Rp spéciale: Grande guerre vampirique ( Pv: Syltoruz, Daeron )

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La nuit était tomber depuis peu,le soleil avait laissé sa place au rayons bleuté du croissant de la lune qui éclairait le manoir des Draculus ainsi que la forêt environnante. L'air était lourd et chargé d'électricité bien que froid et porté par un vent hurlant. Dès qu'ils avaient put les Draculus était sortit du chic manoir qui leur servait de tanière et c'était déployer. Tous jeunes ou moins jeunes savaient au fond de leur coeur se qui se tramait. Tous savait que se soir allait s'écrire une nouvelle page d'histoire sanglante dans l'éternelle livre des immortelles. Est-ce que les Draculus pouvait rasoir la force du clan en écrasant et muselant les Black Lotus comme ils l'avaient toujours fait? Ou est-ce que les Black-Lotus allait enfin prendre la place qu'il leur revenait comme clan supérieur? Ce soir les cœur serait donner tout cru au bas instinct, à la soif et à la violence cru et bestiale.

Au loin on entendait déjà hurlé les White-wolf marré de 50 loups près a déferlé comme un seul monstre d'une rage et d'une dangerosité sans borne. Les arbre frémissait sous les rafale glacé et mauvaise qui emportait avec elles les dernière feuilles qui s'accrochait vainement au arbre qui tombait en léthargie avec l'arriver de l'hiver.

Toute la journée des Van helsing avait répété et répété plan de bataille et tactique. Révisé les points faibles de l'ennemi...mais a présent à l'approche du champ de bataille et à l'entente des loups certain doutait...Il n'était pas prévue qu'il se batte contre des lupins... Que faisait-il l'a d'ailleurs à marcher avec d'autre non-vivant...une alliance momentané avec d'autre vampire.... et des black lotus de sur crois....Si certain était fidèle au commandement , d'autre se posait de forte question sur l'intégrité du commandement...ou était l'âme des Van helsing se soir?

Je marchais dans la forêt en attendant les ennemis, enfin des adversaires à ma mesure. Je portai un habit de kevlar ainsi qu'une veste pare-balle. Quatre poignards étaient accrochés à mes pantalons, deux sabres dentelés dans mon dos, un pistolet et une hachette à la ceinture, des grenades fumigènes sur la poitrine et un AK-47 dans les mains. Mon habituel masque à gaz je l'avais échangé pour un modèle pourvu de lentille infrarouge.

Je jouais avec une grenade tout en avançant furtivement dans la forêt, ma vision trafiqué par mes lentilles et je voyais tout dans des nuances de bleus, ponctué par des silhouette rouge ou orange au loin, s'entrechoquant et se percutant dans un ballet mortel.

Je continuais de croire que cette guerre n'avait rien à voir avec moi et que jamais je n'aurais dû m'en mêler. Les vampires, moi je n'en avais rien à faire. Muni de mon épée elfique à double tranchant, les cheveux attaché en une queue de cheval, je traversai le champs de bataille évitant le plus possible les coups. Je ne m'étais pas retrouver à Aras pour me replonger dans les conflics fluctueux de politiques stupides. je n'aspirais qu'à une chose, vivre tranquil, fonder une famille.

Je vis soudain au loin une silhouette que je connaissais trop bien. À sa seule vue, la marque des rois sur mon torse se mit à chauffer. Je fronçai les sourcils et serrai le manche de mon arme.

-Syltoruz D'Myzz'Ryn..

Dans mes lentilles, je vis soudain une silhouette qui semblait éviter les combats pur se diriger vers moi. Je pris la grenade dans ma main la dégoupillai et la lançai vers cette personne. Un nuage de fumée verte se forma entre nous deux, mais mes lunettes me permettait de voir à travers, j'empoignai mon fusil et tirait une trentaine de balle en rafale vers ma cible.

Je me figai en appercevant l'elfe sortir une grenade. Mon visage se crispa d'horeur et j'eus à peine le temps de reculer en portant mon bras devant ma bouche. Je m'étoufai un bon coup quand je me rendis compte que je l'avais perdu de vu. Je n'eus pas le temps de m'en inquiétai bien longtemps car un bruit assourdissant retentit. Une nuée de bal s'abatit sur moi. Je me mis à courir rapidement vers la gauche. Je fus cependant toucher par deux balles dans le bras et je grognai de douleur et portant ma main à ma blessure. Je me déplaçai rapidement derrière un arbre et posai un genou à terre et évaluer les dégats. Ma main était tacher de sang, je serrai aussitôt le poing en plissant le nez de colère.

Je serrai les dents, la colère montait en moi, et je me levai. Ma main se referma sur mon épée et je m'adossai à l'arbre. Il était à l'évidence bien plus armer que moi et demeurait pour l'instant invisible.

Je suivais la progression de mon adversaire jusqu’à son arbre, ces lunettes à vision thermique était vraiment pratique, je voyais un halo orangé autour de ce qui me semblait être un arbre. Je n'avais pas le temps de remettre un chargeur, je sortis donc mon Lüger et enlevai le cran de sûreté. J’appuyai sur un interrupteur pour désactiver mes lunettes qui me désavantagerait dans un combat rapproché. Les lunettes changèrent de position dans un chuintement que mon ennemi devait sûrement avoir entendu vu que j'était à coté de son arbre. Je le contournai et...

Je le sentais approcher... Je sentais sa présence et je pouvais même entendre sa respiration sourde. J'eus un frisson de dégoût et je plissai le nez. Quand je le vis finalement venir et contournai l'arbre, mon bras partit tout seul. D'un mouvement sec et dégagé, j'envoyai la lame de mon épée juste sous son menton, l'obligeant à s'arrêter. Je cherchai son regard, le visage impassible. Je conservai la plus grande distance entre lui et moi et lui lançait un regard assassin.

-Nous sommes enfait face à face, mais je n'ai nulement envi de me battre avec vous. Je n'en vois pas l'intérêt. J'ai d'autre priorité, une femme à protéger et je penses que vous aussi.

Je ne bougeai pas d'un poil, je n'allai pas bouger de là et j'étais déterminer à lui faire entendre mon point de vu.

-Alors vous allez me laisser partir et vous jure que plus jamais nos chemins se recroiseront.

-Alors vous allez me laisser partir et vous jure que plus jamais nos chemins se recroiseront.

J'utilisais mon pistolet pour repousser la lame avec le canon.

-Daeron!, Je m'attendais à te voir ici, mais de l'autre coté, tu me déçois beaucoup, je crois que je devrais te punir.

Je tirai vers son pied les huit balles que contenait mon pistolet et de mon autre main, je dégoupillai trois autres de mes grenades, mais je les gardai accroché a moi. Un gaz verdâtre commença à sortir, répandant son poison infect dans l'oxygène.

-Daeron!, Je m'attendais à te voir ici, mais de l'autre coté, tu me déçois beaucoup, je crois que je devrais te punir.

Je sursautai quand il tira les huits ball, j'eus un puissant mouvement de recul mais fut encore une fois blessé davantage. Je reculai de plusieurs pas.

Un autre gaz se répendit autour de nous et je portai à nouveau ma main à ma bouche. J'eus un tel dégoût envers l'être devant moi que je regretai automatiquement d'être venu et participer à cette guerre. Les vampires ne m'intéressaient pas et ils pouvaient très bien... Mais il avait une dette à payer.

-Tu n'es qu'un fourbe tricheur! Si tu veux vraiment m'affronter, battons nous à arme égale... Si tu l'oses!

-Tu n'es qu'un fourbe tricheur! Si tu veux vraiment m'affronter, battons nous à arme égale... Si tu l'oses!

Pour quoi se battre à arme égale alors que je le bat avec des armes inégales.

-D'accord on va se battre à arme égale. Par exemple, moi j'ai deux sabres.

Je lâchai mon pistolet et ma hachette pour dégainer mes sabres. Tandis que la première grenade arrêtait de lâcher son poison, j'en dégoupillai une autre qui lâcha un gaz blanchâtre.

-Oups, je ne voulais pas faire ça, c'est dommage.

Soudainement, parmi le vacarme du champ de bataille, la musique signifiant la retraite des Van Helsing se fit entendre. Tout les hunters encore en train de combattre abandonnèrent le combat qu'ils menaient avant de se replier rapidement vers la basse.

-D'accord on va se battre à arme égale. Par exemple, moi j'ai deux sabres.

J'écarquillai les yeux...

-Oups, je ne voulais pas faire ça, c'est dommage.
Mon bras devant mon visage je plissai les yeux. Je m'étouffai un bon coup en reculant.

-J'en ai assez,toussai-je.

Il y avait une femme qui m'aimais chez moi et nous allions nous marié. Je ne pouvais pas mourir maintenant, pour Thamy et pour nos futurs enfants... Je profitai de l'étrange son annocant le retrait des chasseurs comme diversion et je tournai les talons à toute vitessse. Toujours le bras devant la bouche, je m'éloignai le plus rapidement et disparut dans la forêt. Cette guerre, j'en avais plus rien à faire.

Je remis mes lentilles et la trace de Daeron apparut sur le sol, comme un sentier fléché. Je le poursuivi dans la forêt, courant derrière lui, mes sabres à la main.

Je ne tuerai pas, je veux seulement ton sang!

Je l'entendis qui criait derrière moi, mais je ne comprenais rien. J'étais beaucoup trop concentrer sur ma fuite. Je remontai rapidement vers la ville en me promettant que plus jamais je ne me mêlerais des affaires des vampires.

(je quitte le rp)