Je te croyais perdu (PV Thamy) - Terminé.

J'étais étrangement heureux ce matin là. Je m'étais levé tôt. Le soleil était radieux, le ciel bleu et la température était tellement agréable. J'ouvris boutique une heure d'avance. J'avais mit comme à mon habitude un pantalon noir, une chemise blanche. J'avais les cheveux attaché et ma paire de lunette sur le nez.

J'aimais cette vie, je me sentais tellement libre. Puisque personne n'était encore entrée dans ma boutique, j'en profitai pour rangeai les nouveautés que j'avait ressu une semaine plus tôt. J'étais tout simplement trop paresseux pour les rangeré Lorsque tout fut en place, je retourneai dans l'arrière boutique faire un peu de rangement.

Je venais d’ouvrir boutique juste à côté de la magnifique librairie. Tout heureuse je rangeai les derniers tissus que je venais de terminer. J’étais prête à ouvrir mon commerce, mais tout d’abord j’eus l’idée de rendre une petite visite à mon nouveau voisin. Je sortis de mon commerce et levai un regard tendre vers le soleil qui brillait de mille feux dans les vitrines. Je me dirigeai vers la librairie et cognai un coup dans la vitre pour voir s’il y avait quelqu’un… aucune réponse. Je me rendis donc à la porte et l’ouvris. L’air de l’endroit était frais et sentait bon le cuir et les pages usées. Tout sourire je parcouru les allées observant les livres et en feuilletant quelqu’un au passage. Mais où était le libraire? Je levai la tête ne le voyant nulle part j’haussai les épaules et continuai de visiter la jolie boutique de savoir.

Narrateur a écrit:

( Hrp: Thamy, tu dois attendre d'être validé avant de répondre aux rps)

d'accord, désolé :3

Soudain, au milieu de mes pensées, j'entendis la clochette de la porte tinté. Hein? Déjà? Sans prendre la peine de ranger la boîte pleine de livre que j'avais dans les mains et je l'amenai avec moi. Ma librairie était vraiment plus grand qu'il n'y paraissait et je mit plusieurs secondes avant d'arriver à l'entrée. Mais je n'y trouvai personne. Mon pouc accéléra soudain. J'espérai qu'il ne s'agissait pas encore de ce monstre d'elfe noir qui venait me déranger. Je déposai la boîte silencieusement sur le bord du comptoire avant. Je me mit à arpenter les allées de ma librairie sans faire de bruit. Cette fois-ci, cette idiot de Syltoruz avait mal choisit son moment. On ne devais jamais m'attaquer en plein jour. Lorsque je soleil brillait, j'étais invincible. Une boule de feu à la main, j'entendis soudain le bruit d'un livre qu'on feuillte. Ah-Ha! Cette fois-ci j'était prêt à le combattre. Je courut jusqu'à l'endroit où j'avais entendu le bruit. Rangé C-U45... Je me préparai à attaquer en lançant:

-Tu ne me prendras pas deux fois par...

Je m'arretai net. Je la reconnut.

-Thamy...

Quand j’entendis mon nom je sursautai et échappai le livre. « Oh non! Je venais de me faire repérer! Aille… qu’est-ce que je fais… il connait mon nom c’est peut un de mes frères qui veut me ramener chez nous oh non! » Je me retournai vivement.
-je ne rentrerai pas chez nous tout de suite je n’ai pas encore retrouvé…
Je me figeai de stupéfaction.
-Daeron, articulais-je finalement en écarquillant les yeux. Daeron!
Je me lançai dans ses bras en souriant. J’humai son délicieux parfum que lui seul avait. J’étais si heureuse de le revoir! Il avait tellement changé, avec ses lunettes et ses vêtements humains. Je blottis ma tête dans le creux de son cou et écoutai sa respiration.
-tu m’as tellement manqué, susurrais-je dans son cou tiède.

Après avoir crier mon nom, Thamy couru vers moi et me sauta dans les bras. La jeune elfe enfoui sa tête dans mon cou. Je me sentais un peu mal. Un peu plus et je lui envoyais une boule d'énergie de plusieurs volte.

-tu m’as tellement manqué.

Je la serrai contre mon torse. Thamy avait été ma soeur, ma confidente, ma meilleure amie. Ça me faisait tellement étrange de la revoir, mais j'étais en même temps tellement heureux de la savoir ici. Nous restâmes un moment enlacé. Lorsque je la lâchai enfin, je pus la voir de la tête au pied. Thamy n'avait tellement plus rien avoir avec la gamine un peu gauche que j'aivais connu un jour lointin. La Thamy devant moi était une femme magnifique et mature.

-Thamy, ma Thamy, mais que fais-tu ici?, dis-je en posant mes mains sur ses épaules.

Je lui offrit un sourire plein de gentillesse.

Il m’observa un long moment en silence. Je le lassai faire sentant mon sang monter à ma tête, quel examen gênant! Je le regardai à mon tour… il était beau et avait ses cheveux aussi blond que quand nous nous étions quitté… il était plus vieux évidemment, mais la même flamme brillait dans ses yeux.
-Thamy, ma Thamy, mais que fais-tu ici? me demanda-t-il en posant ses mains sur mes épaules et en me sortant de ma contemplation.
Il me sourit avec gentillesse et je lui rendis son sourire. Comment lui dire que j’étais venu le chercher pour le ramener à Aslancis… il avait l’air si bien ici et moi aussi, mais il fallait sauver notre île des griffes fourchues de son oncle…
-en fait, bredouillais-je. Je suis venu ici parce que je te cherchais…
Je gardai un moment de silence et sentis mon visage tourner au rouge.
-eh bien… je suis venu te chercher pour te ramener à Aslancis. murmurais-je dans un souffle.
Je baissai la tête et regardai mes petits souliers jaunes et ma jupe de la même couleur en attendant sa réaction…

La jeune Thamy rougit légèrement. Me chercher?

eh bien… je suis venu te chercher pour te ramener à Aslancis. murmura-t-elle dans un souffle avant de baissé les yeux.

Mon bonheur ne fut que de courte durée et tomba d'un seul coup. Mon regard s'assombrit et je me rembrunis. Aslancis, c'était déjà loin derrière moi. Je secouai la tête en soupirant. Mon sourire également évaporé, je lâchai ses épaules. Thamy semblait déjà connaître sa réponse. Pourquoi fallait-il qu'elle lui parle de ça?

-Ne pouvais-je tout simplement pas apprécier ta compagnie sans que tu ne me parle de politique, fis-je déçu.

Je me penchai pour prendre le livre qu'elle avait fait tomber et j'entrepris d'aller le ranger. Elle me suivit à travers les allées.

-Je ne suis plus prince, je ne peux pas retourner là-bas. Je suis sûr que Metaron s'occuppe...

Je m'arrêter net. Je savais très bien au fond de moi que la situation sur l'île étaot critique et que mon oncle devait regner sans pitié. Mais ce n'étais plus mon problème.

À la seule pensée de revenir sur notre île le fit perdre tout sourire. « Aïe… »
Il secoua la tête à mon grand désespoir, il lâcha du même coup mes épaules mais je sentais toujours une pression énorme m’écraser.
-Ne pouvais-je tout simplement pas apprécier ta compagnie sans que tu ne me parle de politique, fit-il l’air déçu.
Je sentis se commentaire me pénétrer et me faire monter les larmes aux yeux. Il ne porta soudain plus attention à moi et ramassa le livre que j’avais laissé tomber, il alla le remettre à sa place et je le suivis soudain déterminée.
-Je ne suis plus prince, me dit-il dans un soupir. Je ne peux pas retourner là-bas. Je suis sûr que Metaron s'occupe...
il s’arrêta sans finir sa phrase. Je le laissai dans ses songes un moment avant de revenir à la charge.
-si je n’étais pas venu te rejoindre je serais surement entrain de le servir comme une servante comme toutes les autres femmes! Me renfrognais-je. Les hommes vont à la guerre sans raison et les enfants travaillent dans les champs! Il viole toutes les filles de on âge et a tué ma meilleure amie! Daeron écoute moi! Je lui pris le bras et le tournai brusquement vers moi.
Une larme coula sur ma joue, mais ce n’était pas de la tristesse qui se lisait dans mes yeux c’était de la colère.
-C’est tellement injuste, murmurais-je en lâchant sa manche et en baissant la tête.
Une des fleurs que je portais dans mes cheveux tomba à ses pieds. Je la suivis du regard sans lever les yeux vers lui.

-si je n’étais pas venu te rejoindre je serais surement entrain de le servir comme une servante comme toutes les autres femmes! Me renfrognais-je. Les hommes vont à la guerre sans raison et les enfants travaillent dans les champs! Il viole toutes les filles de on âge et a tué ma meilleure amie! Daeron écoute moi!

Thamy me saisit par le bras et m'amena à elle. Je la toisai du regard. Sur l'île, jamais elle n'aurait osé faire une telle chose. Elle avait bien changé. Puis une larme de colère roula sur sa joue rose. Je me sentis toute suite fautif.

-C’est tellement injuste..

Comme si elle avait prit conscience de son geste, elle baissa les yeux. J'avalai de travers. Une fleures délicates tomba de ses cheveux et tomba lentement au sol. Nous restâme un moment à la regarder sans dire un mot. Le silence était retomber et il m'était totalement insuportable. Je me penchai pour la reprendre.

-Thamy... Je te crois sur parole. Mais tu sais très bien que j'ai été banni d'Aslancis. Si je remet les pieds là-bas, on me tura sur le champ et je ne serai d'aucune aide mort, dis-je plus doucement.

Ce que faisait Metaron ne m'étonnait guère, il avait toujours été un elfe sans scrupule et fou à lier. Le sort de Thamy m'atrista au plus au point. Ce qu'elle était belle pensai-je.

-Je ne suis plus personne maintenant. Il y a longtemps que j'ai perdu espoire de monter sur le trône... Ma vie est ici à présent.
Sur ces mots, je replaçai doucement la petite fleur dans ses longs cheveus roux. Lorsque je retirai ma main, j'en profitai pour lui caresser la joue tendrement.

Il se pencha pour prendre la fleur avant d’ajouter de sa douce voix qui me faisait frissonner;
-Thamy... Je te crois sur parole. Mais tu sais très bien que j'ai été banni d'Aslancis. Si je remets les pieds là-bas, on me tuera sur le champ et je ne serai d'aucune aide mort.
Je fronçai les sourcils, malheureusement il avait bien raison. Mais…
-Je ne suis plus personne maintenant, murmura-t-il, se qui eu pour effet de me briser le cœur. Il y a longtemps que j'ai perdu espoir de monter sur le trône... Ma vie est ici à présent.
-les gens seraient tellement heureux de te revoir! Ce serait comme un ange venu du ciel pour les libérer! M’écriais-je en le suppliant du regard.
Voila c’était ma dernière chance de le ramener chez lui… je me blottis dans ses bras et sentis son odeur sucrée qui me rendit nostalgique… il avait tellement changé! Avant, il serait tout de suite revenu avec moi, mais maintenant… il avait plus de raisonnement, il est moins immature… je penchai la tête sans pour le moins relâcher mon étreinte. Je l’aimais… et c’était insupportable de le garder pour moi. J’avais envie de lui crier, mais j’avais peur qu’il ne pense que je ne dirais cela que pour le ramener à Aslancis… je devrai me montrer patiente… je reculai un moment pour le regarder droit dans les yeux.

-les gens seraient tellement heureux de te revoir! Ce serait comme un ange venu du ciel pour les libérer!

Un ange? Je n'avais vraiment rien d'un ange. J'en était bien loin même. Thamy vint se loger dans mes bras et fus attendris. Je lui caressai doucement les cheveux. Je me rappelais qu'à l'époque, j'avais pour elle un mélange entre l'amitié, la fraternité et l'amour. Mais j'étais bien trop jeune pour m'en rendre compte. Nous avions pratiquement été élevé ensemble. Et maintenant je ne la reconnaissait plus tout à fait.

-Je ne sais pas, Thamy...

La jeune elfe du soleil recula d'un pas pour pouvoir me regarder en face. Un sourire triste aux lèvres, je dis:

-Mais dit moi, comment vont ma mère Kadränika et ma jeune soeur Aramie?

Quelque chose au fond de moi m'indiqua que je ne voulais pas le savoir.

-Mais dit moi, comment vont ma mère Kadränika et ma jeune sœur Aramie?
Je frissonnai et penchai honteusement la tête la question que je redoutais… comment lui dire?
-elles…
Je me tus et l’observai un long moment et j’eus soudainement peur de le perdre à nouveau…
-Daeron… fis-je en clignant des yeux. Je tremblais légèrement et ma voix s’embrouillait. Ta mère a été bannie de l’île et je ne sais pas où elle est… et ta sœur elle… j’eus un léger hoquet en pensant que si je n’étais pas venu vivre ici c’est moi qui serais dans la situation d’Aramie… Metaron s’en est fait une… une concubine…
je soupirai et parcouru tristement la rangée de livre qui nous entourait.

. Ta mère a été bannie de l’île et je ne sais pas où elle est… et ta sœur elle… Metaron s’en est fait une… une concubine…

Thamy parcouru la rangé de livre sans me regarder.

Je restai bouche bée. Sidéré, je fis quelques pas vers l'arrière et je percutait le fond de l'allée. J'eus un puissant haut-le-coeur et je portai ma main à mon torse brûlant. La marque d'or sur celui-ci devint de plus en plus chaude, signe de mon énervement. Je toussautai. Non... pas Aramie... Pas ma petite Aramie. Elle était si belle, si pure avec ses longs cheveux doré et ses grands yeux caramel. Metaron avait oser pauser la main sur sa propre nièce. Quel monstre. Je serrai les poings.

-Il n'a pas oser faire ça... Il n'a pas fait ça..., me dis-je à moi-même pour me calmer.

J’osai un regard vers lui. Il venait de reculer et son dos s’était appuyé sur le mur du fond. Il porta sa main à son torse et j’eus un pincement au cœur. C’était peut être la seule façon de le ramener au fond, je voulais qu’il sauve notre île, mais en même temps j’avais si peur pour sa vie… il serra les poings et je restai silencieuse.
-Il n'a pas osé faire ça... Il n'a pas fait ça... murmura-t-il presque pour lui-même.
Je baissai les yeux et m’avançai vers lui. Je ne voulais pas qu’il souffre ainsi… je me sentais si mal et égoïste! J’avais l’impression de lui avoir dit cela que pour le ramener chez lui, mon Dieu pardonnez-moi! J’éclatai en sanglot en cachai mon visage dans mes blanches mains.
-je suis désolé, fis-je entre deux reniflement.

Je me retournai contre le mur, face au ciment, les bras de chaque côté de la tête. J' entendis Thamy sangloter dans mon dos. Dans ma colère, je donnai un puissant coup dans le mur en poussant un cri de rage. Le ciment craqua sous ma force.

-je suis désolé...

-Pourquoi? POURQUOI?!?, hurlai-je en me retournant.

En colère noir, je me mis à faire les cents pas dans l'allée. D'horribles images affluaient dans mon esprit. Oubliant un instant la préscence de Thamy. Au bout d'un moment je m'arrêter net et me passa la main sur le visage. Que pouvais-je faire? Retourner là-bas, c'était du suicide! Je me retourna vers Thamy qui recommençait seulement de respirer normalement, ses grands yeux étaient rivés sur moi. Je me rendis compte que ma conduite n'était pas digne de moi, pas digne d'un prince. Je n'avais jamais élever le ton en sa présence.

-Je... Je te demande pardon Thamy... Mais je ne suis pas prêt à revenir maintenant....

Sous un excès de colère Daeron se retourna face au mur en hurlant de rage et y donna un violent coup de poing qui fit craquer le ciment ce qui me fit sursauter.
-Pourquoi? POURQUOI?!?, hurla-t-il.
Il commença à faire les cents pas dans l’allée, m’oubliant momentanément. Je pris le temps de sécher mes larmes et je tentai de me calmer. Je le regardais pendant qu’il tentait de reprendre ses esprits. Il se retourna vers moi et je cessai de respirer.
-Je... Je te demande pardon Thamy... Mais je ne suis pas prêt à revenir maintenant... murmura-t-il.
-je comprends… susurrai-je en le regardant l’air misérable.
À ce moment je ne pus lui cacher ma déception. Je n’osais plus le regarder en face, j’étais énormément triste et déçus en plus de me dégouter moi-même.
-pardonne-moi…
Je ne lui adressai plus un seul regard et le contournai, bien décidé à retourner dans mon magasin et ainsi lui permettre de reprendre ses esprits et lui laisser le temps de se calmer.
« Je suis tellement stupide… c’est surement pour ça qu’il n’a pas et qu’il ne va jamais partager les sentiments que je lui porte… »

-pardonne-moi…

Thamy baissa les yeux, horriblement honteuse. Mais honteuse de quoi? C'était Metaron qui devait être honteux, elle m'avait seulement rapporté les dernières nouvelles. La jeune elfe me contourna sans même levai les yeux vers moi. Mais lorsqu'elle passa près de moi, je lui saisit le bras pour la retenir. Je lui fit faire volte-face.

-Thamy, regarde-moi, dis-je en l'approchant un peu de moi.

J'eus soudain une irrésitible envie de l'embrasser, mais je chassai cette idée folle rapidement. Elle était et restait ma meilleure amie. Thamy m'aurait sans doute gifflé pour m'être conduit de la sorte.

-Écoute-moi. J'ai besoin de toi plus que jamais. Reste s'il te plaît...

Lorsque je passai proche de lui Daeron m’empoigna solidement le bras et me tourna vers lui. Je gardai les yeux au sol.
-Thamy, regarde-moi, me dit-il en s’approchant un peu de moi.
Je sentis la chaleur de son corps non-loin du mien. J’osai un timide regard vers lui et vit une étrange lueur traverser ses yeux. Il cligna des yeux et j’entrouvris les lèvres, désireuses. Si seulement j’étais plus qu’une meilleure amie pour lui… si seulement il partageait les mêmes sentiments que moi…
-Écoute-moi. J'ai besoin de toi plus que jamais. Reste s'il te plaît...
Son regard insistant me toucha et il n’eut pas besoin de me le dire deux fois. Je lui souris gentiment et lui pris la main.
-je suis et serai toujours là pour toi, Daeron… n’en doute jamais…
« Je ne serai jamais bien loin… parce que je suis folle de toi » pensa-je en détournant furtivement le regard avant de déposer mes yeux dans les siens. Il avait les mains chaudes et son souffle était rauque. J’eus l’envi de lui sauter dans les bras et de l’embrasser amoureusement, mais s’il me repoussait, j’allais être si humilier. Je rougis tout de même en baissant les yeux.
-tu voudrais bien prendre ta pause avec moi? Lui demandai-je lentement en l’observant du coin de l’œil.

-tu voudrais bien prendre ta pause avec moi?

Je la regardai tendrement, un sourire illumina mon visage. Je prit sa main dans la maine et la portai à mes lèvres. je pausai un baiser sur sa frêle main.

-Ça sera pour moi, un immense plaisir. Surtout que tu viens d'arriver. Je pourrais te faire visiter un peu.

Je la lâchai un instant.


-Laisse-moi seulement fermer boutique.

Il me regarda tendrement avant de me sourire, j’adorais quand il souriait! Il était tellement beau. Il prit ma main et à grande surprise y déposa un tendre baiser qui me fit rougir.
-Ça sera pour moi, un immense plaisir. Surtout que tu viens d'arriver. Je pourrais te faire visiter un peu. Laisse-moi seulement fermer boutique.
Je voulu hurler de joie mais ne fis que sourire, montrant mes dents blanches.
-je vais ranger mon magasin et après tu me montreras tout ça, dis-je. Si tu veux je peux te faire visiter mon magasin se soir après le travail.
Je le suivis dans les allés jusqu’à la porte où il afficha « Fermé ».

-Avec joie, Thamy. Avec joie...

Elle et moi sortîmes de l'allée sans plus attendre, et nous nous digirgeâmes vers la sortie. Avant de sortir, je pris bien sûr le temps d'indiquer que nous étions fermé. Bras sous bras, Thamy et moi marchâmes quelques secondes jusqu'à son commerce. Je regardai la boutique avec admiration. Comme moi, ma meilleure amie avait été capable de s'installer parmis les humains et de partir son propres commerces incognito. Je devais reconnaître qu'elle m'impressionné. Je lui jetai un regard tendre, pleins de douceure et de fierté.

-Alors, je t'attends ici?... Ou je rentre avec toi un instant?

-Avec joie, Thamy. Avec joie...Me dit-il quand nous fûmes devant la sortie.
Il prit mon bras et je mis appuyai en rougissant. Nous marchâmes jusqu’à mon commerce et je souri fièrement à Daeron qui regardait mon magasin avec admiration. Je lui souris tendrement et il me rendit mon sourire une lueur de douceur et de fierté dans les yeux.
-Alors, je t'attends ici?... Ou je rentre avec toi un instant?
-oh, mais tu peux entrer si tu veux bien! J’ai un tissu spécial à te montrer je sais que tu vas le reconnaitre…
J’ouvris la porte et déposai la petite brique qui la maintenait ouverte. Il me suivit dans mon magasin. Mon commerce était plutôt vaste et les allées étaient alignées perpendiculairement avec la porte. Cinq gros rouleaux de soyeuses étoffes étaient accrochés les un par-dessus les autres sur des supports de métal et chaque rangée comptaient environ trois supports de métal de chaque côté. Je me dirigeai vers le comptoir qui était au fond à droite de la porte et prit mes clefs.
-je suis prête! Fis-je en souriant. Oh oui! J’oubliais presque…
Je retournai à la caisse et sortis le tissu. Il était jaune-or à l’extérieur avec des motifs communs à notre région de couleur or qui ne reflétaient qu’au soleil. L’intérieur était bleu comme le saphir. La grande toge avait un collet assez large où quatre petites émeraudes y étaient attachées. Les larges manches comptaient deux rubis sur chaque repli de manche. Je lui montrai fièrement le tissu et regardai son jolie visage, me demandant s’il se souvenait de ce vêtement…

Heureux, je la suivis à l'intérieur. J'aimais particulièrement l'ambiance de sa boutique. Mais avant que nous ne sortions, Thamy sortit une toge elfique magnifique. Quelle merveilles... Elle était aussi belle que dans mon souvenir. Il s'agissait de la Toge des Rois Soleil. Depuis des milénaires, à leur couronnement, les grands monarques portaient cette sublime robe. Je fis un pas vers elle, émut. Je revis mon père, et mon frère à l'intérieur et je fus empreins de fierté. Cette toge magnifique qui m'impressionnait tellement lorsque j'étais encore enfant. Je m'étais toujours dis que jamais de ma vie durant je ne me vêtirait avec. J'en eu presque les larmes aux yeux lorsque je la pris dans mes mains, touchant son tissu magnifique. Une question s'imposa à mon esprit, moi qui était pourtant sûr que Metaton lavait détruit.

-Comment... Comment l'as-tu récupérré? Mon oncle ne s'en était pas débarasser?, dis-je en la regardant avec la plus grande admiration du monde.