le nouveau barman... [CS] - Terminé.

Une fois dehors, la lune était bien haute et j'eu presque l'impression qu'elle était fière de la chasse que je menais. En fait, c'était parce que j'avais un excellant compagnon. Sur le trotoir, nous marchions tous les quatre, Dominik passa un bras protecteur sur les épaules de sa copine en lançant un regard noir à Hellann, un peu comme s'il voulait la protéger de nous. Tu ne crois pas si bien dire, le steak. Je regardai Hellann avec appétie. Je me demandai à cet intstant, si après cette nuit, nous allions nous revoir. Je n'ai jamais eu l'habitude de penser au futur. Étant vampir, et donc immortel, on vit au jour le jour. Mais là, tout de suite, mon instint de jeune fille voulait le revoir à nouveau. Je secouai la tête pour ne plus y penser.
-C'est par-là, fis-la jeune fille.

Soudain je vit Ika, ma chouette se pauser sur un l'ampadaire et nous observer de ses grands yeux. Elle n'était jamais bien loin.

-Quel gros oiseau, nota Arielle en se blotissant contre Dominik.
-Ce n'est qu'un simple hibou, dit-il sèchement.

J'enviai un peu Arielle et je me lovai contre Hellann sans arrêter de marcher. Au contacte de sa peau, je fréms. Je vis bientôt le grand hôtel SunnyVista qui luisait devant nous. Je tendis le cou pour atteindre l'oreille du jeune vampire.

-On loue leur chambre la plus luxueuse, on les invites à prendre un verre de champagne dans la chambre et on les tue...

Je regardais Arielle du coin de l’œil quand Dominick passa son bras autour de ses épaules en me toisant du regard je souris moqueusement et détournai les yeux vers un édifice gris et terne qui ne valait pas la peine que je le regarde ainsi. Je me retournai vers Clady qui avait vraiment faim! J’aimais se regard et je passai ma langue sur mes dents, moi aussi j’avais faim… je regardais Clady subtilement me disant que cela faisait au moins 150 ans que je n’avais pas passé ma vie avec une femme… bien sûr j’avais eu des centaines de concubines, mais là ce pourrait être différent pour une fois…
-C'est par-là, fis-la jeune Arielle en me sortant de mes songes.
Clady leva soudain les yeux vers un lampadaire tous les quatre nous levâmes la tête vers la chouette qui nous regardais intensément.
-Quel gros oiseau, fit la jeune femme en se blottissant contre son compagnon.
-Ce n'est qu'un simple hibou, dit-il sèchement ce qui me déplut au plus haut point...
à ma grande surprise Clady se blottit dans mes bras sans arrêter de marcher. Je la sentis frémir et j’eu le sourire aux lèvres. J’aperçus enfin le SunnyVista qui brillait au loin. Je me penchai vers Clady pour entendre ce qu’elle avait à dire
-On loue leur chambre la plus luxueuse, on les invites à prendre un verre de champagne dans la chambre et on les tue...
Pour toute réponse je lui souris avec enthousiasme et la serrai contre moi.

Il me serra contre lui et je souris intérieurement. Une fois dans le hall du magnifique hôtel 5 étoiles, je m'approchai du comptoire et je louai comme prévue leur plus chère et leur plus belle chambre. Hellann semblait ravie. Je lui tendit la clé en l'agitant sous son nez. Bientôt ils seront à nous, mon mignon, et nous allons manger comme des rois ce soirs.

Nous revînmes vers le couple qui nous avaient attendu à l'ascenseur. Je leur souris.

-Notre chambre est au 10e étage, dis-je à l'intention d'Arielle.

-La notre n'est qu'un étage plus bas, me répondit-elle.

Je fis signe à Hellann, d'un petit signe de tête, de les inviter avec nous comme prévu. Je me mordis les lèvres, prêtes à mordre.

J’étais ravi d’être enfin arrivé! Mon estomac criait famine et autre chose criait à l’intérieur de moi… je souris ironiquement quand elle passa la clé devant mes yeux. Je pris son poignet et l’attirai vers moi. J’effleurai ses lèvres et pris les clés. Clady et moi rejoignîmes le couple et je leur souris.
-Notre chambre est au 10e étage, fit Clady.
-La nôtre n'est qu'un étage plus bas, répondit Arielle.
Clady me fit signe d'un petit geste de la tête, de les inviter avec nous comme prévu. Je la voyais qui s’impatientait! Je souris et me tournai vers le couple.
-alors, vous voulez partager un souper ce soir? Une bonne coupe de champagne et tout et tout…
-pourquoi pas? Fit Arielle en tournant son joli visage vers son copain qui détourna les yeux.
-parfais! Préparez-vous et venez nous rejoindre à notre chambre, chambre 567…
Je leur fis un clin d’œil et pris Clady par la taille.

«parfais! Préparez-vous et venez nous rejoindre à notre chambre, chambre 567…» Hellann leur fit un petit d'oeil avant qu'il ne me prennent par la taille. Je lui donnai un baiser furtif aux coins des lèvres, aux commisures. J'étais trop heureuse.

Nous montâmes tous dans ces horribles boîtes métal que les humains appelle ascenseur. Je ne m'atturai jamais à toute cette technologie. Lorsque la petite clochette indiqua «étage no 9», Arielle et Dominik s'engagèrent vers la sortie.

-On vous rejoins dans environs 10, 15 minutes, dit Arielle avant de sortir.
-Parfait. On vous attends.

Puis nous arrivâmes tout en haut de l'édifice, chambre 567. La chambre était immense et digne des films à la James Bond, avec sa cuisine, ses deux salons, sa salle à manger et son mini-bar. Sans oublié la vue spectaculaire sur la ville et les montages que nous avions de là-haut. Il y avait ça et là des pétales de roses et des chandelles installés un peu partout. À l'air surpris d'Hellann, je me mis à rire.

-Ne t'en fait pas. Je leur ai dit que nous étions en lune de miel, fis-je en essuyant une larme tellement j'avais ris.

Il est vraiment mon type, ce vampire là et en plus il me faisait rire. J'eus soudain une envie pressante de l'embrasser pour de bon.

Clady m’embrassa vivement et je n’eus pas le temps de me retourner pour l’intercepter et avoir un vrai baiser. Je lui souris avec amusement et nous montâmes dans l’encenseur. J’éclatai de rire en voyant le visage de Clady… Arielle et Dominick entrèrent à leur tour et nous restâmes silencieux jusqu’à ce qu’ils ne sortent.
« 10-15 minutes… c’est long » me dis-je.
Puis nous arrivâmes à notre étage et nous rendîmes à la chambre 567. La chambre était immense et vraiment chic! Il y avait une cuisine, deux salons, une salle à manger et un minibar sur lequel je me jetai. Nous avions aussi la vue sur la ville et les montages. Il y avait des pétales de roses et des chandelles un peu partout et j’arquai les sourcils de surprise ce qui fit rire Clady.
-Ne t'en fait pas. Je leur ai dit que nous étions en lune de miel, fit-t-elle en essuyant ses yeux.
« Ah ouais… » Je lui souris d’amusement et une flamme de désir traversa mes yeux. Je m’approchai d’elle, vodka en main et déposai un furtif baiser sur ses lèvres avant de lui sourire de défit. Je callai mon verre et me mis à courir dans la chambre comme un enfant.
-C’est vraiment trop cool!

Il m'embrassa furtivement, mais je restai sur ma faim. J'en voulais plus. Lorsqu'il courut à travers la chambre, ce qui me fis rire à nouveau.

-C’est vraiment trop cool.

Je le rejoins dans le salon.

-Je ne te le fais pas dire, dis-je d'un ton horriblement sensuelle.

Je l'invitai à prendre place dans un des futons d'un regard.

-Et tu sais ce qui est encore plus cool, Hellann, continuai-je sur le même ton en délassant les lacets arrières de ma robe. C'est que nous avons encore un peu de temps avant qu'ils arrivent.

Je m’arrêtai et frissonnai. Cette façon qu’elle avait de me parler me rendait fou! Je me retournai vers elle et elle me fit signe de m’assoir. Je souris en coin et m’installai près d’elle.
-Et tu sais ce qui est encore plus cool, Hellann, continua-t-elle sur le même ton en délassant les lacets arrières de sa robe. C'est que nous avons encore un peu de temps avant qu'ils arrivent.
Je restai bouche-bée un moment frissonnant de tout mon corps. « AH! Je suis au paradis je crois bien! » Je souris bêtement en me penchant vers elle. Elle me faisait des avances et j’étais prêt à y répondre à n’importe quel moment. Je m’approchai d’elle et déposai mes mains de chaque côté de son corps.
-c’est vrai que c’est cool.
Je lui fis un clin d’œil et l’embrassai dans le cou.

-c’est vrai que c’est cool.

Hellann s'approcha de moi et se mit à m'embrasser dans mon cou. Un violent spasme de désir traversa mon coprs en entier. Je le désirait hardement. Je l'obligeai à s'étendre sur le sofa en mettant mes mains sur son torse et je m'étendis sur lui à mon tour, plançant mes jambes de chaque côtés de son coprs. J'approchain mon visage du sien, déposant un baiser sur son front, ses paupière, ses joues, juste pour le taquiner et le faire languire encore plus. Puis, je déposai mes lèvres sur les siennes.

Une soif vorace et prédatrice s'était emparé de moi. Cette soirée promettait d'être inoubliable.

Avec une grande force elle me coucha sur le sofa et embarqua sur moi. Elle s’étendit sur mon corps et je souris, une étrange lueur de désir traversant mes yeux. Elle m’embrassait un peu partout dans le visage et je frissonnais d’impatience.
Je levai un peu ma tête et elle déposa ses lèvres sur les miennes. Je sentais que mes sens étaient en ébullition. Je l’agrippai par les hanches et l’embrassai avec ardeur. Je me levai sur mes jambes avec Clady dans les bras. Sans cesser de l’embrasser je la déposai sur le comptoir en lui frictionnant les cuisses. J’étais au paradis! Je passai une main dans ses cheveux et la colla contre mon corps qui était en feu. Je ne respirais presque plus tellement je l’embrassais et tellement j’étais attisé par la passion qui nous dévorait. Je ne sais pas ce qui me prenais, en fait c’était la première fois que me sentais comme ça! « J’adore cette sensation... »

Une fois asise sur le marbre froid du comptoire je fus saisis par un frisson qui s'intensifia encore lorsqu'il me louva contre lui. Un feu intense brûlait dans mes veines et je ne m'étais jamais sentis aussi vivante, j'avais faim de sang, j'avais faim de lui. Je croisai mes jambes autour de ses hanches fermes en laissant la vague irrépressible de plaisir et de désir rouler sur moi et anéantir toute pensée. Je continua de l'embrasser voracement, répondant à chacun de ses ardeurs. Je plasser une main dans son dos et se tient fortement sa chemise et défesant ses boutons de l'autre.

Mais soudain j'entendis quelqu'un cognai à notre porte. Sans cesser nos baisers passionés et dévastateur, je poussai un grognement sourd. C'était eux, nous allions pouvoir souper. J'étais à la fois heureuse et déçue de les voir arrivé si vite. À mon plus grand regret je m'arrachai à ses lèvres satiné et bouillante.

-Je vais ouvrie ou c'est toi?, lui demandais-je en faisait une mou coquine.

J’aimais vraiment son ardeur et la passion que je sentais naître dans toutes les fibres de son corps. Elle me rendit mes baisers avec plus d’ivresse. Quand elle mit sa main dans mon dos pour m’enlever ma chemise je voulu la pousser jusque dans la couchette.
Je lui souris moqueusement quand la sonnette retentit. Elle grogna et me regarda droit dans les yeux.
- Je vais ouvrir ou c'est toi? Demanda-t-elle en me faisant un sourire coquin au quel je répondis par un clin d’œil.
-puisque je suis déjà à moitié nu je vais te laisser répondre, répondis-je en me mordant le bout du pouce, sans la lâcher des yeux. Je souris d’amusement et la fis descendre du comptoir. Je la pris par les hanches avant qu’elle ne réponde et l’embrassai.
-je meurs de faim, dis-je dans le creux de son cou.

Il me fis descendre du comptoire avant de m'embrassai une dernière fois.
-je meurs de faim, murmura le vampire.
Je passai ma main dans ses cheveux d'un blond exquis.

-Je me charge d'Arielle, fis-je en dévoilant mes canines pointues. Toi du grand maigre grognon.

Je lui souris en coin en lui caressant les lèvres avec mon index.

-Je n'en ai que pour un instant, Hellann...

Je passai mon doigt de sa bouche jusqu'à son torse. Je lui fis un léger clin d'oeil avant de tournai les talons. Je replaçai légèrement mes cheveux avant de leur ouvrire la porte. Je découvris le visage souriant de la jeune fille et l'affreuse mine de Dominik.

-On ne dérange pas j'espère, dit-elle.

Je secouai la tête avant de les invité à entrer.

-Wouah! Quelle magnifique suite, me dit Arielle derrière mon dos.
-Oui, je sais... C'est vraiment superbe.

Je les fis pénétrer dans le salon-bar où Hellann m'attendait toujours. Je lui souris méchamment. Prêt mon beau?
-Il n'y a rien de trop beau pour, commença Arielle.
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, j'apparue derriere elle et l'enlaçai en la serrant contre moi. Je l'attrapai solidement par la gorgre et humectai son doux parfum en caressant sa peau de mes lèvres. Je la sentis frémir d'effroi, j'ai fus grandement amusé. J'adorais sentir la peur de mes victimes avant de les tuer.
-Mais... Mais que faites-vous?
-Ce pourquoi tu aies venu ici, mon sucre d'orge.
Mes yeux virèrent à un rose si pâle qu'ils en étaient presque argentés. Sans attendre un instant de plus, je retins sa tête à l'arrière et je plantai mes crocs une bonne fois pour toute dans sa gorge. Elle poussa un long cri de douleure.
-ARIELLE!, cria Dominik en s'élançant vers moi pour m'attaquer.

Elle passa sa main dans mes cheveux et je sentis un frisson parcourir ma peau.
-Je me charge d'Arielle, fit-elle en montrant ses canines. Toi du grand maigre grognon.
-parfais!
Elle me en coin et me caressa les lèvres de son index. Je souris de plaisir en fermant les yeux.
-Je n'en ai que pour un instant, Hellann...
elle me caressa le torse où ma chemise était grande ouverte et j’ouvris les yeux en souriant.
-On ne dérange pas j'espère, fit Arielle.
Je souris et replaçai ma chemise.
-Wouah! Quelle magnifique suite, dit Arielle en avançant.
-Oui, je sais... C'est vraiment superbe.
Ils arrivèrent devant moi et je répondis au sourire de Clady.
-Il n'y a rien de trop beau pour, commença Arielle.
Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase, que Clady était déjà derrière, la tenant fermement contre elle. Je dévisageai Dominick qui avait reculé. Je m’avançai vers lui et m’arrêtai devant Arielle et Clady.
-Mais... Mais que faites-vous?
-Ce pourquoi tu aies venu ici, mon sucre d'orge.
Quand Clady Mordit Arielle je me sentis vibrer de tout mon corps. Le sang qui coulait sur la nuque de la jeune fille me rendit fou. J’avais faim!
-ARIELLE!, cria Dominick en s'élançant vers Clady.
Trop tard j’étais déjà sur lui. Je le plaquai contre le mur et lui sourit de toutes mes dents avant de les enfoncer dans son cou. Le sang coulait partout tachant ma chemise blanche d’un rouge exquis. Je grognai de contentement en déposant le corps du jeune homme. je pris Clady par la taille et l’embrassai avec passion. J’étais au paradis…

Le pauvre Dominik n'eut aucune chance face à la force fénoménale du vampire. Je lâchai le corps inerte de la jeune fille qui s'écroula sur le sol comme une poupée de chiffon. La bouche rougit par le sang, je poussai un long soupire de contentement à mon tour. Je regardai du coin de l'oeil Hellann, la bouche entrouverte, le coprs brûlant de désir à son égard.

Je m'avançai vers lui et il me saisit par la taille, m'amenant à lui. J'effleurai sa bouche, encore et encore, l'amenant à s'ouvrire, à céder. Dans mon ardeur fiévreuse, je glissai mes mains chaudes le long de son dos, sous sa chemise et je lui en débarassai . Je l'embrassai jusqu'à en perdre la tête.

-Hellann.., dis-je faiblement entre deux baisers.

Les deux corps sanglants sur le lit de soie blanche, j'y attirai le jeune vampire sans cessai de l'embrasser.

Mon corps était brulant et je ne pouvais plus résister à ses ardeurs et aux frissons que j’avais partout sur ma peau. Elle glissa ses mains dans mon dos et je grognai de complaisance. Elle m’enleva ma chemise et je défis les lacets de sa robe. Je perdais la tête, j’étais étourdi et mon cœur battait comme si j’avais couru un marathon…
Soudain la vampire murmura mon nom et je ne pus résister. Je me couchai sur elle, dans le lit remplis du sang de nos victimes et je la débarrassai de son linge. Je ne pouvais résister à l’envie de la prendre sauvagement, mais je décidai de l’embrasser, question de la faire languir un peu.

Il se débarassa de mes vêtements pendant que je me chargeais de son pantalon, haletante. Je me débarassai de sa ceinture avec des doigts tremblants. Il ne restait plus entre nous que la gravité de la tension, la violence de la faim qui nous consumait. Sur le lit en bataille, ce fut un tourbillon d'oreillers, de draps, de sang et de vêtements en folie.

J'ondoyai sous lui lorsque je sentis sa peau nue contre la mienne. Je sentis chaque courbe de mon coprs épouser ses muscles bandés en une étreinte troublante. Mon être tout entier sblait noué de désir pour cet homme. Avec son baiser, le plaquai une main derrière son dos et l'autre au creux de son cou.

Son baiser, fut-il d'une tendresse presque insuportable aurait été d'une fougue désespérée et n'aurait pas été plus dévastateur. Je gémis entre deux baisers, tentant de reprendre mon souffle. Je le voulais au poin où ça en faisait mal.

-Hellann... Hellann...

Je l'entourai de mes longues jambes fines. Je voulais lui faire le plus grand honneur qu'un vampire pouvait en faire à un autre, puis je m'offrirais complètment à lui.

-Mord-moi, Hellann... Maintenant, dis-je au creux de son oreille, cramponné à son torse bouillant.

Je ne voulais pas qu'il hésite, il devait le faire...

Je la regardai droit dans les yeux quand elle me débarrassa de mon pantalon taché du sang de Dominick. J’avais des frissons partout dans mon corps et mes muscles étaient tendus à un point tel que j’en tremblais. Je me battais contre mes pulsions, ne voulant pas la décevoir et voulant profiter de ce moment le plus possible. Je collai mon torse brulant contre sa peau et je retins un grognement. Elle se courba sous moi et j’entrouvris les lèvres je sentais ma tête tourner à mille à l’heure. Elle glissa une main dans mon dos et l’autre dans mon cou. Je l’embrassai à nouveau avec tendresse et la sentis s’impatienter sous moi, elle me désirait autant que je la désirais et ce petit jeu m’excitait beaucoup.
Clady murmura mon nom et je frissonnai, en sentant mon cœur battre plus fort et l’envie de la prendre surgit à nouveau mais de façon encore plus déstabilisante.
Elle m'entoura la taille de ses longues jambes et je lui agrippai les hanches en la rapprochant de moi.
-Mord-moi, Hellann... Maintenant, me dit-elle en se cramponnant à moi.
Je sentis le sang ne faire qu’un tour dans mon corps bouillonnant de désir. J’étais de plus en plus étourdi et fébrile. Je n’attendis pas et je lui agrippai le coup avec ardeur en la poussant un peu plus dans le lit sanglant. Je sortis mes crocs et les plantai dans son cou chaud. Je gémis tout en sentant son sang pénétrer dans ma gorge et couler le long de son cou jusqu’aux draps. C’en était trop je ne pouvais plus résister à ces pulsions et à cett avidité charnel qui me rendaient fou de désir. Je la pris violemment enserrant ses cuisses dans mes mains moites. Je ralentis mes ardeurs en haletant, voulant profiter de la chaleur de son corps. Elle était belle... sa peau crémeuse contrastant avec le sang de nos victimes et le blanc immaculé, maintenant rouge, des draps. J'ondulai légèrement le bassin avant de l'embrasser avec passion.

Lorsque je le sentis enfin me mordre, je poussai un gémissement de pure bonheur. Le sang d'un vampire aîné avait des effets inimaginables sur un vampire aussi jeune qu'Hellann. Mais je ne m'en soucier guère. Il méritait plus que quiconque cette honneur. Les effets eurent déjà commencés que sans attendre un instant de plus, Hellann, m'ensserant les jambes, me pris d'un seul coup. J'hoquetai en l'aggripant par les cheveux, prise d'un violent vertige. Je me lovai contre son corps tandisqu'il m'embrassait avec fougue.

Nos baisers étaient brûlants et désespérément et irrémédiablement emplis de passion. Je me laissai complètement allé à son bon vouloir et je m'offris complètement à lui. Nos ébats furent ardement puissants et dévastateurs. Infatiguable, nous passâmes la nuit à crier, à rire. Je passai par une panoplie d'émotions différentes. Jamais je n'avais fais l'amour de cette façon. En 600 ans de vie, jamais je n'avais ressentit une telle fébrélité, une telle passion. Hellann était unique et il était pour moi. Je n'aurais voulu être nul part ailleurs.

Nous ne faisions plus qu'un au milieu des draps immaculés de sang et des membres des deux jeunes que nous avions tué.

À bout de souffle, à bout de force, je me laissai choir sur le torse ensanglanté d'Hellann, haletante. Je posai un baiser au creux de son cou en sueur avant de sombrer dans un profond sommeil. Ce fut la plus belle nuit de ma vie.

Je me sentis bientôt envahi par une étrange force, elle avait au moins six fois mon âge et donc six fois ma puissance... je lui l'âchai la gorge, ne pouvant plus contenir toute la puissance que son sang me donnait. j'eus assez de forces pour tenir toute la nuit, la prenant avec fougue et ardeur.
Je me couchai finalement, Clady sur mon torse plein de sang et de sueur. je sombrai lentement en la sentant contre moi.
Quand les premiers rayons oranges du soleil se poitèrent à l'horizon je me levai doucement en déposant sa tête sur l'oreiller. je décrochai son collier de son cou et le mis dans la poche de mon pentalon que je venais de mettre. je remis ma chemise pleine de sang et la regarda une dernière fois avant de déposer un petit mot sur la table de chevet à côté de la lampe. je sortis à vive allure de l'hôtel et me cachai dans ma maison. En pénétrant l'air frais de mon antre je souris en regardant le collier. Je lui avait écrit une phrase simple qui voulait tout dire...

Nous allons être obliger de nous revoir, si tu veux le récupérer...

Lorsque j'ouvris finalement les yeux, il faisait déjà jour. La lumière du soleil me fit horriblement mal aux yeux.

-Hellann..?, dis-je en m'asseyant sur le lit.

Je tins la couverture contre ma poitrine en le cherchant du regard. Il était partis. Je soupirai, un peu déçue. Je me rappelai avec plaisir notre soirée et je portai ma main à ma gorge, là où il m'avait mordu. Puis soudain, je réalisai que je ne portais plus mon précieux colier. Mon sourire s'évanouit d'un coup.

Je le cherchai à travers les couvertures, sous les coprs et sous le lit... Nul part. Je m'assied sur le lit, indécise.

Soudain, je remarquai la note sur le table de nuit. Je pris le bout de papier dans mes mains et je l'approchai de mon visage.

...si tu veux le récupérer...

Du colier, je m'en fichais pas mal. C'étais lui que je voulais récupéré. J'éclatai de mon rire crystalin , en me laissant mollement tomber sur le lit.

Ah.. Hellann... Qu'est-ce que je vais faire avec toi.

(Fin du rp)