C'était un soir comme les autres... (Pv Maeva) [CS]

Elle le regarda un long moment les yeux grands ouverts, les joues aussi roses que ses lèvres. Elle leva son visage vers le sien quand il s'étendit à ses côtés eet elle lui sourit tendrement en clignant des yeux. Elle frissonna quand il replaça lentement une mèche derrière son oreille, la caressant au passage.

Maeva répondit très doucement et amoureusement au baiser glissant ses mains le long de son puissant dos nu. Il la prit finalement avec une extrême douceur et elle ne put retenir un léger sourire d'admiration...
Hakan était surement l'homme le plus exceptionnel qu'elle eut connue... peu importe ce que pensaient les autres... Elle, elle connaissait le vrai Hakan, celui qui se cache sous une large veste d'armée... celui qui se cache sous des traits infiniment dur et distant.

Elle caressa lentement son visage et ferma les yeux en blotissant son corps contre le sien, suivant le mouvement de son corps, savourant chaques secondes passées avec lui.

Hakan lui fit l'amour avec toute l'attention dont son coeur était capable. Rares étaient ces moment où aucune colère ne l'abitait. Il caressa son dos, ses fesses, ses cuisses.
L'homme l'embrassa et l'embrassa encore, leurs deux corps enlacés. Il posa ensuite ses lèvres contre la tendre peau de son cou en murmurant des «Je t'aime... Je t'aime...». Maeva était un ange envoyé du ciel.

Bien plus tard seulement, Hakan se laissa étendre mollement sur le sofa en poussant un long soupire de satisfaction. Il ferma les yeux et un sourire serein et paisible apparut sur ses lèvres pendant que sa respiration reprenait doucement un rythme normal. Il se sentait pour un instant libérer. L'appel, la voix, le poid de son démon ne l'alourdissait plus. Hakan ouvrit les yeux et son sourire s'agrandit encore. Dieu! Mais quel beauté! Il en avait le souffle coupé à chaque fois. Jamais il ne s'était sentis aussi léger.

-Maeva, dit-il simplement en passant une main sur ses cheveux lisses.

Hakan se sentait humain... pour la première fois depuis 10 ans. Il la prit sous les bras pour la hisser à sa hauteur pour finalement l'enlacer et la serrer contre son coprs encore bouillonnant.

Maeva se cambra sous lui et enlaça son cou de ses bras. Elle tourna son visage vers le sien en souriant et embrassa son oreille avant de murmurer un simple et tendre : "moi aussi"
Elle entoura ses hanches de ses jambes et le regarda droit dans les yeux en souriant. Elle était heureuse de le voir aussi serein... Elle était bien dans ses bras chauds... Et elle ne pus s'empêcher de soupirer de contetement. dès le premier regard qu'ils s'étaient lançés, elle savait qu'elle l'aimerait... Et que plus jamais elle ne voudrait être ailleurs...

Hakan s'étendit à ses côtés et elle caressa son visage, les yeux grands ouverts et brillant avec amour. Elle posa un baiser sur son nez avant de s'emparer tendrement de ses lèvres. Il ouvrit lentement les yeux et le regards se croisèrent, elle sourit à son tour en rougissant.

-Maeva

la jeune louve frissonna et s'empara de sa main doucement avant de poser un baiser au creux de sa paume. Elle le regarda droit dans les yeux et vacilla légèrement tant elle était heureuse... c'était presque comme un rêve. Il la prit dans ses bras et elle se blottit contre lui en fermant les yeux, sa tête au creux de son cou.

-je t'aime, murmura-t-elle légèrement avant de poser un baiser dans son cou.

-je t'aime.

Hakan se pencha légèrement, conservant une main sur le dos de Maeva, et attrapa sa large veste militaire kaki qui traînait toujours par terre.

-Jamais autant que moi, Maeva... Jamais autant que moi, dit-il en abrillant leur deux corps avec le vêtement.

Le grand Danois sentit soudain la fatigue le tenailler... Et maintenant que la femme qu'il aimait était dans ses bras, Hakan se dit qu'il pouvait dormir sur ses deux oreilles, en paix avec le monde, et lui-même. Maintenant, plus jamais il ne la perdrait sous aucun prétexte. Hakan se batterait pour elle, la protégeant de toute menaces extérieurs et cela au prix de sa vie. Hakan passa un bras par dessus le veston et referma sa main contre sa petite épaule et la tint contre lui. Le Van Helsing posa un baiser protecteur et amoureux sur son front en la blotissant contre lui.

Il conserva ses lèvres contre sa chevelure claire et ferma les yeux. Sa respiration se fit plus lente et profonde et ses traits reprirent leur dureté habituel. Ils avaient l'air d'un large chien protégeant un chaton, tout deux contrastaient tellement... Mais oh combien qu'il l'aimait.