle, le passé c'est le passé, et la seule raison pour lequelle je devrais penser à elle c'est pour planifier son assassinat et maintenant, j'avais Dulcea, donc Mya ne comptait plus. J'avais hâte de voir le nouveau était fait de quel bois, et si c'était un mollasson qui s'évanouit à la seule vue du sang, j'espèrais que non, parce que dans le cas contraire je serais obliger de le tuer. Mais qu'est-ce qu'il faisait...

Chehon venait de se lever il n’était pas bien tard et la noirceur de la maison remplit ses yeux dans lesquels flottaient des images de la belle elfe noire… il soupira en s’appuyant sur les coussins dans son lit. Syltoruz l’attendait et Chehon n’était pas sûr de vouloir le rencontré, puisque c’était lui qui avait tiré dans les jambes de sa bien aimée… qui le fuyait! Il pinça les lèvres et enfila l’armure que son père lui avait donné, c’était son costume d’apparat. Il attacha son bandeau sur son front où la pierre de la couleur de ses yeux pendait légèrement. Il plaça sa pierre porte bonheur dans son cou et se regarda dans le miroir. « Mouais… » Il fronça les sourcils en sortant de son antre. Il se rendit à son lieu de rendez-vous et s’arrêta devant la porte tout en dévisageant Syltoruz. Il pinça les lèvres en s’avançant. Chehon s’inclina légèrement.

-vous vouliez me voir, fit-il en levant la tête vers l’elfe à la peau grise.

Le ton de Chehon avait été tranchant et sans émotion apparente, il n’avait pas vraiment envie de parler aujourd’hui il était trop troublé par le comportement de Mya…

-Vous vouliez me voir.

Cet elfe était vraiment un imbécile, bien sur que je voulais le voir, je ne le convoquais pas ici pour qu'il refasse les papier peint. Et je n'aimais pas ce ton, il ressemblait trop à celui de Mya juste avant que je li tire dans les jambes.

-Je vous ai convoqué ici pour vous informez de quelques petites choses. Premièrement le vol, le meurtre, le viol sur un membre de ma maison est puni par une éxécution sommaire. Le contact avec Mya Van Elnath et Nathan Klein est lui aussi puni par la mort. La traitrise aussi est punie par la mort. Je vous rapelle aussi que je suis votre maitre et vous me devez une obéissance totale. Et votre ton, me déplait grandement, j'aimerais que vous arretiez de l'utiliser avec moi.

Je sortit une grande bouteille de crème de menthe et nous en servi trois verres.

-Maintenant, buvons à un nouveau membres dans la maison.

Depuis le début de leur discusion, je n'avais pas bouger d'un poil. Je me tenais parfaitement droite derrière Syltoruz, comme toujours tiré à quatres épingles, avec une jupe et un tailleur robe rubis. Notre invité se pointa finalement et je tresaillit. L'elfe en face de moi me fit tout à fait penser à Mya et j'eu un petit pincement au coeur. Pauvre enfant. Mais je restai impassible et droite.

Je le regardai droit dans les yeux lorsqu'il prit enfin la parolè.
-Vous vouliez me voir, dit-il d'un ton tout à fait déplaisant.

Le Grand Maître de la Maison Myzz'Ryn n'allait pas du tout apprécier. Et comme de fait...


-Je vous ai convoqué ici pour vous informez de quelques petites choses. Premièrement le vol, le meurtre, le viol sur un membre de ma maison est puni par une éxécution sommaire. Le contact avec Mya Van Elnath et Nathan Klein est lui aussi puni par la mort. La traitrise aussi est punie par la mort. Je vous rapelle aussi que je suis votre maitre et vous me devez une obéissance totale. Et votre ton, me déplait grandement, j'aimerais que vous arretiez de l'utiliser avec moi.

Lorsqu'il sortit une bouteille qui renfermait un liquide verdatre, je fronçai momentanément les sourcils. Hmmm... Qu'avait-il encore en tête... Je le connaissais trop bien, je penses.
Il nous servi trois verres. Depuis ma dernière expérience avec le Borsao, le soir de nos fiancailles, et bien...

-Maintenant, buvons à un nouveau membres dans la maison.

Je me risquai tout de même à prendre un des verres. Je le regardai longuement sans pour autant prendre une gorgée.

-Bienvenu parmis nous, jeune homme, dis-je prudente, un sourire franc aux lèvres.

Chehon regarda brièvement la jeune dame derrière Syltoruz avant de baisser les yeux sur son verre. Il le prit mais n’y gouta pas.

-je suis désolé, mais je n’ai pas soif et pour Mya, je suis très proche d’elle… et si elle ne me voit pas comme à tous les jours, elle va s’inquiéter, vous voyez…

Il déposa son verre et regarda Syltoruz droit dans les yeux.

-à moins que vous n’ayez une bonne raison pour m’empêcher de côtoyer ma jeune amie…

Chehon ne souriait pas et ne tremblait pas non plus, il regardait Syltoruz dans les yeux sans broncher. Il se gratta la nuque en fermant les yeux.

-merci, en passant pour le chaleureux accueil et je suis désolé de vous avoir manqué de respect.

Il rouvrit les yeux en se mordant la lèvre inférieure. Il ne pouvait s’empêcher de penser à la jeune elfe. « Pourquoi, elle me fuit comme ça, merde… »
Chehon sourit tout de même en coin.

-est-ce que je peux vous êtres utile pour quelque chose, maitre? Demanda-t-il pince-sans-rire

Il regarda la jeune femme à nouveau et fronça les sourcils en reposant ses yeux orange dans ceux de Syltoruz

-Est-ce que je peux vous êtres utile pour quelque chose, maitre?

Ce jeune homme s'imaginait qu'il pourrait revoir Mya, il était arrogant tout comme elle.

Vous ne reverrez plus Mya, et vous voulez savoir pourquoi, c'est parce qu'est elle est une traîtresse qui passe son temps avec des vampires et des humains, je ne veux pas que vous passiez du temps avec elle parce qu'elle va implanter ses idées séditieuse dans votre esprit, j'ai déjà perdu quelqu'un je ne veux pas en perdre d'autre. Maintenant buvons, tout le monde.

Je vidai mon verre d'une seul gorgée.

Chehon arqua un sourcil, si elle était vraiment une traitresse, pourquoi ne l’avait-il pas tué… il sourit en coin en le regardant droit dans les yeux en l’écoutant plus ou moins.
Chehon le regardai boire son verre mais ne toucha pas au sien.

-je suis désolé, mais vous ne pourrez pas m’empêcher de voir Mya d’aucune façon…

Il fronça les sourcils en posant ses mains sur ses hanches. "Je peux bien comprendre pourquoi elle n’est plus ici…" Chehon sourit en coin et pianota sur sa cuisse.

-personne ne réussira à m’empêcher de la voir, grommela-t-il en tournant la tête vers la sortie.

"Quel boulet…" il soupira en levant les yeux vers le plafond. il pensa à Mya et à la belle soirée qu'il allait passer avec elle se soir...

-Personne ne réussira à m’empêcher de la voir.

Je sorti une flasque et un petit écrin de mon manteau. Je bu une longue gorgé à la flasque.

Il n'y a rien de pire que des gens bornés.

Je sortit de l'écrin une seringue et lui planté dans le bras.

Bon, je viens de t'injecter un poison à action lente, dans une semaine environ tu sera mort, sauf si je te donne de ca.

Je sorti un fiole rempli d'un liquide miroitant.

Cette mixture ralentira le poison, donc tu devra venir me voir a chaque jour pour avoir ta dose.

Chehon arqua un sourcil en se retournant vers son supérieur "Mais qu'est-ce qu'il fout?"

Il n'y a rien de pire que des gens bornés.

Il me planta une seringue dans le bras et j'écarquillai les yeux "C'est quoi ce machin merde?!"

Bon, je viens de t'injecter un poison à action lente, dans une semaine environ tu sera mort, sauf si je te donne de ca. Il sortit une petite fiole Cette mixture ralentira le poison, donc tu devra venir me voir a chaque jour pour avoir ta dose.

-vous êtes malade ou quoi?! dis-je en serrant les dents

"pour qui il se prend de jouer avec la vie des gens comme ça?!" Je le toisai du regard en serrant la mâchoire et les poings, me retenant de poser un geste ou de dire une parole qui m'enverrait droit à la morgue. "Saleté de connard..." Je ne pouvait plus rien faire d'autre que d'être soumis... je le regardai donc droit dans les yeux attendant qu'il me dise quelque chose.

-vous êtes malade ou quoi?!

Maintenant, il allait m'obéir, plus de défi, plus d'arrogance.

-On peut considérer que je suis malade, on peut considérer que je suis susceptible, mais moi je considère que je suis le maître de cette maison, et ce n'est pas pour rien.

Je pouvais faire ce que je voulais de cette marionnette.

-Bon, maintenant vous pouvez disposez, je dois préparez la cérémonie de mon mariage.

Et je parti de la pièce.