Sang pour Sang (Pv Syltoruz et une autre personne)

Thamy avait dit oui! Je n'en revenais tout simplement pas. J'allais finalement l'épouser... Il y avait encore toujours la question des enfants qui allait sûrement revenir. Je n'avais jamais penser en avoir un jour et ne m'étais jamais imaginer devenir père.

Alors que mes pensées dérivait vers mon futur avec la femme de mes rêves, je marchai vers la falaise, là où j'aimais me receuillir lors de période mouvementé. Il devait être à peine 16h mais il faisait déjà presque noir. La saison d'hiver me déprimait énormement. Le manque de soleil, le froid et tout me rendait un peu morose. La neige est si morne qu'il m'arrive parfois de regretter l'Île.

Une fois en haut, mes yeux se promenèrent sur l'horizon et je cachai mes mains dans mes poches. Je lâchai un soupire.

Je ne pouvais pas me marier dans un endroit ou je n'avais pas verser le sang, quel désastre que cette bataille. Pourquoi donc et abruti d'elfe de soleil avait réussi à s'échapper.

L'hiver était la plus belle saison de tout les temps, une saison qui symbolisait la souffrance, la mort et la peur. J'adorais l'hiver, une période merveilleuse de l'année qui finissait trop vite malheureusement.

J,était venu sur la falaise pour chasser. Chasser l'homme, une proie facile, mais des plus amusantes, j'épaulais mon AK-47 et à travers ma lunette infrarouge, de multiple petite forme rouge grouillait un peu partout.

L'atmosphere changea j'eus l'inpression. C'était comme si une odeur de mort était venu peu à peu envahir les environs et l'air que je respirais. Je me crispai avant de faire volte-face. Mon regard devint sombre... Je connaissais cette impression, je connaissais ce pressentiment. Je l'avais déjà vécu plusieurs fois en sa présence. Je n'étais donc pas seul.

Mon regard, en alerte, se promena sur les environs. Le coeur battant, les poings serrer dans mes gants de cuir, je réalisai que je n'étais pas armé cette fois. Et dire que je croyais qu'en m'installant à Aras je ne me ferais pas d'ennemi. Oh! Quelle ironie. Ma petite réflexion sur être père ou ne pas l'être allait devoir attendre de toute évidence. Un coup de vent vint me fouetter en plein visage ce qui fit s'ébourifer ma queue de cheval.

Je ne bouger pas d'un cil, avec un peu de chance... Je le verrai le premier.

Je balayais la falaise au complet avec ma lunette, mais rien, aucune forme de vie assez grande pour être un humain et avec le froid ça n'arrangeait pas les choses. Peut-être faudrait-il mieux que j'aille inspecter en personne.

Je me levai, laissai tomber mon arme dans une petite cache et en sortit mes sabres, j'accrochais aussi à mes cuisses mes couteau de combat. Je commençai tranquillement à descendre, baissé pour qu'on ne me voit pas.

La marque sur mon torse s'illumina, je pouvais clairement pressentir le danger. Mais cette fois, je n'avais pas envie de fuir. Je décidai plutôt de remonter la pente et de voir de quoi il s'agissait. Le vent continuait de souffler dans mon visage et le froid engourdissait mes mains. Alors que je marchais, je décidai de les rendres lumineuses, les poings serrer, près à envoyer une décharge d'énergie solaire à quiquonque se retrouverait sur ma route avec de mauvaises intentions.

Je vis bientôt au loin, à travers les branches sans feuilles, une silhouette bien connu. Il était là encore et toujours sur mon chemin. Cet elfe noir commençait sincèrement à m'énerver. Les petites résolutions que j'avais prise lors de la guerre s'envolèrent. Un élan guerrier s'emparra de moi et je lançai un puissant halo de lumière brulante dans sa direction automatiquement, sans penser un instant de plus. Mes lunettes tombèrent dans la neige en même temps.

Le halo était tellement gros qu'il ne fut pas très difficile à éviter. Une simple roulade sur le côté et j'esquivai le projectile lumineux.
Il y avait surement un élémentaire sur la falaise et c'était tant mieux, car il n'y avait aucun mérite à tuer un humain normal. Le halo avait quand même faillit me carboniser la partie supérieure de mon corps, il ne fallait surtout pas prendre ce nouvel ennemi à la légère.
Mais la rage qui m'avait envahi quand j'avait vu Daeron s'enfuir m'envahit et la perspective de se venger sur quelqu'un me fit saliver.

Je me redressai et criai.

-Révèle toi si tu est vraiment un adversaire de taille ou fuit comme l'avorton que tu es, misérable raclure! Prosterne-toi devant ton seigneur et maître et il se peut que je t'épargne! Et si tu place assez de foi en ma cause peut-être que tu me rejoindras pour ma grande course vers le pouvoir éternel et la grandeur qui me revienne de droit divin!

-Révèle toi si tu est vraiment un adversaire de taille ou fuit comme l'avorton que tu es, misérable raclure! Prosterne-toi devant ton seigneur et maître et il se peut que je t'épargne! Et si tu place assez de foi en ma cause peut-être que tu me rejoindras pour ma grande course vers le pouvoir éternel et la grandeur qui me revienne de droit divin!

Je miis mes mains en entonoir devant ma bouche:

-Je ne me prosternerai devant rien! Ni devant toi! Ni devant ton sois disant pouvoir eternel, Syltoruz! J'en ai plus qu'assez de tout fuire alors ramene ton sale derriere d'elfe de lune ici, devant moi, qu'on regle nos compte une bonne fois pour toute! Je crois que tu en as autant envie que moi alors depêche toi qu'on en finisse!

Je m'avançai rapidement dans sa direction.

-Je ne me prosternerai devant rien! Ni devant toi! Ni devant ton sois disant pouvoir éternel, Syltoruz! J'en ai plus qu'assez de tout fuir alors ramène ton sale derrière d'elfe de lune ici, devant moi, qu'on règle nos compte une bonne fois pour toute! Je crois que tu en as autant envie que moi alors dépêche toi qu'on en finisse!

Je l'attendais , ce petit elfe qui décidément n'avait pas la tête reposé, car il m'attaquais comme un imbécile.

-Si je serais un adversaire honorable, je te donnerais un de mes sabres, mais malheureusement, je ne suis pas un adversaire honorable.

Je me mis en position pour réceptionner sa charge et pointai mes sabres vers sa poitrine.

-Si je serais un adversaire honorable, je te donnerais un de mes sabres, mais malheureusement, je ne suis pas un adversaire honorable.

Je rageai et serrai les points. Je m'élançai vers lui.

-Non, tu n'es pas un adversaire adorable! Seulement le plus immonde des chiens.

Je le vis à nouveau, avec ses deux armes. Je m'immobilisai à quelques mètres de lui. Furieux et impatient que cela prennent fin, je lâchai un autre hurlement de rage en lui lançant une autre décharge solaire.