Il ne sera jamais bien loin (Pv Hellann, Clady et Ezékiel si tu en a envie)

La lune était jaune, doré même. Une belle lune pleine et ronde, oeil de la nuit, surveillait et obervait les rues sombres de la cité d'Aras. Le vent gémissant comme un damné faisait trembler et virevolter les feuilles mortes sur le ciment des trotoires. Quelle nuit suberbe se dit l'homme vêtu d'un long manteau noir qui batait comme une cape derrière sa silhouette. Il sourit diaboliquement, marchant d'un pas nonchalant dans les rues endormies et sombre. Les quelques passants changèrent de trotoire lorsqu'il le virent passer. Une odeur de mort, de vieille mort, accompagnait sa course. Ils étaient là, il les sentait, ces petits, ces jouets. Hellann. Clady

Il s'arrêta net en jeta un regard circulaire sur les environs de ses yeux argentés. L'inconnu sourit en dévoilant ces canines assérées.

Tout proche, même.

Je m’en allais chercher Clady chez elle, la lune brillait tellement qu’elle éclairait mes pas dans la ruelle sombre. Il ventait assez fort pour que ma chemise blanche flotte légèrement sur mon dos, saillant mon torse. Il faisait froid et les feuilles mortes crissaient sous mes pieds. Je mis mes mains dans mes poches et m’appuyai sur le mur de brique, attendant que ma belle ne descende de l’édifice dans lequel nous avions caché nos proies… c’était un vieil immeuble orange et miteux, abandonné et apparemment hanté… je souris en coin en penchant la tête en avant pour ébouriffer mes cheveux blonds. Je sentis bientôt une présence tout proche. « Enfin, nous allons pouvoir retourner chasser » pensai-je en osant une œil sur la cage d’escalier.

La chasse avait été bonne ce soir-là, encore. Depuis notre rencontre, moi et Hellann sortions souvent en cachette pour aller traquer des proies. Une belle et sombre complicité nous liait, bien qu'elle était tinté d'un désir charnel et passioné. Je finis de cacher les trois coprs que nos proies dans un vieux placard complètment rouillé. Voilà, c'est fait, pensai-je. Je m'epressai de descendre par l'escalier de fer en dehor de l'immeuble, savant que Hellann m'entendait au coin de la ruelle.

Je le rejoins en une fraction de seconde dû à ma vitesse surnaturelle. Je reconnu sa belle chevelure blonde qu encadrait parfaitement son beau visage en je le regardai avec avidité, un sourire charmeur aux lèvres.

Mais tout à coup, sans que je ne puisse expliquer pourquoi, je fus pris d'un puissant malaise. Mes paupières devinrent lourdes, mes jambes horriblement molles et j'eu un violent maux de tête. C'était comme si je sentais la mort arriver, une force diabolique qui avait un fort effet sur mon corps.

-Hellann, je..., dis-je sans pouvoire dire un mots de plus avant de m'écrouler au sol.

Je vis enfin Clady descendre et mon regard s’illumina, ce qu’elle était belle…
Elle me fit son petit sourire charmeur qui me faisait toujours autant frissonner et je sentis un étrange malaise parcourir mon corps… Clady se mit soudain à fléchir et je sentis la chair de poule envahir mon dos. Il y avait quelque chose d’étrange qui nous possédait tous les deux et qui s’approchait lentement. Elle murmura mon nom et je me précipitai sur elle quand elle tomba sur le trottoir. Je la pris dans mes bras et m’agenouilla. Je tassai ses cheveux de devant son visage.
-Clady…
Je levai la tête vers la rue et vis une silhouette au loin au détour d’un édifice. je fronçai les sourcils en me relevant doucement Clady dans les bras.

L'inconnu pouvait les ressentir jusqu'au plus profond de son âme noircit par le temps. Au détour d'une ruelle, il les apperçut au loin. Un sourire qui donnerait froid dans le dos qu plus coriace des hommes sur les lèvres, Haris marcha dans leur direction. Le vampire, étrange apparition tout droit sortit d'un cauchemar, ouvrit les bras, le violon dans une main.

-Mes enfants... Vous revoilà après toutes ses années...

Hellann portait Clady dans ses bras et elle avait l'air très faible, ce qu'il l'amusa grandement. Elle était aussi magnifiquement belle que dans son souvenir, aussi frêle, fraiche et jeune. Hellann aussi était le même, aussi fort et aussi beau. Haris sentit une vague de fierté l'envahir.

-Mais quel étrange hasard nous et vous as réunis ce soir. N'est-ce pas merveilleux? Hellann, je vois que tu connais déjà ta soeur, dit-il amusé.

Haris éclatat de rire, d'un rire malsain, d'un rire qui n'avait rien d'humain. L'écho de sa joie se perdit dans la ruelle.

Je sentis les bras d'Hellann m'entourer.
-Clady…

Un violent spasme me frappa. Une aura maléfique et narcotique me frappa de plein fouet. Je m'agrippai à la chemise du jeune homme.

-Il approche, Hellann. Il est tout proche, dis-je les yeux à demi-clos.

Soudain, j'entendis sa voix. Chaude, rauque, surnaturelle et si mélodieuse. Voilà des siècles que je ne l'avais pas entendu. Elle terrorisait mes rêves depuis tellement longtemps. Je devais le voir, je devais... me lever. Mais comme c'était difficile.

-Mais quel étrange hasard nous et vous as réunis ce soir. N'est-ce pas merveilleux? Hellann, je vois que tu connais déjà ta soeur.

Et son rire... Je réprimai un nouveau frisson. Pourquoi était-il revenu? Et pourquoi est-ce qu'il disait à Hellann que j'était sa soeur. J'étais trop faible pour parler.

Ce soir le ciel gris avait pousser Ezékiel à l'extérieur qui s'imprima du doux chant du vent d'automne. Cela faisait deux jours qu'il avait recroisé le chemin d'Haris et il réprima un frisson. Comme c'était étrange de le revoir après plus de 500 ans... Il sentit soudain un étrange étourdissement et une douleur étouffante envahit son âme grise...
-Clady... murmura-t-il en fermant les yeux.
Il se mit soudain à courir, suivant son instinct de prédateur. Ses oreilles étaient à l'affût du moindre son. Il perçut finalement des bruits plus loin, dans la ruelle derrière l'immeuble abandonnée. Il accouru et s'arrêta net en voyant sa soeur dans les bras d'Hellann qui avait l'air presque appeuré. Il reconnu soudain Haris et son fameux violon. Ezékiel fronça les sourcils et s'avança lentement vers eux. Il n'avait pas protégé sa soeur et maintenant elle était en danger!

-Il approche, Hellann. Il est tout proche, me dit Clady en fermant les yeux avec douleur.
J’arquai un sourcil en regardant l’homme qui s’approchait. J’écarquillai soudain les yeux en le reconnaissant, pourquoi était-il ici?
-Mes enfants... Vous revoilà après toutes ses années...
Je reculai légèrement Clady toujours dans les bras en dévisageant le vampire.
-Mais quel étrange hasard nous et vous as réunis ce soir. N'est-ce pas merveilleux? Hellann, je vois que tu connais déjà ta sœur. Fit-il avec amusement.
Je restai soudain bouche-bée, c’est lui qui avait mordu Clady?
Je serrai les dents sans le lâcher de mes yeux de sang. Il éclata de rire et mon sang se figea dans mes veines. Soudain mon regard accrocha celui de notre sauveur, je faillis crier son nom mais m’abstins et redirigea mon regard vers celui du vampire.
-que... nous voulez-vous? dis-je avec peine.

Haris en était chaque fois impressionné. Le vieux vampire pouvait à chaque fois ressentir leur moindre peur, leur moindre inquiétude. Lorsque Hellann réalisa que c'était lui qui avait fait de Clady une vampire, le jeune homme se crispa et resta bouche bée. Ce qui ne fit qu'accoître le plaisir du démon.

-que... nous voulez-vous? , fit Hellann.

Haris posa ensuite son regard d'une clareté tranchante qui en faisait presque mal sur son cadet. Soudain, il sentit une autre présence, aussi forte que celle de Clady. Une présence très particulière et familière... Ezékiel. Qu'il vienne pensa Haris sans lâcher des yeux Hellann.

Il ouvrit les bras vers eux et s'avança avec une grâce cadavérique qui lui était propre.
-Hellann, laisse moi te regarder mieux, dit-il sans répondre à sa question.

Haris vint proche, dangereusement proche. Il posa une main glaciale sur l'épaule du jeune homme, un sourire malveillant aux lèvres, alors qu'il le regardait de la tête au pied.
-Tu n'a pas changé, mon cher. Toujours aussi fringant et intrépide que tu ne l'était il y a un siècle et demi. Oh! si peut-être un peu... Tu m'as l'air plus puissant...

Puis son regard descendit vers la pauvre Clady. Il s'empressa de lui caresser la joue.
-Je ne pensais pas lui faire un tel effet, dit-il, ironique.
Elle lui paressait bien faible tout à coup. Haris fronça les sourcils en avisant les deux petites sicatrices au creu de son cou. Il comprit soudain.
-Elle t'a laisser boire de son sang, pas vrai Hellann? Je ne peux y croire. Clady faire une telle chose? C'est extraordinaire! Mes deux enfants... Elle doit être folle... Ou tout simplement folle de toi.
Haris ricanna doucement en jetant un regard moqueur au couple.

Oui, que nous voulait-il? Pourquoi revenait-il nous voir après 600 ans? Je ne comprenais plus rien. Je voulais bouger et lui dire que je ne voulais plus rien savoir de lui. Mais c'était bien trop difficile.
-Hellann, ne le laisse pas... t'approcher, lui dis-je tout bas alors que le vmapire approchait.

Je le sentis venir si proche que j'eus une nouvelle vague de faiblesse. Je n'étais plus tout à fait moi-même depuis qu'Hellann m'avait mordu. Haris avait un tel effet sur moi, je me sentais malade.

-Tu n'a pas changé, mon cher. Toujours aussi fringant et intrépide que tu ne l'était il y a un siècle et demi. Oh! si peut-être un peu... Tu m'as l'air plus puissant...

Mais d'où connaissait-il donc Hellann? Se pouvait-il que ce soit lui son créateur? Non, impossible.

Je sentis le vieux vampire me caresser la joue et je fermai les yeux. J'avais soif et je me sentais si malade.

Haris rit de ce rire que je détestais tant et dire qu'un jour j'avais été amoureuse de lui.

-Hellann, ne le laisse pas... t'approcher, me dit-elle quand Haris commença à s'avancer vers nous.

Le vieux vampire s'approcha de moi et déposa sa main glaciale sur mon épaule qui devint engourdie

-Tu n'a pas changé, mon cher. Toujours aussi fringant et intrépide que tu ne l'était il y a un siècle et demi. Oh! si peut-être un peu... Tu m'as l'air plus puissant...

Il caressa la joue de Clady que je la collai plus fortement contre moi

-Je ne pensais pas lui faire un tel effet, dit-il, ironiquement. Elle t'a laisser boire de son sang, pas vrai Hellann? Je ne peux y croire. Clady faire une telle chose? C'est extraordinaire! Mes deux enfants... Elle doit être folle... Ou tout simplement folle de toi.

Haris ricanna et je baissai les yeux honteusement. Je me sentais mal d'avoir accepté de la mordre... peut être devrais-je la laisser boire de mon sang à son tour... Je jettai soudain un regard piteux vers Ezékiel qui était beacoup plus vieux qu'elle et moi. « Je t'en prie Ezékiel, vient la sauver... »

-Je ne pensais pas lui faire un tel effet, dit-il, ironiquement. Elle t'a laisser boire de son sang, pas vrai Hellann? Je ne peux y croire. Clady faire une telle chose? C'est extraordinaire! Mes deux enfants... Elle doit être folle... Ou tout simplement folle de toi.

Ezékiel sentit comme un poing s'enfoncer dans ses côtes, ce satané fils de rois avait osé boire le sang de Clady!? Il fronça les sourcils en s'avançant. Hellann baissa honteusement les yeux et Ezékiel serra la mâchoire. Haris ricana et Ezékiel s'arrêta aux côtés de ce dernier. Hellann lui jeta un regard suppliant et Ezékiel soupira en s'avançant vers eux. Il baissa les yeux sur sa soeur avant de regarder Hellann droit dans les yeux.

Ezékiel apparut aux côtés d'Haris et celui-ci avait l'air de fort mauvaise humeur. Le vampire au violon se retourna vers lui et le gratifia de son sourire figé.

-Ezékiel! Quelle bonne suprise, je commençait à désespérer de vous revoir...

Il regarda Clady,le frère aîné, puis à nouveau Hellann. Haris n'avait jamais vue Hellann aussi soumis, aussi inquiet et protecteur. Il avait changé lui-aussi.

-Mais nous sommes tous réunis... Vous savez, ça me donne horriblement envie de vous jouer un morceau mes chers petits...

Le vieux vampire dévoila l'instrument du diable: un violon magnifique d'une brillance extrême, parfaitement astiqué et polit. Son bois était teint d'un rouge cerisier inquiétant et il dégageait de cet objet maléfique une aura surpuissante.

-Mais nous sommes tous réunis... Vous savez, ça me donne horriblement envie de vous jouer un morceau mes chers petits...

J'ouvrid grand les yeux alors que la panique se saisit de moi d'un seul coup.

-Non! Pas le violon!, dis-je d'une voix étranglée.

Je me débatit dans les bras d'Hellann et je me dégageai dans sa poigne. Une fois debout, les yeux exorbité et d'un rose inquiétant. Je reculai de plusieurs pas, derrière Hellann.

-Gardez ça loin de moi!

-Mais nous sommes tous réunis... Vous savez, ça me donne horriblement envie de vous jouer un morceau mes chers petits...

Ezékiel arqua un sourcil en dévisageant Haris qui sortit un superbe violon qui d.gageait une étrange force... une violence indescriptible... Ezékiel se retourna vesr sa soeur qui commençait à paniquée. Il recula légèrement en haussant les sourcils.

-Non! Pas le violon!

Elle se débait dans les bras d'Hellann qui la lâcha lentement. Elle se cacha derrière lui avec peur.

-Gardez ça loin de moi!

Ezékiel recula lentement pour revenir près de Haris qui allait entâmer ses premières notes... Ezékiel déposa sa main glacée sur les cordes du violon avant de poser un regard réprobateur sur Haris.

-ce n'est pas une bonne idée, fit-il en serrant les dents. Il ne faudrait pas gâcher de telles retrouvailles... n'est-ce pas?

Il plongea son regard dans celui d'Haris et fronça les sourcils.

j'étais complètement dépassé par les évènements... Tout allait si vite! Ma tête tournait et mes jambes étaient molles. Je déposai Clady sur le sol et me plaçai devant elle avant de fusiller du regard, Haris, qui venait de sortir son violon... j'avalai de travers, j'avais toujours eu peur de cet instrument, mais je devais absolumment protéger Caldy et mettre ma peur de côté. J'étais prêt à me défendre. Soudain Ezékiel déposa sa main sur le violon et je sentis tout mes muscles douloureux se détendre.

-ce n'est pas une bonne idée. Il ne faudrait pas gâcher de telles retrouvailles... n'est-ce pas?

Je restai interdit, dévisageant un à un Haris et Ezékiel. Je ne comprenais pas vraiment tout ce qui se passait... Je tournai légèrement la tête vers Clady avant de croiser mes bras et de regarder les vieux vampires du coin de l'oeil.

-ce n'est pas une bonne idée. Il ne faudrait pas gâcher de telles retrouvailles... n'est-ce pas?

Haris se figea et regarda Ezékiel, les lèvres entrouvertes. L'horreur se lisait dans ses yeux gris argenté, il était carrément outré par les paroles du vampire. Un long silence s'installa et Haris ne bougea pas d'un poil. Puis, au bout d'un moment et il éclatat de rire gutural.

-Je n'avais pas l'idée de «gâcher» comme vous dites ces retrouvailles, mais soit... Mais dites-moi, mes enfants, comment allez vous?

-ce n'est pas une bonne idée. Il ne faudrait pas gâcher de telles retrouvailles... n'est-ce pas?

Je jetai un regard paniqué à Ezékiel puis à ce monstre d'Haris. Ma respiration était terriblement rapide, sifflante même. Je m'agrippai à Hellann comme une enfant appeurée aux jupons de sa mère. Si j'entendais une seule note de cet instrument j'allais devenir complètement folle. Je posai une pain tremblante sur son épaule en attendant la suite des évènements.

-Je n'avais pas l'idée de «gâcher» comme vous dites ces retrouvailles, mais soit... Mais dites-moi, mes enfants, comment allez vous?

Je fis un petit signe de tête reconnaissant à mon frère puis mon regard se posa à nouveau sur mon créateur.

-Co... Comment nous avez-vous trouver, Haris?, dis-je sans répondre à sa question.

-Je n'avais pas l'idée de «gâcher» comme vous dites ces retrouvailles, mais soit... Mais dites-moi, mes enfants, comment allez vous?

Ezékiel arqua un sourcil en regardant le vieux vampire du coin de l'oeil, les pauvres enfants étaient traumatisés...

-Co... Comment nous avez-vous trouver, Haris?

Ezékiel se tourna vers Haris en fronçant les sourcils il avait bien hâte de savoir en réalité... il posa par la suite son regard sur les deux jeunes vampires et croisa le regard d'Hellann. il se mordit la langue en le toisant du regard, il allait avoir une bonne discussion avec lui après ça...
il se tourna vers les immeubles où brillaient les lumières des maisons.

-nous ne devrions pas rester ici, nous pourrions attirer les regards des gens... dit-il en les regardant un par un.

-Je n'avais pas l'idée de «gâcher» comme vous dites ces retrouvailles, mais soit... Mais dites-moi, mes enfants, comment allez vous?

je regardai mon mentor, le visage décomposé par l'incompréhension.

-Co... Comment nous avez-vous trouver, Haris?

Je regardai Clady avant de regarder Haris, le regard sombre.

-pourquoi êtes-vous ici!? dis-je avec impatience. que nous voulez-vous?!

je plissai les yeux avant de regarder Ezékiel et de baisser le front. Le frère de Clady avait cette façon de me regarder qui me mettait toujours mal-à-l'aise. Il me regardait avec humeur et je savais bien pourquoi, je savais aussi qu'il faudrait que je m'explique,,,

-nous ne devrions pas rester ici, nous pourrions attirer les regards des gens...

je levai les yeux vers l'immeuble avant de parcourir la rue du regard... en effet nous étions seuls dans la ruelles ce n'était pas commun du tout...

-Co... Comment nous avez-vous trouver, Haris?

-pourquoi êtes-vous ici!? que nous voulez-vous?!

Il soutint le regard des deux vampires sans broncher.

-Vous n'êtes évidemment pas aussi heureux que moi de vous revoir. Vous m'envoyez fort atristé, dit-il, faussement vexé.

-nous ne devrions pas rester ici, nous pourrions attirer les regards des gens...

Haris se retourna vers Ezékiel et pencha légèrement la tête sur le côté, le dévisageant carrément avec froideur et incompréhension. Une mèche brune tomba devant ses yeux quand un grand sourire digne du joker n'étirent ses traits de marbre, donnant presque l'impression que son visage ne soit diviser en deux partie égale.

-Votre point est tout à fait vérédique, mon cher Ezékiel... Pourquoi ne pas nous retirer dans cet immeuble d'où notre petit couple vient de sortir... Je pourrai par la suite «tenter» de répondre à vos questions.

Haris n'attendit aucunement que les autres ne soit en accord avec lui, qu'il recula sans cesser de leur sourire de façon effrayant.

- Qu'en dites-vous?

(on est tous daccord, rp terminé)