Vous êtes là... (Pv Syltoruz) - Terminé.

Depuis le départ subit de Mya , le manoir était bien calme et morne. Je dû avouer, qu'elle me manquait étrangement. Mais comme d'habitude, je n'en laisser rien paraître. J'étais seule dans le salon bar, un verre de Borsao rosé dans les mains, une longue robe de soie blanche, les cheveux sur le dos. Mais autre chose me tracassait encore plus. J'avais rendu visite à Aestra aujourd'hui, mais elle se méfiait de moi et j'avais lamentablement échoué. J'avais peur de ce qui allais m'arriver à présent. Qu'est-ce qu'allait me faire mon maître à présent. Je me sentis trembler de tous mes membres et je plaçai ma main devant ma bouche. Je m'affaissai contre le bord du fauteuil, dos à la porte.

Un puissant haut-le-coprs me fit trembler de plus belle. Il me terrifiait autant que je le respectait. Bien entendu, je ne lui avais jamais parlé de cela. Je serrai les poings et pinça les lèvres avant de relever la tête. Je devais être forte.... Mais la mort me faisait horriblement peur. Je soupirai. Resaisis-toi ma veille. Ce n'est pas comme ça que tu vas gagner son respect.

En marchant dans ma maison, je vis Dulcea qui buvait un verre de Borsao. Je reconnu une de mes bouteilles empoisonné. J'accouru vers elle et lui otai sa coupe des mains. Je sorti un antidote et lui fit boire.

-Il ne faut jamais se servir dans mon bar quand je ne suis pas là car beaucoup de mes bouteilles sont empoisonnés et je suis le seul a savoir lesquels. Je ne voudrais pas vous perdre, ma chère, je tiens beaucoup à vous.

Je m’agenouillai devant elle et pris quelque chose dans mon manteau.

-Bon puisque Mya n'est plus éligible, vous aurez un immense honneur. Dulcea Van Alen, voulez-vous m'épousez?

J'ouvris la boite que j'avais dans les mains et je dévoilai une somptueuse bague comportant un immense rubis en forme de crane.

Syltoruz apparut soudainement dans mon dos. Il m'arracha le verre des mains et je sursautai. Puis sans attendre un instant de plus, mon maître me tendit un antidote et je compris tout de suite pourquoi.

Je bus avec empressement la fiole.

-Il ne faut jamais se servir dans mon bar quand je ne suis pas là car beaucoup de mes bouteilles sont empoisonnés et je suis le seul a savoir lesquels. Je ne voudrais pas vous perdre, ma chère, je tiens beaucoup à vous.

Un nouveau tremblement me secoua de la tête au pied. Sa remarque me troubla . Tenait-il réellement à moi, ou n'étais-je qu'un pion sur son échequier. Soudain il s'agenouilla devant moi et pris quelque chose dans son manteau. J'arquai un sourcil et je le regardai, incrédule, toujours sous le choc d'avoir été empoisonnée.

-Bon puisque Mya n'est plus éligible, vous aurez un immense honneur. Dulcea Van Alen, voulez-vous m'épousez?

Sur ces mots, il ouvrit la petite boîte et j'y découvris un superbe joyau. Sur le coup, je cessai momentannément de respirai et je le regardai droit dans les yeux.

-Vous... Vous êtes sérieux, monsieur?

Je battis des cils et mon rythme cardiaque accéléra.

-Vous épouser serait pour moi le plus grand des honneurs.

Je pus croire ce qu'il venait de faire.

-Vous épouser serait pour moi le plus grand des honneurs.

Elle était mieux de dire oui, parce que je pense qu'elle n'aurait pas aimer l'alternative. Je pris la bague et la passai a son doigt.

-Vous pourrez maintenant hériter de ma maison à ma mort et vous aurez l'immense honneur de porter mes enfants. Et j'espère pour vu que vous ne serez pas impliquer dans ma mort, car j'ai rpsi quelques arrangements. Vous êtes aussi dispensez de devoir tuer Aestra , ce n'est plus notre cible, mais vous devrez m'aider pour tuer Hakan et notre grand ami Nathan Klein.

Porter... ses enfants. Un frisson me parcourut le dos, mais je ne su s'il s'agissait d'un frisson de peur ou de plaisir. Syltoruz n'étais pas réputer pour sa tendresse après tout. Je suis pathétique je l'avoue, mais je reste une femme après tout. Je peux bien rêver. Mais être à ses côtés représentait un certain pouvoir et une certaine stabilité dont j'avais besoin.

Lorsqu'il me dit que j'étais finalement dispensé de tuer Aestra, je fu grandement soulagée. Pour moi, Hakan Erikson représentait un moins gros défi, bien qu'il soit à présent chef des Van Helsing. Ça ne serait pas du gâteau non plus. Mais je ne connaissait personne qui répondait au nom de Nathan Klein.

-Me croyez-vous à ce point sotte d'essyer de vous assassiner, monsieur. Je ne suis pas cruelle à ce point. Vous compter beaucoup trop à mes yeux. , lui dis-je avec un sourire charmeur.

Je le regardai dans les yeux un instant. Ce mariage ne serait pas ordinaire.

-Pour Hakan, ça ne me pose aucun problème, mais, pardonnez mon ignorance, qui est Nathan Klein?

-Pour Hakan, ça ne me pose aucun problème, mais, pardonnez mon ignorance, qui est Nathan Klein?

Elle ne connaissait pas Nathan, je me demande ou elle était quand j'ai banni Mya.

-Nathan est le chef des Black Lotus, un individu vil et fourbe, c'est à cause de lui que j'ai du bannir Mya, c'est lui qui l'a amené sur la mauvaise voie.

Cet assassinat relevait plus de la vendetta que du contrat, mais je pense que les Draculus seront assez content si je les débarasse de cet individu abject.

-Avez-vous quelque chose à me dire, ma chéri, ou je peux aller planifier la cérémonie.

Ainsi c'était de la faute de ce Nathan Klein si la petite Mya avait dû partir. J'en fut tout à fait choquée et outrée. Je ne voulais pas croire que c'était uniquement de la faute de cette jeune elfe et, malgré nos différents, je savais que Mya restait innocente.

Et en plus avec l'affrontement qui s'en venait contre les Draculus, un chef ennemi en moins, cela allait surement leur simplifier la tâche. J'hochai la tête, entendue.

-Avez-vous quelque chose à me dire, ma chéri, ou je peux aller planifier la cérémonie.

M'avait-il réellement appelé «ma chérie» ou était-ce un effet secondair du poison qui me fesait halluciné. Étrangement, je sentis mon coeur s'emballer et l'ombre d'un sourire timide apprarût momentanément sur mes lèvres roses.

Je fis un pas vers lui.

-Non, il n'y a plus rien, avançai-je doucement. Vous pouvez aller vous occupez de cette cérémonie, monsieur. Il est tard, je vais probablement aller me coucher...

Sur ce, je pris un risque que je crains de regretter. Je posai une main timide sur sa joue, mes paupières se fermèrent et je déposai mes lèvres sur les siennes timidement. Je lui donnai un baiser bref, respectueux et prudent. Puis je fis un pas en arrière. Je baissai un instant les yeux avant de plongai mon regard lavande dans le sien. Je craignais sa réaction.

-Bonne nuit, monsieur, fis-je tout simplement.

-Bonne nuit, monsieur.

Elle venait de m'embrasser. Déjà, on dirait que ça faisait ongtemps qu'elle avait de l'affection pour moi. 'aurais aimé aller plus loin, mais comme disait toujours mon père, la politique avant l'amour.

-Bonne nuit ma chérie, et ne m'appeler plus monsieur. Et veuillez prendre note que ma chambre est devenu notre chambre.

Je montais à l'étage, et entrai dans mon laboratoire. Je rempli des formulaires tout en concoctant une mixture qui ressemblait à de la crème de menthe.

-Bonne nuit ma chérie, et ne m'appeler plus monsieur. Et veuillez prendre note que ma chambre est devenu notre chambre.
-Bien, mons... Syltoruz.

Sur ce, je tournai les talons. Notre chambre... Cette pièce était sans aucun doute la plus luxueuse et la plus confortable de tout le manoir. Je dû l'avouer, j'avais toujours rêver d'y entrer. Pendant que je marchais à travers les couloirs, un silence de mort m'entourait. Le seul bruit que j'entendais était le bruit de mes pas et ma propre respiration.

Une fois à l'intérieur de cette si mystérieuse chambre, le souffle me manqua. Je fus impressionné par la richesse des lieux et de son raffinement. Je fis quelques pas jusqu'au lit et je mis assis. Silencieuse, je passai un regard circulaire sur la pièce. Magnifique...

Je m'étendis sur le dos, les bras croisés sur le torse. Je ne pouvais tout simplement pas croire ce qui m'arrvait et je n'étais même pas sûr de connaître la nature exacte des sentiments que j'avais pour lui. Tout ce que je pouvais dire c'était que ces sentiments étaient très fort...

J'avais beau fermé les yeux... Je ne trouvai jamais le sommeil.