In the shadow ( Pv Syl, Haris et Clady)-terminé

-Maintenant laisse moi tranquille.

-La dernière fois que j'ai laisser tomber, mon frère est mort, donc ne t’attend pas à ce que je lâche prise aussi facilement.


Je tendis le bras et la pluie se transforma en petit glaçon juste au dessus de mon adversaire.

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Les glaçons furent diriger tout autour de Syl comme s'ils eurent une consicence propre. Aucune des attaques ne semblait vouloir lui faire réellement du mal. L'homme semblait simplement vouloir se défendre sans plus.

-ALors je suis navré quun des tiens sois mort...mais je n'ai rien à voir.

puis l'homme tenta à nouveau de simplement quitter la ruelle cette fois cependant beaucoup plus alerte, mais le pas lent et boiteux.

-Alors je suis navré qu'un des tiens sois mort...mais je n'ai rien à voir.

-Il n'y en a pas qu'un qui est mort, je suis le dernier.

Je pris une des dagues qui était tombé par terre et lui tirai dessus.

La dague fut a nouveau arrêter par un serpent d'eau avant de retomber au sol. Andrew se retourna à nouveau.

-que t'ai-je fais Dökkálfar qui m'est inconnue pour que tu veuille à se point mettre fin à mes jours déjà trop nombreux? Je n'ai souvenir de n'avoir tuer aucun des tiens ton peuple et le mien ont toujours eut de bonne entente avant que nous ne disparaissions...

dit l'homme avec un regard profondément triste et au bord du désarois.

-Je n'ai souvenir de n'avoir tuer aucun des tiens ton peuple et le mien ont toujours eut de bonne entente avant que nous ne disparaissions...

Je m'arrêtais d'un coup, mon visage devint blême.

Mais de quoi vous parlez, имя бога

-si tu n'as pas souvenir cela ne te concerne surement pas alors. Tu es trop jeunes pour cela.

Répondit l'homme d'un ton lassif.

-De toute manière je te le dirais aujourd'hui que cela n'aurait aucune importance. Il est trop trad à présent, beaucoup trop tar dpour que cela en est. Cela en aurait eut il y a plusieurs siècle...beaucoup trop de siècle.

L'homme soupira Syl ne put juré mais il semblait à présent pleurer...mais qui peut juré que quelqu'un pleure sous la pluie? Autour d'eux l'orage grondait toujours et tellement que les deux homme était à présent détemper et que le vent glacial commençait à mordre les muscles. Andrew regarda les livre qu'il avait emprunté mouillé et tacher de sang...irrécupérable et détruit.

Il les regarda longuement jusqu'à se qu'un autre serpent aqueux ne les ramasse et ne les mènent jusqu'au main de l'homme qui les prit un par un avec soin. IL en regarda la couverture de chacun comme déchiré et profondéement atristé de leur état il s'en mordit même la lèvres inférieur avant de les serrer contre son torse en murmurant quelque chose d'innodible pour Syl. Il semblait à présent réellement pleurer à chaude larme le syeux clos serrant que des tas de feuille mouillé contre lui.

au milieux de ces sanglots désespèré Andrew articula pour Syl ceci

- Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ?
ton père, ta mère, ta soeur ou ton frère ?
- Je n'ai ni père, ni mère, ni soeur, ni frère.
- Tes amis ?
- Vous vous servez là d'une parole dont le sens m'est
resté jusqu'à ce jour inconnu.
- Ta patrie ?
- J'ignore sous quelle latitude elle est située.
- La beauté ?
- Je l'aimerais volontiers, déesse et immortelle.
- L'or ?
- Je le hais comme vous haïssez Dieu.
- Eh ! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
- J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas...
là-bas... les merveilleux nuages !

je suis l'étranger

Il réouvrit ces yeux devenue rougit de larme et un serpent aqueux porta jusqu'a lui une des dague de Syltoruz. L'homme la pris en main et la regarda un moment.

-Я понял, абсолютно ничего не.(J'ai absolument rien compris.) La poésie, c'est vraiment pas mon truc, alors s'il vous plaît vous pourriez arrêter avec ça.

Je m'agenouillai a coté de lui, et commençai à regarder ma dague.

Andrew lui rendit sa dague pomeau vers Syl et quand l'elfe se pencha vers l'homme pour la reprendre celui-ci lui murmura quelque chose à l'oreilles.

-vous avez une bibliothèque?

demanda l'homme désemparé.

-j'habite dans un petit 4 et demi a trois coin de rue.

de longue larme coulait toujours sur ces joues se qui détonnait sur le fait que c'était un homme d'âge mur qui semblait sangloté comme un enfant ayant perdu de vu ces parents.

-vous ne voulez plus me tuer?

dit l'homme se reprennant un peu fixant de ces yeux acier l'iris rouge de l'elfe noir.

-Vous ne voulez plus me tuer?

-Vous savez, les sentiments sont des choses bien éphémères. Allez, venez chez moi.

Sur ce, je l'empoignai je le relevai et je l’entraînai vers mon manoir.

l'homme ne se débatie pas et ne refusa pas l'invitation.

-pourrions-nous passez chez moi tout de même j'aimerais prendre quelque effet personnel?