In the dark cool nigth ( ouvert mais pas plus de 2 joueur)

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La nuit c'était bien installer depuis plusieurs heure déjà et il devait être au alentours de 22h. Le soleil c'était coucher plus tôt et il le ferait de plus en plus car l'automne doucement approchait sur le continent nordique. Il avait fait beau durant la journée, mais comme pour répondre au soleil qui se couchait des nuage était venue ternir le ciel de leur gris menaçant. C'est au alentour de 19h que c'était lever un fort vent du nord et les rafales glacé était fulgurante. Les arbres malmener perdait déjà leur première feuille. À 21h30 la pluie en trombe avait commencer a tomber froide et annonciatrice d'un automne humide et froid préparant peut-être à un dur hiver.

Andrew avait finit son quart de travail et venait de fermer la bibliothèque pour le lendemain. Il avait pris le temps après avoir fermer les porte a 21h de replacer tout les livre retourner a leur endroit, dans leur rayon respectif avant de fermer les lumières et de passer par l'arrière utilisant la porte de service qui se barrait elle même derrière lui. Son vieille imper sortit d'un autre si`cle délavé et vieillit par les intempérie sur les épaule et une casquette de chemineaux sur la tête l'homme déambulait à présent dans les petite rue du centre-ville pour rejoindre un terminus d'autobus pour pouvoir prendre un transport qui le ramènerais chez lui.

Il prenait son temps malgré la température exécrable et était l'une des seul âme qui vive au alentours dans la rue délaisser par les passants. Les rigole et les gouttière des toit crachait sur le bitume du trottoir leur trait aqueux sans fin et le tonnerre commençait a rouler dans le ciel avant qu'un éclaire ne démarre le bal en zébran les nuage de leur lumière bleuté. Andrew s'arrêta pour se mettre sous un petit toi d'entré à se moment la pluie ayant redoublé ne lui donnait pas envie pour l'heure de continuer sa marche. Il sortit de son imperméable un livre s'assit sur une parcelle encore sec de béton et commença à lire attendant patiemment que le temps se calme.

S'il y avait quelque chose que je détestais plus que la pluie, c'était d'être mouillée! Mais à ce point là, j'étais carrément trempée jusqu'aux os... non... Jusqu'à la moelle! En lavette, je tentai de protéger un minimum ma coiffure avec mon veston crème. En vain! Je jurai intérieurement avant de courire le plus rapidement possible à travers la rue complètement désertique. Je faillis à plusieurs reprises me tordre une cheville à cause de ces chaussures à talons aiguilles très mal choisit quand on y penses bien.

Mais, c'était quoi l'idée aussi de sortir par un temps pareille! Enfin, je ne me sentais pas du tout bien au manoir. J'étouffais presque. J'avais chaud puis j'avais froid... Je devais m'exposer un peu au grand air. Mauvaise déscision en fin de compte.

Je réussis finalement à atteindre une entrée sombre qui était restée un peu au sec. Dieu merci! Enfin un abrit. Je me dépêchai de l'atteindre, le sourire fendu jusqu'aux oreilles. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que je n'étais pas la seule à avoir eu cette idée.

-Oh! Pardon. Je ne savais pas qu'il y avait quelqu'un, dis-je en perdant d'un seul coup ce qui me servais de sourire.

Tout allais de bon train dans le mini bistro-sandwicherie. En fais, malgré la mauvaise température, les gens entraient et sortaient de temps en temps, souvent même en groupe. Je lavais des tables près de la fenêtre lorsque j'aperçue deux personnes près de la porte qui semblaient frigorifier par la pluie et le froid. Je laissai la lavette sur la table que je lavais et j'allai leur ouvrir la porte, qui habituellement, ne servait qu'aux livraisons. Je les regardai avec un doux sourire amical.

« Allez, entrez. Avec la température qu'il fait, vous allez frigorifiez sur place. »

Je leur laissai la porte ouverte pour qu'ils entrent. Une fois qu'ils furent entrés je refermai la porte derrière eux.

« Je vous prépare une table... suivez-moi. »

Je me mis à marcher, je libérai rapidement la table où il y avait ma serviette pour nettoyer.

« Voilà. Je vous apporte chacun un beau chocolat chaud pour vous réchauffer. C'est moi qui vous l'offre. »

Je m’éclipsai et j'allai chercher deux chocolats chaud et je les déposai devant chacune de ses personnes qui semblaient frigorifiés par la pluie.

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L'homme ne leva que ces yeux bleu-gris sur Dulcea. Visiblement dans son monde il ne dit rien et ne fi qu'hausser les épaules comme si le fait qu'ils était a présent entassé elle debout et lui assit ne le dérangeait gère plus que cette pluie. IL était nonchalant et revient vite à son roman comme si de rien n'était malgré les terribles éclaires qui vrillait le ciel. l'homme était tremper et ne semblait guère sans soucier il ressemblait presque a un clochard si ce n'était de ces beau cheveux propre et du fais qu'aucune barbe mal rasé était visible.

Quand la porte s'ouvrit il releva une deuxième fois le un regard cette fois d'intrigue, mais peu luisant de surprise, il semblait u peu las voir appatique. Il se leva en prennant soin que sont livre ne prenne pas l'eau et suivit sans mot la dame blonde qui vennait de les invité à entré. Cela n'était pas uen mauvaise idée après tout et c'était si gentiment offert.

Andrew Michael s'engouffra donc à la suite de Dulcea et de Maelie. Ce n'est qu'une fois décapoté et dé chapeauté qu'il ne dit qu'un bref merci presque murmurer. Il passa ensuite le reste de l'attente a regarder Dulcea puis a revenir à son livre après moins de quelque seconde comme si l'elfe malgré sa beauté ne l'intéressait guère plus qu'un simple bibelot.

L'inconnu ne daigna même pas me répondre. J'haussai un sourcil, surprise... D'accord? S'il le prend comme cela... Je croisai mes bras sur ma poitrine en lui faisant dos. Avec cette attitude, ça allait être long.

Puis, sans crier garre, la porte s'ouvrit derrière nous et je sursautai. Une petite adolescente très souriante apparut dans mon champ de vision. Je la regardai étrangement. D'où elle sortait celle-la? Mais l'adorable blondinette avait raison, j'étais frigorifiée...

Tout se déroula si vite. Je me retrouvai rapidement face à l'homme qui ne m'avait toujours pas dit quoi que ce soit. Je gratifiai la gentille serveuse d'un large sourire avant de poser mon regard lavande sur le mystérieux étranger. Mes yeux rencontrèrent une fraction de secondes les siens avant que celui-ci ne se replonge dans sa lecture. Un puissant malaise me saisit. C'était extrêment bizarre comme situation. Je me mordit l'intérieur de ma lèvre. Dieu que je détestais le silence...

-Qu'est-ce que vous lisez?, dis-je pour engager la discution.

Oui, bon... Je n'avais rien trouvé de mieux pour essayer d'entendre ne serait-ce qu'un mot de sa pars. Je replaçai nerveusement ma robe blanche sur mes genous.

-Sinon... Je m'apelles Dulcea.

Je revint quelque minutes plus tard pour voir mes deux clients frigorifiés que j'avais laissé entrer par la porte de service. J'avais en main deux menus complets.

« Je vous ai apporté chacun un menu, si j'avais vous avez besoin de quoi que se soit, n'hésitez pas. »

Je déposa les deux menus au centre de la table et je remplis leur verre vide d'eau. En entendant la fille se présenter je lui souris.

« Ah. Et, au fait, moi c'est Maélie, enchantée. »

J'entendis ma collègue m’appeler du comptoir.

« Bon, je reviendrai vous voir bientôt. »

Je leur adressa un beau sourire amical et je tournai les talons pour aller vois ma collègue qui éprouvait une difficulté avec la caisse.

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-Les fleurs du mal de Charles Baudelaire

Répondit l'homme le nez toujours dans son bouquin. Il ne releva son regard que quand Dulcea se nomma il lui lança un petite regard torve avant de faire un rictus désagréable et d'articuler comme si cela lui tirais une douleur sans nom.

-Andrew-Michael

Puis il se sauva à nouveau dans son livre juste avant que n'arrive Maélie. Elle remplit les verre d'eau chose qu'il trouva fultile...de l'eau glacé quand nous somme tremper...Ironie quand tu nous tien. Il déposa cependant son livre page contre la table pour prendre le menu et le feuilleté rapidement. C'est à se moment qu'il remarqua le chocolat chaud posé près de lui. Il afficha un sourire lassif, mais le pris entre ces mains pour en boire une gorgé.

Il finit par fermer le menu et reprendre son livre comme si de rien n'était et attendit que Maélie ne revienne sans placer autre mot dans la conversation. Visiblement si l'homme avait reçu une éducation jadis naguère il en avait oublié les base et fondement par son grossier silence.

Maélie... C'était un joli prénom. Au moins il y avait encore quelqu'un de sympathique dans ce restaurent.

-Merci Maélie, dis-je en prenant le menu qu'elle m'avait offert.

Je reportai par la suite mon attention sur le silencieux Andrew-Micheal. Pas un mot, pas un son. Il était complètement absorbé par cet étrange bouquin au point de m'oublier. J'étirai le cou afin de voir un peu par dessus la couverture du dit livre. Rien à faire, cet homme n'avait vraiment aucunement l'intention de m'adresser la parole. Un peu vexée, je soupirai en détournant les yeux. Ce silence assourdissant me pesait horriblement au point d'en devenir insuportable.

Au bout de quelque secones passée à faire la moue, je braquai à nouveau mon regard sur lui. Je me penchai sur la table, les bras croisés . Je le regardai intensément, sans aucune gêne et un sourire moqueur se dessina sur mes lèvres pleines.

-Êtes-vous toujours aussi bavard ou est-ce le froid qui vous rend à ce point muet?

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-et vous de moeurs légère pour porteztel vêtement jour de tempête?

ne fit que répondre l'homme sans lever le regard de son livre. Sa réplique fut dit sur un ton presque arrogant et détacher pendant qu'il tournait une page de son recuil de poème avant de venir prendre une gorgé de son chocolat chaud. Il finit par laisser poindre la moitier de son regard vers l'elfe à la peau claire qui l'avait piqué.

-Blanc douce couleur de la biséance se retoruve vite dépravant quand de l'eau irrévérencieuse glisse et le rend transparent.

Puis il revient a son livre sans autre mot et sans même vouloir savoir quel serait la réaction de sa compagne de table et d'infortune. Andre ne fit que passer uen main nonchalante dans ces cheveux pour les aérées un peu. Cheveux bouclé et noir de jais qui lui tombait sur le front comme un vieux Lord anglais sortit du dernier siècle et du début de l'industrialisaiton.

Tout dabord, j'entrouvris les lèvres, surprise. Je sentis, malgré moi, mes joues rougirent légèrement de gêne puis d'indignation. Je me redressai lentement en fronçant les sourcils. Quel culot! Je refermai lentement mon veston sur mon torse. Légèrement insultée, je tentai de reprendre mon calme lentement. J'avais très envie de lui balancer à la figure que j'avais été surprise par la pluie un peu plus tôt. Mais non. Je ne dis rien à ce sujet.

Puis, je lâchai un rire ironique et mon petit sourire en coin revint très rapidement. Tout en lui faisant des yeux de velours, j'appuyai mon fin menton sur le revers de ma main. Ce charmant petit jeu, badinage sans lendemain, ce joue à deux, mon joli.

-Ah! Je vois. Monsieur est beau parleur, fis-je doucement avec une légère pointe de cynisme dans la voix.

Mon sourire s'aggrandit sur mon visage anguleux...

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-Monsieur ne parle que quand il a quelque chose d'intéressant à dire se que certaine pie ne font guère souvent.

réplica l'homme à brûle pour point en ne relevant que des yeux las et d'une totale indifférence vers la femme. Il semblait que malgré la grande beauté de l'elfe noir l'homme n'en était pas pour autant impressionner loin de la. Juste après cette autre remarque légèrement singlante il revient à nouveau à ces poèmes et ces verre français.

- Pie de mot tu voles les idées des hommes.

ajouta l'homme comme à lui même avant de tourner à nouveua une page et de venir prendre une gorgé de chocolat chaud. Sa main libre commençait à tapoter la table dans l'attente de l'arriver de la bien aimable serveuse au cheveux blond. Il tappait en cadance comme une marche militaire.

-Une pie...?

Je restai sans voie. Il venait bien de me traiter de pie ?!? Je regardai Andrew un bon moment, bouche bée. Moi, Dulcea Van Alen, une pie... Je ne sais pas ce qui m'a retenu assise devant lui. Pourtant, je restai sans même tiquai. Je n'allait tout de même pas lui faire ce plaisir. Piquée au vif, je me calai dans mon siège en maugréant. Tu parles d'une sale tête... Ou peut-être était-ce moi qui ne faisait pas la bonne chose? Peut-être l'avais-je insulté? Oui. Après tout, c'était moi qui avait attaquer la première. Je soupirai bruyament à nouveau en levant les yeux au ciel que je devinais encore remplit de nuages noirs. J'avisai l'homme en face de moi.

-Mais je vois que je m'y prends de la mauvaise manière... De toute évidence je vous ai dérangé. Milles excuses, monsieur Andrew-Micheal., avouai-je très doucement.
Je m'assieds bien droite en me saisissant de mon chocolat chaud que je n'avais pas encore touché.

-C'est bon, la pie ne vous intérrompera plus désormais. Je me tais...

Je baissai les yeux sur ma tasse avant d'en prendre une gorgée. Dommage, moi qui voulait seulement d'un petit tête-à-tête divertissant...

Ma collègue m'annonça que j'avais une pause, alors j'allai voir les deux personnes mystérieuses que j'avais laissé entrer par la porte de service. J'apporta une grosse assiette de nachos avec moi. Je m'assied en leur compagnie en déposant l'assiette au centre de la table.

« Servez-vous. »

Je jetai un coup d'oeil à l'homme et remarqua le livre qu'il lisait. Mon regard s'illuminant le temps d'un instant instant.

« Elle rit à la Mort et nargue la Débauche ces monstres dont la main, qui toujours gratte et fauche dans ses jeux destructeurs a pourtant respecté de ce corps ferme et droit la rude majesté. »

Je fit un petit sourire en voyant le regard de l'homme sortir de son livre.

« Les fleurs du mal de Baudelaire. »

J'appuya doucement mes coudes sur la table et je mis mes mains ensemble et posai mon menton sur mes mains. Je regardai attentivement l'homme qui se trouvait devant Dulcea.

« J'adore Baudelaire, mais je préfère encore plus Edgar Allan Poe. »

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Aux excuses de Dulcea Andrew ne fit que relever ostensiblement son regard. Il la détailla légèrement à nouveau d'un oeil septique avant de retourner une énième fois vers son livre comme si de rien n'était. IL ne fanfaronna point et ne semblait point avoir de triomphe quelconque dans son attitude. En fait elle semblait toujours aussi détacher et ce ne fut à l'arriver de Maélie que le regard d'acier de l'homme se releva à nouveau cette fois nouveau..il y avait au font de ces yeux mélancolique une touche de d'agréable surprise voir d'admiration.

-L'Allégorie de Baudelaire bon choix bien que je préfère la Fontaine de sang.

Dit l'homme en esquissant un fin sourire maigrelet.

-Vous lisez Poe dans sa langue d'origine ou lisez-vous les traduction que Baudelaire en a fait chère demoiselle? Et Puis Poe et Baudelaire sont certes écrivain , mais leurs travail est cependant bien différent l'un est poète et l'autre nouveliste. Je vous laisse cependant qu'il sont de se courant délectable que sont les artiste maudits.

L'homme à la différence de tout a l'heure semblait à présent bine plus bavard et un brin subjuguée par la jeune blondinet qui lui avait récité quelque vers habille du poète qu'il lisait. Sans faire attention Andrew vient prendre un nacho.

Je souris. Je crois que c'étais la première fois que je rencontrais quelqu'un qui lisait ces poètes que les gens dénigraient la plupart du temps.

« Lire leur poésie me rassure sur la vie difficile que j'ai vécu dans mon enfance, disons que ces poèmes me font prendre conscience que malgré la souffrance de notre vie, il y a toujours pire. »

Je souris.

« Mais, pour répondre à ta question, je lis les deux. Autant les originaux que les traductions. »

Je me mis un nachos et le mangea. Je me tourna vers Dulcea.

« Et toi, qu'est-ce que tu lis ? »

Lorsqu'elle s'installa à notre table, j'haussai un sourcil, perplexe. Ah? Bon très bien... Mais par la suite lorsqu'elle nous récita une ligne de Baudelaire, j'eus comme l'impression qu'ils venaient tous deux de me laisser de côté. Je les regardai tour à tour incrédule. Hello! Je suis encore là...

Je les écoutai en silence, légèrement froissée d'être ainsi mise hors contexte. C'est drôle comme tout à coup il avait retrouver un semblant d'intérêt. Et puis d'où elle sortait cette petite avec son adoration pour Edgar Allan Poe? Puis, lorsque celle-ci m'interpela, sa voix de sortit de mes songes.

-Moi? Mademoiselle, je ne lis pas seulement . J'écris, dit-je en souriant doucement.

Oui. J'avais été écrivaine, il y a quelque années. J'avais même connut un franc succès à New-York, mais je ne trouvai point qu'il méritait que j'en fasse mention. Je jetai un regard à ce cher Andrew qui de toute évidence ne m'avait pas dans son coeur avant de le reportai sur la gamine.

-Mais dis moi, quel âges as-tu? Tu me sembles bien jeune pour connaître et apprécier de tels auteurs?

Je ris lorsqu'elle me demanda mon âge.

« À mes yeux, il n'y a pas d'âge pour apprécier une telle poésie. »

Tout ce qui se passait devenait assez intéressant. Cet homme mystérieux, mais au regard si doux lorsqu'on pouvait entrevoir la vue de ses yeux. Dulcea qui semblait si douce, mais qui n'essayais pas de prendre sa place, une chance que j'étais là pour lui laisser la place.

« Il est vrai que je suis jeune, mais cela importe peu. Quand on a souffert, on peut s'ouvrir à ce qui est pire que nous. J'ai 18 ans, Dulcea. »

Avec un doux sourire, j'attendis qu'elle me réponde.

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Les yeux d'Andrew faisait des aller retour entre son livre et la blondinette puis se même regard se tourna vers la femme qui dit qu'elle écrivait. Son regard redevient bien septique. Quel fadaise pouvait créer la plume d'une femme superficiel comme celle qui se trouvait face à lui? Guère mieux que de l'eau de rose à faire braillé les incultes et les impotants.

Le libraire ne dit cependant rien du fond de sa penser et ce contanta de continuer a siroté son chocolat chaud si gentilment offert par une equisse petite perle. Cependant que sont regard et son attitude change quand la blondinette qu'était Maélie parla de souffrance et de vie difficile le regard de l'homme toujours mélancolie en fut également très doux. On y lisait une grande empathie mélanger à un profond malaise.

Il se rebifa dans son volume laissant les deux femme discourir ensemble.

-Bon, je penses que j'en ai assez entendue. Il ne pleut plus et j'ai d'autre chose à faire que d'écouter les dires de deux rats de bibliothèque... Et puis vous avez l'air de tellement bien vous entendre tous les deux, dis-je au bout d'un moment en me saisisant de ma serviette de table.

J'essuyai doucement les coins de mes lèvres avant de me lever d'un seul coup. J'ouvris mon porte-feuille, les yeux brillants de malice.

-Merci pour tout Maélie. Ce fut tout à fait... divertissant. Et... Oh! Un petit conseil: fait un peu attention à toi. On ne sait jamais sur quel désiquilibré complètement obsédé par les petites filles de 15 ans on peu tomber.

Je jetai un regard glacial à Andrew en payant le tout. Je sortis de table avant de replacer ma chaise d'un coup sec en retrouvant mon petit sourire de ironique.

-Et puis j'ai toujours trouvé que Charles Baudelaire était tout à fait passé de mode et ennuyeux. Sur ce, bonne soirée.

Je tournai les talons, et je défis mon chignon et laissai tomber ma chevelure sur mes épaules. Tout en marchant en faisant balançant mes hanches de façon tout à fait provocante, j'envoyai mes cheveux vers l'arrière d'un geste nonchalant.

Je quittai le bistro, ne leur accordant plus aucun regard. Je m'engouffrai dans les rues, un mince sourire moqueur sur les lèvres.

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-Ainsi la femme qui comme le paon porte un ramage flamboyant, mais un chant discordant s'en va vulgaire et ulcèrée par une réalité bien moins superficiel que ces moeurs ne l'on habituer. Quel détresse au dieu doit-elle vivre chaque jour d'être doté d'une si pauvre tête de linotte. Les modes ne sont que les exutoire des esprits conventionnel et fermé, malade d'ordre et de stabilité illusoire.

Prosa Andrew d'un ton poète tandis que Dulcea quittait le café en faisant claquer ces chaussures sur le parquet. L'homme eut un mince sourire en coin et un soupire lassif tout en haussant les épaules revenant doucement à son livre no pas sans lancer un regard à Maélie avant. Il vient prendre un autre gorgée de chocolat chaud.

Dehors la pluie avait cessez, mais peut de temps après que Dulcea ne mette pied dehors l'orage repris de plus belle déverssant encore de grande trombe d'eau...personne n'est à l'abris d'une acalmie. l'oeil de l'orage était passer, mais il n'en était pas finit de lui pour autant.

Un sourire en coin se dessina sur mon visage.

« L' orage qui gronde à l'intérieur d'un coeur abîme est souvent plus grand que celle que l'on peut aisément observer par la fenêtre. L'orage est alors un diminutif de la tempête qui vit réellement dans les pensées de cette femme... »

Je secouai doucement la tête en prenant un nacho entre mes doigts pour ensuite le manger.

« Si obsédé est un synonyme de lecteur avertis et poète en herbe, alors tous devraient être des obsédés... »

Je souris en me levant lentement.

« Je reviendrai vous voir, ma pause est terminée, il me reste environ une heure de travail. Si le coeur vous dis d'attendre, on pourrais bien se voir après. »

Je lui souris en entendant sa réponse.

-hey bien je ne sais point....

Il tourna son regard vers l,extérieur comme si le fais d'être invité à faire quelque chose le sortait d'une routine établie. Un visage anxieux se fit peu à peu visible au fil de sa cogitation.

-laissez moi le temps d'y penser si je suis encore ici quand vous aurez terminé c'est que j,accepte cela vous convient?

L'homme semblait un brin nerveux et il ne parla qu'au travers de son livre. Il ne jeta qu'un regard bref et furtif a Maélie.

Je souris en entendant sa réponse.

« Très bien. Si jamais vous désirez boire quoi que se soit d'autre ou manger, n'hésitez pas. »

Je tournai les talons et alla vers la caisse. Je ne comprenais même pas moi-même pourquoi je l'avais invité. Peut-être pour faire changement de la solitude et de l'ennui quotidien. J'haussai les épaules en prenant un assiette sur le comptoir. J'allai la porter a la table indiquer et le reste de ma soirée se déroula sans trop d'encombre. Je n'avais pas vraiment porté attention à Andrew Michael, question de ne pas trop mettre de pression je suppose. J'allai dans la salle des employée et j'enfilai mon linge de tout les jours : Des jeans bien simple avec un petit blouson orange. Je récupéra mon sac en bandoulière et quitta la salle des employés. Je me rendis vers la salle à manger et je cherchai Andrew des yeux.

quand elle revient elle ne trouva qu'un pièce d'or d'un style plutôt ancien déposer sur la table. L'homme avait quitter sans qu'elle ne le remarque et plus une trace de lui n'était visible dans le café. Dehors la pluie avait cessé et les nuage doucement se dissipait sur une lune presque pleine.

A l'extérieur Andrew regarda Maélie jusqu'a ce qu'elle prenne la pièce d'or et s,engouffra dans une ruelle pour rejoindre son appartement.