oh oh the blue man cry - ( Hakan + Dulcea)- Terminé

J'Haussai les épaules, en détournant les yeux.

-Ce n'est pas le désordre qui me dérange...

Si en fait, mais dans le pire des cas je me transformerais en véritable blanche neige et je ferais un peu de ménage en sifflant. Rien qu'à la pensée de ma peau contre la sienne sous les draps, j'eus un frisson d'horreur. J'étais prête à faire n'importe quoi. oui, même moi, madame la duchesse Dulcea, j'aurais été prête à faire du ménage si ça pouvait m'éloigner de cet endroit.

-Je te fais confiance,oui, c'est juste que...

Je pris une courte pause et je soupirai... Allez, un peu de courage.

-Moi, je veux être au près de toi...

(Bon et bien ça va être ma dernière réponse. Je vais vous laisser après ça )

Quelque chose atteint l'épaule du loup pendant qu'il courait. Il serra les dents pour étouffer le cris. Le lycan ne pouvait tout simplement pas arrêter de courir et il savait très bien que ça lui laisserait une nouvelle cicatrice. Mais bon, il en avait déjà bon nombre, une de plus ou de mien.

Non, en fait, ce qui l'inquiétait vraiment c'était de ne pas savoir quelle était cette créature. Hakan devait arriver rapidement à la base, répertorier la bête et avertir les autres Van Helsing qu'une nouvelle menace pesait sur Aras. Ils avaient une nouvelle cible.

-mais tu peux être avec moi-même là-bas ma belle. Mais si tu le désire tant je te laisse chez moi...

Dit le dragon avec une voix et une moue tout de même plutôt mal à l'aise. IL savait l'état de son lamentable petit 2 1/2 presque insalubre... rien a voir avec sa grotte de San Andreas.

- je te protègerai Dulcea je te protègerai

Doucement le monstre sortit son immense langue de serpent et frola du bout de celle-ci la joue de l'elfe.

-...et...pour ... être ...franc... j'aurais ..peut-être..besoin... de toi

dit-il un peu gèner....

- je... j'ai besoin de vêtement...

-Très bien... Rentrons au manoir.

Si j'avais sa protection, et je doute que quelqu'un d'autre dans cette ville bénéficie d'une telle chose, j'imagine que je pouvais rester n'importe où. J'eus droit à ce que j'appelerais un baiser de dragon chose qui me fit rire. Un rire léger et crystalin comme si tout allait mieux puisqu'il était là..

-Comment ça?, dis-je soudain quand je vis que son attitude avait changer.

Des vêtements? J'ouvris grand les yeux et je portai ma main devant mon petit sourire gêné. J'eus un petit rire nerveux.

-Oh!... Heum... Oui, oui. Bien sûr. Heureusement, j'ai conservai ton vieux manteau dans ma voiture. Ne bouge pas, je vais le chercher...
Je me dégagea rapidement de lui et d'un seul coup fut frapper par la froideur du climat. Oui bon, les trois premières secondes on a envie de retourner vers lui et après on se rapelle l'urgence de la situtation et on fonce! Je courus le plus rapidement possible et descendit le promontoir. Mon aston martin n'était qu'à une trentaine de mètre au sud-est de celui-ci.
Une fois tout près, j'ouvris la porte arrière et je vis le manteau reposer sur la banquette arrière. Note à moi-même: repriser son manteau dans mes temps libre. J'agripai par la même occasion le fameux foulard noir et ce fut à moi que j'improvisai un châle en marchant. Je réussis à couvrir complètement le trou dans mon dos, car de mémoire de Dulcea, on ne m'avait jamais vu avec des vêtements usés ou percés. Je revins finalement à lui en brandissant fièrement son vêtement, le sourire fendu jusqu'aux oreilles.

-Je me demande ce que tu ferais sans moi.

Le monstre écailleux pris délicatement le manteau tendu entre ces lèvres reptiliennes. Puis il se releva de toute sa grandeur imposante et majestueuse. IL posa un dernier regard à Dulcea avant de passer derrière une ranger d'arbre pour se cacher. Doucement sa silhouette devient flou, puis brume qui tomba sur le sol. Puis il sortit des fourrés le manteau autour de lui. Pied nu et jambe écorcher il fit unpetit sourire niais à l'elfe face à lui.

- hey hey...eut..on rentre qu'en dis-tu?

Je fus très heureuse de le voir ainsi, je n'avais plus le soucis de me faire écraser, bien que je sais qu'il n'aurait jamais rien fait de tel.

-Tiens, revoilà Andrew... Tu viens de manquer quelque chose, tu sais..., dis-je à la blague pour cacher mon léger malaise.

Je marcher dans sa direction, les mains dans les poches et les joues un peu trop rose à mon goût. À sa hauteur, je passai mes bras autour de son cou et je me blottis contre lui.

-Je m'excuses de t'avoir inquiété de la sortes... Je serai plus prudente à l'avenir.

Puis, je me dégageai lentement et je tendis la main vers lui.

-Rentrons...